One Piece Anarchy
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Une rencontre du destin [FB - Feat Alaude]
Toshiyo Narumi
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Feuille de personnage
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Toshiyo Narumi
Midori Oni
posté le Mer 14 Oct - 23:04
Je m'étais enfin débarrassé de mes hommes, ils étaient loin d'être collant, mais il fallait dire qu'ils étaient plutôt protecteur avec moi, ils avaient en partie accepté le fait que je sois une femme, mais ils restaient très protecteur quand même. Je m'étais donc rendu, grâce à un navire de la Marine, sur les mers d'East Blue, j'avais entendu que ces mers étaient particulièrement belles, franchement, je ne m'attendais pas à grand chose et je fus de même légèrement déçu, ces mers n'avaient rien de très exceptionnelle, je soupirais en regardant les environs. Mon épée à ma ceinture, je fixais l'horizon tel un oiseaux, tandis que j'aperçus une île après quelques heures de navigation, je n'étais jamais venue sur les blues avant aujourd'hui et je dois dire que c'était quand même relativement calme et ça, c'était agréable, mais c'était commun aux Blues, j'imagine.
Je regardais donc l'île devenir de plus en plus grande tandis que l'on se rapprochait, j'admirais le paysage, très différent de St-Itturia avec un œil attentif, peut-être rencontrais-je des personnes intéressante ici, je l’espère fortement en tous cas.

Une fois sur l'île, je me dépêchai de partir, faussant ainsi compagnie au soldat de la Marine que j'avais promis d'aider dans leurs missions avec un large sourire, je n'avais pas très envie de travailler aujourd'hui, d'ailleurs, c'était mon jour de repos à la base. Je me rendis donc dans une boutique de vêtement afin de me changer et je pus enfin enlever mon masque, d'ailleurs ma corne intriguais beaucoup les gens sur cette île dont je n'avais pas le nom, c’était une chose qui avait toujours fasciné les gens autour de moi, je trouvais ça très flippant parfois, d'avoir autant de regard sur moi.
Je me baladais donc dans les rues de cette ville portuaire tandis que je voyais certains marines cherchaient une jeune femme aux cheveux de jade et portant un masque, cela me faisais sourire, un large sourire que je ne pouvais cacher derrière mon masque cette fois. D'ailleurs il valait mieux que je rentre dans une taverne, je portais tout de même Hevajra, ma Meito ainsi que mon masque à ma ceinture et j'avais des cheveux verts, les plus intelligents ferrait sûrement le lien avec moi et cela ne devait pas arriver, je voulais profiter de ma journée, loin de mes hommes et du travail.

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Je pénétrais donc dans une taverne, le sourire aux lèvres et la bourse pleine, il était temps de boire, mais pas trop, après tout l'abus d'alcool est dangereux pour la santé et surtout, je ne sais pas trop tenir l'alcool, c'était d'ailleurs ça le principal ! Je m'approchais donc du bar, sous le regard parfois déplacé de clients, avant de faire un grand sourire à la serveuse.



« Bonjour, pourrais-je avoir un verre de rhum s'il vous plaît. »

La serveuse me répondit avec un grand sourire avant de me servir ce verre, c'était plutôt agréable comme coin, je me délectais de mon breuvage tandis que mes pensées vagabondaient de plus en plus. Malheureusement toute bonne chose a une faim, je fus tirée de mes pensées par un énième lourd qui pensait réellement pouvoir me gérer et je n'allais pas y prêter attention jusqu'à ce que ce dernier se permette de toucher à ma corne, s'il y avait une chose que je détestais au monde c'était que l'on touche ma corne sans demander. 
Ce fut à une vitesse et avec une dextérité hallucinante que mon sabre fût dégainer et fut placer sous la gorge de ce bon monsieur qui avait maintenant pleins de gouttes sur le front. 

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« Refait ça une fois encore et je peux te promettre que ta tête ainsi que celle de tes amis tomberont très facilement, Hevajra n'a pas connu de sang depuis bien longtemps et je suis sûre que ma lame saura ravi de pouvoir s’abreuver de ton sang. »

Il devait maintenant me prendre pour une folle, mais ce n'était pas plus mal, tout le monde nous regardaient tandis que lui et ses potes se barrèrent à une vitesse hallucinante, et cela, sans payer. Je soupirais avant de rengainer et de regarder la serveuse avec un sourire d'ange, elle était relativement perplexe face à la situation.

