One Piece Anarchy
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Le Joker amnésique - Terminé
Søren Diergraad
Le Joker amnésique - Terminé Icon_soren
Le Joker amnésique - Terminé Minia_flag
Loca. :
Whisky Peak
Prime :
50 000 000 B
Berrys :
000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
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Søren Diergraad
Joker
posté le Dim 11 Oct - 21:58

SØREN DIERGRAAD

Joker — 35 ans  — M — Pirate — The Butcher
métier : Musicien
groupe : Pirate
rêve : Retrouver la mémoire
rang : écrire ici
grade (facultatif) : écrire ici
prime (facultative) : écrire ici
espèce : Human
lieu de naissance : South Blue
première île : Whisky Peak
armes : Aucune pour l'instant
fruit du démon : Aucun

DESCRIPTION (Physique/Mentale)
Le Joker. Un surnom connu, qui traverse les générations, et que l’on retrouve souvent chez des personnes atteintes de certaines déficiences intellectuelles ou de troubles psychologiques. Sòren faisait maintenant partie de cette grande famille de dégénérés. Difficile de savoir s’il était aussi timbré que les autres, mais il ne fallait certainement pas être très net pour s’essayer à cet art, si l’on pouvait appeler « ça » un art. Le révolutionnaire avait ainsi le visage recouvert de peinture, l’essentiel en blanc, puis d’autres parties comme le nez, la bouche et les yeux qui sont peints d’une autre couleur. Les commissures de ses lèvres étaient d’ailleurs prolongées de la même couleur, exagérant le sourire de ce clown. Rassurons-nous, seul le visage est retouché. Ses cheveux restés intacts sont longs et gras. Et verts. Oui, finalement, il n’a pas pu résister à la tentation de se faire une couleur. On pourrait croire à un manquement sanitaire de sa part, mais c’était au contraire un soin méticuleux qu’il s’accordait. Fallait en conclure qu’il aimait ses cheveux. Ou pas vue la couleur. Globalement, le hors-la-loi était une personne assez propre sur elle-même. Et maniaque. Très maniaque. Au grand dam de ses partenaires de voyage. Le plus fidèle de tous, Némo, était celui qui l’exaspérait le plus. Les personnalités agitées, instables, non-organisées, excentriques et peu précautionneuses agaçaient toutes notre protagoniste qui prenait le plus souvent sur lui.

Bref.

Monsieur Diergraad était un homme bien portant. Grand, élancé, doté d’une bonne musculature. Attention. Entendons-nous sur la musculature, elle n’était pas celle que l’on voyait chez les culturistes, hypertrophiée et disproportionnée. Non. Il s’agissait ici de muscles saillants, fins et souples. Un bon mètre quatre-vingt, un poids à peu près proportionnel. Il remplissait bien ses vêtements mais ne portait pas une grande taille pour autant. De nature assez discrète, il serait contradictoire, selon lui, d’avoir un physique remarquable. Mais pour autant, me diriez-vous, il n’y a rien de plus remarquable que d’avoir de la peinture sur tout le visage. On pouvait ainsi comprendre que quelque chose ne tournait pas rond avec ce type. Il fallait être un peu taré pour se tartiner la tronche de cette manière. Calme, discret, manique, mais pas que… En effet, le jeune homme pouvait se montrer différemment que d’ordinaire, aux antipodes de sa personnalité de habituellement calme. Des situations peuvent changer un homme, le transcender, le pousser dans ses retranchements… Difficile de savoir ce qu’il en était pour notre protagoniste. Les seuls témoins encore vivants et en un seul morceau témoignaient des scènes abominables. Chose assez étonnante quand on sait qu’autrefois, paraît-il, ce même homme dont nous présentons les traits n’était absolument pas capable d’une telle sauvagerie.

Parfois aussi, on pouvait tomber sur un Soren songeur, à contempler le ciel, la mer, les montagnes, les oiseaux, ou n’importe quelle chose observable, pendant un très long moment. Souvent, après ces moments d’absence, il fronçait les sourcils et ne semblait plus réellement savoir où il se trouvait.

Instabilité.

