One Piece Anarchy
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La justice est aveugle ! Même si je le suis pas ! - Ruper Tramp [Fini]
Ruper Tramp
La justice est aveugle ! Même si je le suis pas ! - Ruper Tramp [Fini] 9711
La justice est aveugle ! Même si je le suis pas ! - Ruper Tramp [Fini] 3dnl
Loca. :
Star-Top Nation
Berrys :
500 000 000 B

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
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Ruper Tramp
build the wall
posté le Mar 1 Déc - 15:40

Ruper Tramp
Super — 26 ans  — Masculin — Marine — Capitaine/Contre-Amiral
métier : Marine
groupe : Marine
rêve : Afin de préserver le monde de la dévastation! Afin de rallier tout les peuples à notre nation!
rang : Build the Wall
grade (facultatif) : Capitaine/Contre-Amiral
prime (facultative) : Une contre à votre guise
espèce : Humain
lieu de naissance : Star-Top Nation
première île : Star-Top Nation
armes : Nop
fruit du démon : Bari Bari no Mi

DESCRIPTION PHYSIQUE — MENTALE

- Mesure 1m90, il est plutôt attractif et soupoudré d'une aura mystérieuse.

- Une chevelure immaculé, ébouriffé et soignée, autant que faire se peut.

- Un regard enjôleur, des yeux d'un bleu éclatant, pur et envoutant, mais encore faut-il, qu'il ne les dissimule pas sous une paire de lunettes noires ou son bandeau fétiche.

- Pratique étrange et douteuse, il bande parfois ses yeux, prétextant que la justice est aveugle et qu'il doit faire comme tel.

- Ayant hérité d'une belle peau, comme celle de sa mère, celle-ci ne souffre d'aucune imperfection et n'est marquée d'aucuns artifices, à l'exception d'une cicatrise, sur l'avant-bras gauche, estompé par le temps, mais toujours visible à ceux qui y prêteraient l'œil.

- Volubile, il a heureusement une intonation de voix suave et caractériel, reconnaissable facilement aux oreilles de ceux qui l'on déjà entendu.

- Siffleur invétéré, il sait aussi bien se faire entendre, que siffloter un air particulier, qu'importent les octaves en question.

- Outre son aspect d'homme charmant et charmeur, il a un physique travaillé, bien que les apparences peuvent parfois être trompeuses. Ce n'est en aucun cas, une fragile brindille, même s'il peut advenir qu'il se cache derrière son pouvoir.


Homme à l'ouverture d'esprit remarquable et aux valeurs plus qu'honorables, cela le ferait sans mal, renié par son père, du moins, s'il n'avait pas lui-même fait le premier pas à ce sujet. Altruiste à ses heures, c'est un homme dévoué à sa cause et ainsi, qu'à celle des autres. Prompt à donner de son temps à autrui, quand cela lui semble nécessaire, il est de ce fait rapidement dépassé par ses obligations et s'avère facilement en retard sur celle-ci.

Bon avec ceux qu'il juge de l'être, il peut au contraire, être une véritable crasse envers ceux qu'il ne peut blairer. N'ayant aucun scrupule à se jouer d'eux, même si la vérité est pour lui l'une des choses primordiales de ce monde, il sera sans problème monter le mensonge du siècle, preuves à l'appui. C'est effectivement un homme respectable, aux principes louables, mais qui peut simplement être le plus vicieux et mauvais qu'il soit, si la cause est juste.

Et des causes, il en existe une multitude, pour tout et rien à la fois, défendable ou non; et lui dans tout ça, celle qui le fait avancer, c'est bien évidemment la Justice. Pour lui, elle est aveugle, impartiale et avisée, étudiant les points de vue et les idées de tous. Elle punit les actes et réprimande les fautes, lave les honneurs et panse les plaies. Pour lui, la justice, c'est réparer les erreurs comme on le peu, punissant les fautifs ou en expédiant les sentences, mais au final, il n'y a pas que ça. Lui cherche à savoir, à comprendre, sans se baser sur des apparences ou des idées que d'autres fonds avec simplicité et automatisme. Lui prend les actes et les questionne, puis avise en conséquence. Tuer à tout va, n'est pas une solution pour lui, même s'il n'est pas totalement contre la pratique loin de là, dans certains cas précis et avérés, mais finir entre quelques murs est une solution, une fin en soi, quitte à en faire un nouveau début, après avoir purgé une peine.