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« Je paierais leurs consommations ne vous inquiétez pas. »

C'était effectivement peut-être de ma faute s'ils s'étaient barré en faisant pipi dans leurs frocs et surtout sans payer alors je ne pouvais décemment pas ne pas payer pour eux, ce n'était pas à la taverne de payer pour leurs conneries.
Alaude V. Castafiore
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Balgimoa.
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Alaude V. Castafiore
L'Alouette
posté le Jeu 7 Jan - 3:12
.001
Une Rencontre du Destin
« Aaaah ! L’on aura beau dire mon cher, il n’y a plus satisfaisant que l’amer fraîcheur d’une bière pour conclure une journée de dure labeur… Certes des palais s’estimant plus distingués trouveront à redire à cette affirmation, considérant sans doute le vin ou les liquoreux bien plus adéquat à leurs goûts raffinés. Néanmoins, je ne saurais leur donner raison et j’ose espérer que vous, très cher ami, qui m’écoutez si assidument, serez d’accord avec moi…

Cela me fait d’ailleurs penser à une anecdote concernant notre chère oiseau d’apparat. Comme l’on pourrait s’en douter, étant issue d’un milieu dominé par l’apparence et l’opulence, elle n’avait pas été habituée au breuvage ambré. Néanmoins, après deux années passées à naviguer aux côtés de rustres marins, la Castafiore avait fini par se prendre au jeu des auberges de port. Ne rechignant pas à tremper ses lèvres fines dans la mousse épaisse et amère à l’occasion de quelques escales afin de laisser à ses papilles distinguée le plaisir simple de se faire chatouiller par les bulles fine du liquide houblonné. Elle se plaisait à observer l’animation des bars, comme l’Homme s’amuse à observer ses bêtes en pâture, écoutant imperturbable les musiciens, chanteurs ou autres saltimbanques de passage par-delà les cris et les effusions alcoolisées.

C’est ainsi, assise dans un coin en retrait d’une taverne située sur une petite île d’East Blue que nous retrouvons la Sainte déchue pour mon récit du jour... »




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Les perles d’ors de la bleuté fixaient sans réel intérêt les reliefs de la chope en bois qui avait été mollement posée devant elle par la serveuse. Jouant distraitement de ses doigts fins avec l’anse en fer grossièrement forgée. Le métal, rendu collant par l’alcool, présentait ci et là de légères irrégularités, massant légèrement la peau lisse de la jeune femme.
Elle avait rejoint les effectifs du Sora no Shisha, l’équipage du fameux Sakazuki D. Faust quelques jours auparavant. Un choix pour le moins surprenant pour quiconque connaissait les objectifs de la maudite des fils, mais qui prendrait tout son sens le moment venu.
Malgré tout, ce serait mentir que de dire qu’elle trouvait totalement son compte dans la situation. Non seulement, il s’avérait qu’elle aurait bien plus de difficulté à accéder aux secrets d’état que le maître de la gravité lui avait laissé entrevoir, mais, en plus de cela, les partenaire du gradé la laissait au mieux indifférente, au pire l’excédait purement et simplement. Certes, aucun n’arrivaient à la cheville des Dieux de Marie-Joie, qui se complaisant dans une opulence de façade pour se persuader de leur utilité et, pire, de leur autorité. Mais tous ces boniments dont faisaient preuve les hommes de la force armée du Gouvernement Mondial dans le seul et unique but de se rassurer quant au bien-fondé de leurs actions étaient d’un risible… S’ils savaient le peu de reconnaissance que leur accordait ceux pour qui ils sacrifiaient leur liberté et leur bon sens, ceux-là même qui se lavaient de leur sang et jouaient de leur vie comme l’on jouait d’un pion sur un échiquier. Nul doute que nombre d’entre eux en tomberait des nues.

Loin de ses états d’âme, quelques badauds de passage ainsi que des clients plus réguliers dévisageaient avec intérêt l’Alouette. Si les coups d’œil appréciateurs des premiers ne laissaient que peu place à l’interrogation quant à cette inspection visuelle, l’éclat inquiet qu’arboraient les seconds semblaient indiquer que les locaux restaient méfiants vis-à-vis des étrangers. A fortiori ceux sortant du lot. Et force était de reconnaître qu’il y avait quelque chose d’inhabituel, pour ne pas dire surprenant, à ce qu’une personne, dont les origines nobles n’étaient pas difficiles à prouver – si le port droit pouvait encore laisser planer le doute, les vêtements brodés de fils d’or ainsi que les bijoux, certes discrets mais tout de mêmes ornés de perles ou de diamants, représentaient un indice assez difficile à contrer –, se retrouve dans un endroit aussi miteux.