Vous commencez à saisir ? Cela vous semble peu structuré ? Vous avez raison et cela défini parfaitement ce qu’il se trame dans la tête de notre jeune homme. Il semblait être une personne dans l’ensemble du temps, adoptant une attitude tout à fait naturelle, sûrement en provenance d’un homme qu’il était un temps. Mais de l’autre côté, une rage inestimable ne demandait qu’à sortir, et quand elle sortait enfin, un véritable cataclysme avait lieu. Au milieu de tout ce chantier, une personne au plus profond de lui tentait de recoller les morceaux de son passé. Même sa tenue en disait long sur sa personnalité à la fois douce et terrifiante. Vêtu d’une chemise blanche, propre, d’un pantalon noir en cuir, de bottes en cuirs de la même couleur… Blanc et noir. À son image. Vous l’aurez compris, notre cher Soren était assez perturbé et ne se rendait pas forcément compte de ses écarts. Des images de son passé pouvaient surgir de nulle part, mais il était encore loin de faire un quelconque rapprochement, condamné à prendre des notes dans son calepin.

Sa personnalité d'antan restait néanmoins la plus présente possible. Un homme simplet, agréable, ouvert à la discussion et plutôt prêt à rendre service. Il fut un temps où il débordait de bonté, mais depuis son traumatisme, il fallait avouer que la confiance qu'il pouvait donner à son prochain était assez limitée. Bienveillant mais méfiant. Démoniaque mais un temps. Assez vif d'esprit, il était évidemment conscient que certaines cases manquaient et son objectif premier était donc de recoller les morceaux.


HISTOIRE
Jeune officiel de la marie, Diergraad tenait un poste à responsabilité au sein de la garnison de Star-Top Nation. Connu pour sa bienveillance, son charme naturel et sa gestion des hommes qui était souvent prise comme exemple, on pouvait sans nulle doute anticiper une ascension fulgurante de ce dernier dans la hiérarchie de la marine.  Néanmoins, ce dernier se montrait assez discret et semblait se satisfaire de son poste et de ses hommes avec lesquels il s’était lié d’amitié. De nombreux pots sont organisés pour diverses occasions, toutes des excuses pour se retrouver et festoyer ensemble. Soren, jeune père de famille, s’occupait de sa garnison comme de ses propres enfants et ils le lui rendaient bien en réalisant un excellent travail. Dévoués à la cause, tous unis dans un but commun, ils combattaient sans relâche les criminels pour rendre ce monde plus sûr pour tous. Du moins… C’est ce qu’il pensait faire jusqu’à un certain jour. En une seule journée, la cité de Morgan telle qui la connaissait n’était plus. La moitié de l’île était maintenant devenue une surface entièrement plane. Il assista à l’ensemble de l’oeuvre, protégeant les ouvriers et divers manutentionnaires. L’oeuvre d’Ohmama était encore une fois d’une grande prouesse. Le jeune officier admirait le travail mais ne comprenait pas réellement l’intérêt d’un tel remue-ménage.

- Quelque chose te tracasse, Soren, dit un de ses proches amis.

Après quelques longues secondes de silence, il répondit.

- Tu sais, Archibald, le Gouvernement ploie le genou ces derniers temps. Un tel abattage pour rassembler autant de personnes, dans le seul but d’annoncer des choses, c’est rarement bon signe.

Il se tut encore quelques instants, scrutant une dernière fois le travail des hommes.

- Je ne sais ni ce qu’il se trame ni ce qu’il se dira demain. Néanmoins, j’ai comme un très mauvais pressentiment sur le sujet et, comme tu le sais si bien, je ne me trompe que trop rarement pour ne pas me fier à mon instinct.

Archibald, songeur, suivit son ami qui partait en direction de la sortie. Toute cette exposition, cet abattage médiatique autour de ces riches hommes d’affaire commençait sérieusement à fatiguer Soren qui ne tolérait pas particulier ces choses-là, plutôt discret de nature. Mais comme tout le monde, et surtout parce qu'il n’avait malheureusement pas accès aux informations, il avait hâte d’être au lendemain pour savoir ce qui allait advenir de ce monde. Un monde meilleur ? Ou peut-être pire encore. Nulle ne pouvait spéculer sur l’avenir qu'on lui réservait. Le soir, au moment du dîner, il eut une drôle d’impression et ne put s’empêcher de contempler la beauté de sa tendre femme et celle de ses enfants. Heureux et nostalgique sans en réellement comprendre la raison. Un dîner de plus au sein d’une belle famille, heureuse et prospère, au milieu de cette métropole agitée.