En tout cas, rendre justice n'est pas simple, ni simpliste, mais il s'efforce de le faire bien et pour les bonnes causes. C'est un travailleur, un juste, qui cherche à l'être le plus possible, même si personne n'est parfait. Pour cause, il peut être le plus sérieux des hommes, puis dans d'autres situations, être le plus puéril de tous. Son cœur est énorme et il cherchera à redonner le sourire à ceux qui l'ont perdue, n'aimant pas voir les pleures et le malheur, il se donne alors beaucoup et parfois même donne beaucoup.

C'est un homme généreux, mais surtout une personne loyale, franc et respectueux. Les autres méritent tous son respect sur le principe, puis le perdent dès que quelque chose les rend fautif, ainsi il est prompt à respecter ses supérieurs autant que ses subordonnés, voir tout bonnement la plèbe, mais n'aurait aucun scrupule à faire usage d'un vocabulaire bien plus fleuri s'il ne le mérite guère, qu'importe leur statue.

Ainsi, aussi gentil soit-il, il aussi bien loin de la vision étriquer et suprémaciste de son Père. Pour lui, la Race importe peu, voir pas du tout. Seuls les actes comptes et ce n'est pas parce qu'un semblable a fauté, qu'une communauté doit payer. De ce fait, il y'a surtout un point qui lui fait grincer des dents et qu'il espère pouvoir changer dans le futur, au gré de ses promotions : l'esclavagisme.


TEST-RP LIBRE


Intro : J'accuse mon père.

- "Un de plus, un de moins, pour lui, ce n'était rien."

Née, il y a de cela vingt-huit ans maintenant, j'étais déjà à l'époque, prédestiné à la solitude. Ayant vu le jour le premier, j'étais à l'origine l'une des parties d'une dyade, un jumeau, pas si jumeau que ça, au final, mais nous étions issues tous deux des mêmes gênes. J'avais de l'avance pour une fois dans ma vie, quinze minutes de ce que l'on m'a rapporté, un exploit à ce jour, même si je pense, que je m'en serais bien passé.

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Ce jour devait être magnifique pour ma mère, le plus beau de tous, mais ce ne fut malheureusement pas le cas. Grin, tel devait être son prénom. Il est ainsi mort, à peine quelques instants après sa sortie, n'ayant jamais pris cette ultime respiration, qui lance le début de toute une vie. Ce fut une tragédie pour ma pauvre mère. Des mois durant, son esprit ne put soutenir le choc, venant pour ma part, à finir entre les bras d'une gouvernante, grassement payé par mon ''Père''.

Mon ''Père'', cette histoire, à défaut de l'attrister, lui permit par une chance incroyable ou pot de vin bien placé, à lui faire gagner un procès à l'encontre des médecins. Il avait jugé bon d'accabler, à tort ou raison, la faute aux praticiens, délaissant sans mal l'aspect tragique de la chose, pour un aspect plus pécuniaire. Il était comme ça et l'est sans doute encore, les enfants rapportent d'une manière ou d'une autre, il ne s'en intéresse que pour cela et les a fait que dans cet intérêt, ou moins, il a délibérément lié l'utile à l'agréable.

Bien sûr, cette histoire n'est pas un souvenir, comment aurais-je pu, c'est surtout le résultat d'une chasse au trésor, d'une curiosité maladive, découlant d'une parole qui ne devait pas être dite, mais qui au final m'ouvrit encore plus les yeux.

Effectivement, cela m'a ouvert les yeux, car j'ai été bien longtemps aveugle, ou du moins bien trop naïf. J'étais jeune, pleurnichard et renfermé, cela peut être une excuse, mais l'est-ce vraiment ? Je ne sais pas et le serais-je vraiment un jour ? J'en doute. En tout cas, j'ai ainsi été un privilégié dans mon malheur quasi-perpétuel.
Chapitre 1 : Ah ! vous dirais-je maman.