Alaude releva les yeux vers deux hommes assis à la table d’à côté. Les deux buvards, le nez rougi par leur breuvage, murmuraient assez peu discrètement tout en la détaillant, un sourire en coin imprimé sur leurs lèvres bouffies. Fixant avec condescendance ces ivrognes, la jeune femme fini par capter le regard de l’un d’eux. Comme à son habitude, l’éclat de pure froideur qui se dégageait des orbes ambrés de la musicienne déstabilisa ce dernier. Blêmissant, il donna un coup de coude dans le bras de son partenaire, lui intimant de se taire, avant de détourner son attention vers le mur qui supportait presque entièrement leur corps engourdi par la boisson.
Ramenant son propre verre à hauteur de sa bouche, la jeune femme laissa échapper un soupir. Décidément, il n’y avait rien d’intéressant à voir sur les mers cardinales…

Comme pour lui donner tort cependant, ce fut ce moment que choisi le destin pour faire entrer dans l’établissement de fortune une femme à l’apparence pour le moins déroutante. Une chevelure de jade, des iris aussi dorés que les siens, mais aussi et surtout, une étrange corne située sur son front. La bleuté fronça les sourcils à cette vision. Voilà qui était… Surprenant. Reposant le récipient de bois avec précaution, comme si elle avait craint que le claquement de la chope sur sa table n’effraie cette mystérieuse créature, l’Alouette fixait avec un intérêt palpable cette dernière.
Si les clients, du moins ceux qui ne la dévisageaient pas, étaient jusque-là affairés à boire tranquillement, tous eurent cette même réaction qu’elle. Observant avec diligence la cornue se présenter au comptoir afin de commander de quoi se désaltérer.

Bien évidemment, étant donné la clientèle peu distinguée qui peuplait les lieux, il ne fallut que peu de temps avant que la jeune femme ne vienne se faire importuner. Peut-être que, s’il avait mieux analysé la situation, le jeune homme qui avait jeté son dévolu sur la demoiselle se serait douté qu’il était préférable de laisser quiconque armé d’un sabre tranquille. A moins d’être sûr de pouvoir riposter. Malheureusement pour lui, l’ivresse semblait avoir eu raison de ses capacité cognitive. Et motrice, par la même occasion. Aussi fut-il récompensé assez durement pour son approche grossière.
Refait ça une fois encore et je peux te promettre que ta tête ainsi que celle de tes amis tomberont très facilement, Hevajra n'a pas connu de sang depuis bien longtemps et je suis sûre que ma lame saura ravi de pouvoir s’abreuver de ton sang. L’Alouette leva un sourcil entendu tandis que la nouvelle venue s’était adressée à l’inopportun tout en le menaçant de sa lame. Elle n’était en rien experte du maniement de ce genre d’arme, auquel cas aurait-elle pu apprécier la maîtrise de cette action exécuté avec vitesse et précision. L'homme et ses associés s'enfuirent sans demander leur reste, forçant l'inconnue à reprendre la parole : Je paierais leurs consommations ne vous inquiétez pas. En revanche, elle appréciait la force de caractère de la verte.

Toutefois, l’employée n’amorça aucun geste pour récupérer son dû, se contentant d’adresser à la jeune femme un sourire énigmatique avant de faire sonner une clochette. Comme vous voudrez… Mais vous allez le regretter. C’est alors qu’une série de grincements se firent entendre à l’étage supérieur. Puis, soudain, le silence, suivi d’un fracas alors qu’une porte s’ouvrait au niveau de la mezzanine qui surplombait la salle principale. Le battant venant percuter avec force la paroi sur lequel il était fixé, le bois déjà bien abîmé par le temps et le manque d’entretien grinçant d’inconfort face à ce choc. De toute évidence, il vivait là ses derniers instant de vie.

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Au milieu de l’embrasure se tenait désormais un homme. Jusque-là légèrement penché pour passer à travers l’ouverture malgré sa grande taille, il se redressa avant de descendre. Ses muscles faisant danser sur la peau nue de son torses les multiples estampes qui y avaient été encrés de façon indélébile tandis qu’il avançait à travers les tables, se stoppant à quelques pas de l’Alouette. Des impayés boss ! La dame se propose de les payer. Lui indiqua avec un sourire la serveuse tout en faisant un geste du pour désigner l’épéiste, avant d’ajouter d’un ton empli de lassitude : Et combien de fois devrais-je vous dire de ne pas claquer la porte…

Le tatoué dévisagea de haut en bas cette dernière avant de faire craquer son cou puis de cracher au sol, tirant une grimace de dégout à la Castafiore. J’t’ai jamais vu toi… Bah ! Peu importe. Ici ceux qui peuvent pas payer doivent réussir une épreuve. J’espère que tu en as sous le capot gamine. Alaude fixait avec incrédulité le propriétaire des lieux. La scène avait pris des allure étrange, lui rappelant les scénarios capilotracté des livres d’aventure qu’elle lisait enfant. Ceux où les héros étaient soumis à des défis pour tout et n’importe quoi en échange d’une maigre récompense sensées les mener à l’adversaire final. Comment ça une épreuve ? Ne pouvait-il pas simplement encaisser son argent ?