Soren ignorait encore qu’il s’agissait du dernier repas avec les siens.
Le lendemain matin, avec un nombre incroyable de soldats, il devait - avec l’entente de plusieurs officiers - s’assurer de la sécurité de l’assemblée dans la zone qui leur avait été attribuée. Ils s’y attelèrent tous sans broncher. L’officier en question fit également son boulot comme à son habitude, malgré cette boule au ventre qui ne cessait de s’agrandir au fil des heures. Ce n’était pas la pression de sa mission, non. Il en avait vu d’autres et des biens pires. Il s’efforça malgré tout de faire comme si de rien n’était. La fin de journée arriva enfin et l’événement tant attendu pouvait enfin commencer. La foule entrait progressivement, à grand nombre, dans l’enceinte du périmètre. Du dessus, paraît-il, on y voyait un essaim d’abeilles entrer dans la ruche et s’assoir par blocs. C’était impressionnant. Les animations débutaient et tout se passait pour sans encombre. Soren suait à grandes gouttes et tenait de moins en moins en place.

- Calme-toi, Soren, merde. On dirait un lion en cage. Que t’arrive-t-il ? demanda Archibald, inquiet.
- Je dois rentrer, Arch’.
- Voyons, So’, l’héraut va bientôt commencer son discours. Pars après.

L’officier écouta son ami et resta à ses côtés. L’héraut fit son apparition quelques après, flamboyant, accompagné d’une animation lumineuse à couper le souffle. S’il n’était pas aussi nerveux, Soren aurait trouvé cela très joli… Mais pas ce soir-là. L’entracte, le début de son discours suscita quelques agitations et mouvements de la foule. Les soldats restèrent vigilants mais rien d’incontrôlable pour le moment. Le représentant du Gouvernement les calma de nouveau pour poursuivre son discours. Sauf qu’il scella définitivement l’avenir de Soren avec l’annonce tant attendu. Lorsqu’il entendit « pirates du monde entier », l’officier retroussa ses pas et se dirigea vers la sortie. L’annonce des sept capitaines corsaires était une abomination et une honte. Il laissa tomber son uniforme sur le chemin, qui appartiendra à qui le souhaitait. Cependant, avant même que l’héraut ne puisse terminer sa phrase, une puissante détonation vint interrompre l’événement en explosant la scène, ses occupants, dont le personnage principal. Le karma, pensa Diergraad.

- SO’ ! QUE FAIT-ON ? ON ATTEND TES ORDRES !

Soren observa un peu la situation, d’un air assez désintéressé. Tout le monde était dépassé. Des stands autour de la foule se découvrirent des assaillants, armés jusqu’à l’os, tirant sur absolument tout ce qui bougeait. Comment diable des types armés avaient-ils pu pouvoir passer au travers de la sécurité ? Une énigme qui ne sera jamais résolue. C’était peine perdue pour l’instant. Il fallait compter sur les renforts qui arriveraient d’une minute à l’autre. Mais la boule ne disparut toujours pas. Ce n’était pas l’invasion de l’armée révolutionnaire qui l’effraya. Ni l’attentat ni la mort de l’héraut. Les deux autres explosions, plus éloignées cette fois-ci, provoquèrent un véritable électrochoc du côté de notre protagoniste.

- Arch’, mon ami, fais comme tu veux. Ici, la situation n’ira que de mal en pis. Là-bas, si je ne m’abuse, ma famille se trouve cernée, dit-il froidement sans détacher son regard de l’endroit où les dernières explosions eurent lieu.

Prenant une puissante impulsion, il détruisit l’un des stand duquel tirait des révolutionnaires, laissant la possibilité à certains de s’enfuir comme il le faisait. Il courut à toute vitesse, sans relâche, jusqu’à Citigroup où se trouvaient sa femme et ses enfants. Sur place, les luttes étaient déjà acharnées, la ville tombait en ruine et ne ressemblait en rien à ce qu’il avait connu. L’une des cadres de la révolution annonçait une guerre logique et imminente.

- Commandant Diergraad ! Dieu merci ! Aidez-nous, je vous en prie ! hurla désespérément un soldat sentant la situation leur échapper.

Il ne prêta son attention à ce dernier que le temps d’un instant.

- Ne comptez plus sur moi, soldat. Référez-vous au sénateur Memphis présent sur place. Par ailleurs, je ne suis plus commandant et n’exerce plus au sein de cette institution dégoutante. Adieu.