Un enfant dans une maison, édifice dont il ignore l'indécence même de la nature des matières qui la composent. Or, argent, granite et bois d'essence hors de prix, une maison digne d'un palace miniature parmi tant d'autres. Près d'une dizaine, avec encore de la place pour autant, payé avec de l'argent sortit d'on ne sait où et tous construites, les unes à côté des autres, pour une famille décomposée. Propriétés d'un homme riche, parmi les riches, j'étais l'un des fils de cet homme.

Ne l'ayant vu que bien peu de fois, dans une proximité pourtant bien relative, j'ai longtemps vécue dans cette maison qui était l'une des siennes et dont il n'a franchi le palier, qu'à la suite d'un jour tragique. J'ai ainsi vécu dans son bien, prêt d'une quinzaine d'années, étudiant auprès des meilleurs instructeurs, payé par ce dernier des sommes exorbitantes, au même titre que les médecins au chevet de ma mère, jour après jour. Gouvernante et domestiques, se donnant corps et âme à ma personne, ainsi qu'à ma pauvre mère.

La justice est aveugle ! Même si je le suis pas ! - Ruper Tramp [Fini] Owqp

Elle me manque, terriblement, quand bien même, n'ai-je jamais pus me souvenir du son de sa voix. Voix que je n'ai sans doute jamais entendue à dire vrai. Je me souviens de ses traits blafards, de ce vide, dans le creux de ses yeux, cette flamme sur le point de s'éteindre et qui me faisait demander si la personne en face de moi, s'avère bel et bien la même, que celle sur la photo au-dessus de la cheminée. Elle avait été Miss de Beauté, d'une année qui m'échappe aujourd'hui, mais qui a cette époque-là, n'avait pas échappé à l'homme entreprenant qu'était déjà et encore mon Père.

Il avait sans doute su trouver les mots, ou surtout, les fonds nécessaires pour la séduire. Je n'ai aucun détailles là-dessus, si ce n'est les échos liés aux autres femmes qui composent sa vie, après et avant elle. Elle avait été un prénom, puis, qu'un banal numéro, désignant l'une de ses femmes.

Elle n'avait pas su supporter la mort de son enfant, mon frère, venant ainsi a totalement perdre l'esprit, ne vivant que par l'appui des autres qui la maintenaient, jour après jour, mois après mois, année après année, jusqu'à ce que tout lâche définitivement, huit ans après ma naissance.

Elle avait été ma confidente, l'oreille, sans doute pas attentive, à mes déboires et mes découvertes, moi qui refusais de me dévoiler à cette Gouvernante qui était cette mère de substitution, je vins alors à ne plus pouvoir déballer mon cœur, le jour où le sien vint à lui manquer.

Chapitre 2 : L'Assasymphonie.

Ma mère mourut ainsi, dans l'indifférence de mon ''Père'' et des siens. Celui-ci paya bien évidemment la cérémonie, elle était la mère d'un de ses enfants. Il y assista tout de même, plus pour l'image qu'il aimait refléter, que par véritable amour ou compassion. Toute la ''famille'' était là, des visages, plus ou moins, familiers et sympathiques, des femmes ayant connu le même traitement que ma pauvre mère, mais qui s'en sortait plutôt bien. Il y avait des enfants, plus ou moins grands, frères et sœurs, qui pour certains, étaient déjà adultes, avec même, leurs propres enfants. Je me semblais étranger à cela, je ne les avais croisés que quelques de rare fois, à peine assez pour reconnaitre quelconques visages à cette heure.

La musique de l'orchestre symphonique, payé pour l'occasion, était assourdissante et solennelle. Bien que jouée par d'illustres musiciens, doués dans leurs instruments respectifs, leur musique me semblait alors sonner faux à cet instant si troublant. J'avais cette impression que chaque note, enfonçait en moi, plus profondément encore, le couteau qui me perforait le cœur. Ma mère vint alors à rejoindre sa dernière demeure, retrouvant mon frère dans un caveau érigé il y a des années, sur les ordres de mon ''Père''. C'est ce jour-là, devant cet édifice, que j'ai pour premier souvenir, d'avoir été pendant quelques instants le moment d'attention de celui-ci et encore.