C’est complètement ridicule… Cette pauvre femme n’a fait que proposer de payer les boissons de quelques idiots qui ont préféré prendre leurs jambes à leur cou. Pourquoi devrait-elle remplir une épreuve sortie d’on ne sait où ? Ahurie par tant de stupidité, la bleuté n’avait pu s’empêcher de verbaliser son incompréhension. S’attirant par la même un regard agacé de l’homme qui ne pris pas la peine de lui répondre. Attendant patiemment un acquiescement de la part de la sabreuse.

Décidément… L’oiseau de malheur vînt se masser le front, une expression de dépit déformant ses traits fins. C’était officiel, elle n’en pouvait plus de ces bouseux des Blues et de leur logique à deux berrys.

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Toshiyo Narumi
Midori Oni
posté le Jeu 14 Jan - 17:23
Il existait un nombre incalculable de race à travers le monde et encore plus d'être vivant, alors pourquoi fallait-il que cela tombe sur moi ? Qu'avais-je fait de mal pour que le karma s'acharne ainsi sur moi ? Peut-être était-ce de la faute de ce rapport que je n'ai pas rendu à temps ou alors peut-être que je n'avais simplement pas de chance, oui, je pense que c'était cela, je n'avais pas de chance, c'était la chose la plus probable, j'imagine. 

Résumons la situation, je me suis débarrassé d'indésirable et j'ai même proposé de payer à leur place, mais tout ce que j'avais reçu en retour, c'était des problèmes, le patron était visiblement un trou du cul et la serveuse une rapporteuse de premier choix, je détestais ce genre de personne, c'était les pires humains de l'univers, mais dans ce bourbier sans nom comme dirait l'ancien possesseur d'Hevajra, il y avait une chose intéressante, c'était la jeune femme qui avait prit ma défense. Elle était la seule à avoir fait entendre le son de sa voix tandis que le boss final avait fait son apparition, c'était mignon de sa part, mais j'avais peur qu'elle n'ait des problèmes à cause de cela. 

Je soupirais longuement finissant ainsi mon verre de Rhum en prenant évidemment mon temps tenant ainsi toute la salle en haleine, c'était assez plaisant d'être au centre de l'attention, je devais l'avouer. Je finissais donc mon verre avant de sortir de l'une de mes pochettes une bourse remplie de pièce, il devait en avoir assez pour payer une tournée à tous le bar, il fallait dire que ça rapporter d'être officier dans la Marine. Je posais cette bourse sur le comptoir avant de me retourner avec un grand sourire aux lèvres.

« Il y a dedans, largement assez pour payer ma consommation ainsi que celle de toutes personnes ici de plus c'est très impoli de cracher sur le sol surtout que ce n'est pas toi qui vas nettoyer. »

Il n'était plus question de faire preuve de politesse ou quoi que ce soit, j'étais déjà assez énervé que l'on ai touché ma corne, alors en plus que l'on me provoque intentionnellement, c'était la goutte d'eau qui faisait que j'allais devenir légèrement chiante. J'avançais ainsi vers lui un sourire aux lèvres, j'étais sûr de moi, après tous, j'étais un officier de la Marine quand même.

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«  Ensuite, comme l'a si gentiment dit la jeune femme non loin de toi, rien ne m'oblige à accepter ton défi sorti d'on ne sait trop ou, mais tu sais quoi, tu as l'air d'être une personne très énervante alors vas-y, je veux bien voir ton défi. Oh et surtout ne pense pas que parce que je suis une femme, je ne peux pas te botter le cul, car je le ferrais. »

Je devais dire que j'étais très provocante, je n'avais pas l'habitude de dire tu, j’évitais même, car c'était assez malvenu de tutoyer des inconnus, mais cette fois qu'importe, je le faisais, et cela, sans aucune vergogne. 
Je m’arrêtais ainsi juste devant lui, levant la tête pour le regarder dans les yeux, je ne savais pas trop dans quoi je m'embarquer, mais dans le pire des cas mon unité n'était pas très loin donc si j'avais besoin, je pourrais me servir d'eux, c'était plutôt cool d'être officier finalement !
Je quittais des yeux quelques secondes le bandit des yeux pour regarder la jeune femme ayant parlé pour moi, lui adressant un sourire sincère avant de retourner plonger mon regard rempli de provocation dans celui de l'homme tatoué.
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