Puis il s’en alla. Il se dirigea avec beaucoup de hâte en direction d’un immeuble en particulier, esquivant les diverses détonations et balles. Des cris de rage, des cris de douleurs, des cris de désespoir… Un véritable chaos résonnait dans cette ville. Des citoyens tués simplement pour avoir été au mauvais endroit au mauvais moment. Mais Soren ne pouvait pas s’arrêter. Son objectif passait avant celui des autres. Esquivant sans relâche les divers opposants, qu’ils soient révolutionnaires ou marine, voire même des civils, la perte de temps serait trop importante. Mais malgré cet effort et cette abnégation à éviter le conflit, le conflit arriva à lui. Le conflit, c’était cette explosion, face à lui, qui le propulsa à quelques mètres. Sonné par l’explosion sonore et la déflagration, il s’empressa de se relever pour repartir à l’assaut. Ce qui explosa n’était autre que l’immeuble qu’il visait depuis le début. La raison de sa vie tomba en ruine sous ses yeux impuissants. Il se lança alors dans une quête de recherche dans les ruines. Évidemment, des cadavres à la pelle, ce qui ne le rassurait absolument pas. Quand il aperçut la peluche favorite de son enfant, il sut que ce dernier n’était forcément pas loin. Il creusa. Encore et encore. Jusqu’à tomber sur cette main, poussiéreuse, légère, frêle et douce… Sans vie. L’ex-commandant prit le temps de déloger le corps de son fils, le serrant fort contre lui, en larmes, hurlant son désespoir de toutes ses forces. En jetant un coup d’oeil en-dessous, il vit ses deux autres enfants. Ils passèrent leurs derniers instants, dans la peur, imaginant certainement leur fin.

Explosion.

Mais cette fois-ci pas physique. Soren Diergraad explosa. Un horrible cri émanant du plus profond de ses tripes stoppa, à proximité de lui, la bataille pendant quelques instants. Avant de perdre complètement pied, les fautifs de ce massacre était à son sens le Gouvernement qui a trop voulu en faire, jusqu’à s’allier à des pourritures pour massacrer des opposants politiques. Les pirates seraient devenus des samaritains pour les beaux yeux des gouvernants de ce monde ? Pas étonnant que des groupuscules s’élevèrent pour combattre cette anarchie. Pour sûr, même si notre protagoniste ne faisait pour l’heure plus aucune distinction entre le bien et le mal, la marine ou la révolution, ses dernières pensées constructives furent ces dernières. Sa carrière au sein de la Mouette n’était plus qu’un lointain souvenir.

L’homme resta sur les rotules un long moment, tête dirigée vers le ciel, bouche ouverte, la tête de son fils sur ses genoux. Un soldat de la marine, reconnaissant l’ex-commandant, se rapprocha pour s’assurer qu’il était en vie. Malheureux. Il fut fauché violemment, d’un seul mouvement, par le bras de celui qu’il venait voir. Une fois au sol, toujours d’un brève et puissant coup partant du haut, Soren écrasa sa tête. Du sang gicla sur son visage. Le reste du récit était un peu vague. Les écrits du Gouvernement décrivait un Soren hors de contrôle qui tua de nombreux hommes, des deux camps, sans la moindre hésitation et avec une barbarie qu’on ne lui reconnaissait pas. Il aurait pu causer de grosses pertes des deux côtés, mais il fut stoppé par un puissant coup du sénateur Memphis qui l’envoya valdinguer au loin. À la fin de cette tragédie, personne ne retrouva le corps du commandant Soren Diergraad. Il n’était évidemment pas présent le jour de la sépulture de sa famille et une prime lui était attribuée étant jugé comme toujours en vie.



**************************



Soren était bien en vie. Il se réveilla brutalement suite aux coups de pied qu’il recevait depuis quelques temps.

- Holà Gringo ! La fête a été rude ?

Ce type ne rappelait rien à l’ex-officier. Seul un mal de tête le démangeait.  

- Où suis-je ?
- Whisky Peak l’ami ! La soirée t’a fait perdre la tête !
- La soirée ?
- Avec ton maquillage, y a pas de doute possible, t’étais à la soirée de la muerte. Tu t’appelles comment, gringo ?

Un long silence suivit cette question.

- Je ne sais pas.

PSEUDO SUR LE NET
TON ÂGE
25 ans
TON AVATAR ET SON MANGA
Le Joker
CONNU LE FORUM ?
Némo

PsychAli
Le Joker amnésique - Terminé 1570646720-hover-psychali
Loca. :
Balgimoa
Berrys :
230.000.000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
Le Joker amnésique - Terminé Left_bar_bleue6/100Le Joker amnésique - Terminé Empty_bar_bleue  (6/100)
PsychAli
The 8-Legged Detective
posté le Mer 14 Oct - 18:55
Un deuxième personnage joué qui a un lien avec Star-Top Nation, on voit bien que les RPBG du forum ont hypé du monde, et ça c'est bien stylé ! Alors penchons-nous sans plus attendre sur ta fiche.