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- "Ecoute mon petit Grin !"

Lança-t-il avait aplomb avant de se faire timidement interrompre par l'un de ses hommes, qui lui glissa quelques mots. C'est alors, qu'il se racla la gorge et comprit son erreur, qu'il chercha maladroitement de dissimuler en répétant énergiquement sa phrase d'accroche.

- "Ecoute mon petit Ruper ! Ta mère était très malade et c'est tragique ! Mais tu es fort et tu surpasseras cela, j'en suis sûr !"

Tels furent ses mots, froid et malhabile. Naïf comme j'étais alors, j'avais acquiescé tout bêtement, timidement même, mais si cela avait été aujourd'hui, croyez-moi que je me serais permis de lui mettre mon poing en pleine face. Il était totalement détaché de la réalité, du bon sens et ne vivait que pour lui et avec les temps, il n'avait même pas été assez lucide pour se rappeler lequel de ses deux jumeaux était encore en vie et auquel il s'adressait à cet instant. Une fois qu'il était alors parti, je vins à le comprendre et c'est la première fois où je vins à éprouver de la haine pour quelqu'un, de l'injustice.

Chapitre 3 : Vivre à en crever.

L'adolescence ! Âge des ingrats, dont j'étais alors le Roi. J'avais quatorze ans, ayant fait fuir tous les domestiques à mon service et même ma bonne Gouvernante, qui s'efforçait de passer tout de même régulièrement, histoire de me déposer à manger et de quoi me changer. La maison était devenue un véritable dépotoir et les sols, autrefois étincelant, étaient dès lors ternes et jonchés de déchets.

J'étais un effronté, un arrogant prompt à faire usage de mes poings face à ceux qui voulaient en venir à ce niveau. Mon ''Père'' avait fini par envoyer quelques-uns de ses gros bras, histoire de me recadrer, pour que cette histoire ne se propage guère au-delà du quartier privé de la famille. Les premiers affrontements n'avaient pas été choses aisées, mais j'avais pris soin de me former depuis quelque temps. Je m'étais alors bien défendu, mais à un moment donné, le nombre vint à surpasser l'unité et on me cassa le nez, pour au final à m'apporter à mon ''Père''.

Finissant dans un bureau, assis sur une chaise et à demi groggy, des gardes derrière une porte et une lumière aveuglante, j'avais encore la prétention de me lever et de me dresser devant cette entrée, prêt à en découdre. Le bureau était somptueux, pour quelqu'un qui avait ce genre de goût, luxueux et tape à l'œil, ce qui n'était pas mon cas. J'avais déjà attendu une dizaine de minutes sans que personne ne vienne à moi, j'avais cherché à ouvrir la porte, frapper celle-ci et alerter les hommes postés derrière, mais sans parvenir à mes fins.

J'étais seul, dans cette pièce de bonne taille, où sur le mur trôné un portrait de cet homme que je détestais le plus au monde. C'est au pied de celui-ci, que trônait alors une petite colonne de marbre. Celle-ci était surmontée d'un cube de verre ou était alors surexposée par des lumières ce qui s'apparentait à un fruit au spiral étrange. Cela mit quelques instants, mais l'information vint à trouver son chemin dans ma mémoire et un nom vint à atteindre mes lèvres.

- "Un fruit du démon ?! Comme dans le livre et les histoires de la vieille !"

Charmant surnom de la Gouvernante, qui serte ne le méritait pas et pourtant. En tout cas, l'information était là et cet homme avait le culot de laisser trainer une telle chose, trop prétentieux pour penser que quelqu'un allait lui usurper. Ce fut pour lui une grave erreur, car à cette époque, aussi connard que je l'étais, j'ai ainsi fait ce que tout le monde pense : j'ai mis la main sur ce truc. J'ai tout donné, explosé le mobilier, après avoir bien évidemment pris soin de bloquer la porte. Ils tambourinaient comme pas possible, alors que je mettais à mal le verre de ce coffre transparent. Cela prit quelques minutes, mais bien assez pour croquer sans réfléchir dans mon butin, avant même, qu'il ne puisse se frayer un chemin.