Tout d'abord, j'aimerais tout de même te dire que tu ne perds aucun point sur la forme de ta fiche, tu écris bien, tu ne te répètes pas, et malgré quelques fautes d'inattentions vraiment minimes, je n'ai rien relevé. Néanmoins je te conseillerai tout de même par la suite d'utiliser des couleurs pour tes dialogues. Je sais bien que ça peut paraître bizarre, mais les dialogues sont tout de même importants sur un post-RP, ça ne coûte rien de les faire ressortir un peu histoire de donner un peu de vie à tes posts ! Sinon, je n'ai rien d'autre à dire de ce côté-là.

Venons-en donc au fond... Et un point qui, tu le devines, va susciter un gros commentaire. Je ne peux que te féliciter pour avoir intégré un RPBG (le tout premier du forum, en plus !) dans la fiche de ton personnage, c'est vraiment sympathique, et encourageant non seulement pour ton personnage, et aussi pour toi, en tant que joueur. Du coup j'espère vraiment que le RPBG t'as plu et t'a donné envie de participer au suivant ! 
Venons-en donc à la sauce. Soren est, ma foi, un personnage assez simple, dans tous les sens du terme. D'abord marine basé à Star-Top Nation, il est dégoûté par le discours du héraut et décide de déposer son uniforme sur le moment, puis vit l'attentat, impuissant, tout ça t'insère bien dans le background du forum tout en étant simple et efficace. Le seul problème que j'ai avec ça, c'est qu'on ne voit rien de l'homme qu'est Soren dans la vie de tous les jours. Typiquement, tout est raconté par le biais d'une fenêtre assez éloignée de la vie de ton personnage, du coup tu nous dis dans la narration qu'il est simple, apprécié des gens qui l'entourent, mais je ne le vois pas, moi, dans les faits. Le dernier repas avec sa famille aurait gagné à être plus détaillé, par exemple. Ça, et je trouve aussi que la dissidence de Soren est un peu trop expédiée. Typiquement, s'il était un marine pour lequel ses hommes avaient tant de confiance, c'est qu'il avait une certaine expérience, ça aurait été super intéressant de savoir ce qui se passe exactement dans sa tête lorsqu'il entend le discours du héraut ! Un peu comme les PJ à STN.

D'ailleurs, concernant les PNJ dont je parlais plus tôt, ceux que tu as inventé, ça rentre dans la critique sur le manque de détail sur la vie de famille, mais j'ai trouvé qu'ils n'étaient pas assez développés. On voit bien qu'Archibald et Soren sont vraiment potes par contre, dans leurs dialogues justement, et c'est dommage que t'ai pas fait de même avec sa famille, du coup.
En parlant de PNJ, autre point qui fâche, et que je trouve vraiment dommage pour le coup. Tu avais une plétore de PNJ à nommer et utiliser dans ta fiche, et même des PJ d'ailleurs... Et tu ne l'as pas fait. Seul Memphis est cité, et fait d'ailleurs une action assez louche. C'est dommage !

Donc pour conclure, je trouve que ta fiche part d'une très bonne idée, et démontre d'un grand intérêt pour le forum, c'est quelque chose que je ne peux qu'encourager et féliciter. Néanmoins, tu aurais vraiment gagné à prendre un peu plus de temps, ajouter quelques détails, préciser certaines choses. Juste un petit peu ! Et je reste curieux de voir où tu nous emmène avec ce sujet d'amnésie.

Petite apartée, mais il y a deux équipages de pirates de libres sur le forum qui cherchent bien des nouveaux membres (celui-ci qui est un peu dans la barbarie et celui-là qui est plus chill), je te conseille d'en parler avec leurs capitaines sur le discord ou par MP et de voir avec eux, si t'es intéressé ! o/


Par la sainte administration, je te valide donc en tant que Pirate avec 6100 Dorikis de base + 510 Dorikis dus au parrainage de Finnegan + les 1000 Dorikis bonus pirate, ce qui te fait un total de 7610 Dorikis ! Tu commenceras avec une prime de 60 millions de Berrys pour trahison et avoir attaqué des soldats de la Marine, réveil à Whiskey Peak ! Amuse-toi bien avec ton blagueur endommagé !
Le Joker amnésique - Terminé
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