Le comble dans cette histoire, c'est qu'il était là, la mine décomposée, de toute sa stature immense. Me dévisageant comme si j'avais commis le pire crime qu'il soit et moi, aussi hautain étais-je, je vins à surenchérir.

- "Dis-toi que c'est une avance sur l'héritage ! Voir, la seule chose que je te prendrais de plus à partir d'aujourd'hui !"

- "Le Bari Bari no Mi ! Grin ! Je venais à peine de mettre la main dessus !"

- "Ruper ! Moi, c'est Ruper ! Et tu le sais très bien ! Si tu me tu là, c'est ton image qui prendra un sacré coup ! N'est-ce pas ?! Que tu prétendes ou non, que je sois fou ! Alors laisse-moi partir et tu n'entendras plus parler de moi !"

Ainsi fut la dernière rencontre entre mon ''Père'' et moi. Quelques heures plus tard, je vins à me rendre dans la base Marine la plus proche et m'engagea sur un coup de tête, pensant avant toute chose que cela allait m'offrir la possibilité de quitter cette île et après réflexion, changer mon avenir, à défaut de me protéger des retombés de mon ''Père''.


Chapitre 4 : Place je passe.

Quinze ans à peine, c'est là que je vins à entrer dans la profession. Ayant rejoint un centre de formation, dans un coin perdu du Monde, comme toutes les nouvelles recrues qui ce respect, je vins à devoir revoir mes principes initiaux et apprendre où était ma place. J'avais des qualités, qui me permirent d'être repéré facilement, mais pour mon instructeur, ce n'était en aucun cas un passe-droit. Comme tous, autant qu'ils étaient, je vins à bucher, des mois entiers, enchaînant les exercices et les réprimandes à chaque faute, c'était une routine huilée, une habitude qui rapidement devint des automatismes. Si le gamin que j'étais à l'arrivée, avait vu celui qui en était ressorti, celui-ci s'en serait bien marré.

En tout cas, ce fut l'une des meilleurs périodes de ma vie, du moins, la moins pire, comparée à ce que j'avais alors vécu bien avant, pour cause, il n'y avait pas mon ''Père''. Enfin, j'en ai pour ainsi dire trouvé un autre, bien moins con, même s'il avait une certaine grande gueule. Mon instructeur était un homme bon, même s'il avait à l'époque une certaine préférence pour le prodige, Tokugawa Genosuke, qui termina ses classes plus vite que n'importe qui avant lui.

J'avais eu la chance ou la malchance, de l'affronter lors d'un entrainement, j'avais serte mes barrières, mais lui, lui il était bien trop fort pour être vrai. Ce fut presque une humiliation, n'ayant serte pas put franchir ma barrière, mais étant parvenue à la contourner sans mal, c'était grisant. Pour dire, il était déterminé, au point où j'ai bien failli perdre un bras ce jour-là, j'en ai même encore la cicatrise. Et dire qu'il est Amiral aujourd'hui, je n'en ai presque eu aucun doute de croire la personne qui me l'avait annoncé, c'était presque une évidence, autant pour moi que pour notre instructeur, mais moi aussi un jour, je viendrais à faire mes preuves, j'y crois.

Et mes preuves, je vins à les faire, sortant comme tout autre de cette formation, avec plus de mérites que certains, mais avec encore des preuves à faire. J'ai voyagé aux quatre coins du monde, fait face aux réalités de celui-ci, affrontant l'adversité et prenant parfois des coins, en gardant soin de les rendre avec panache. Être dans la Marine n'est pas facile tous les jours, mais c'est aussi les aléas du métier.

Et encore plus de nos jours, car il y a encore peu, j'ai eu la malchance de croiser le chemin d'affiliés à Xoth, autrement dit : Des Hommes-Poissons bien remontés et prêts à en découdre. Ce fut un combat comme je n'en avais encore jamais eu, violent, presque bestial. Leur dégoût des hommes suintait à chacun de leur coups, voulant bien plus que ma mort, ma souffrance.

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Ils se sont ainsi défoulés, épuisés et littéralement charcutés sur ma barrière, ne me donnant que peu d'ouverture entre-temps, achevant honteusement le travail une fois leurs ardeurs asséchées. Je n'ai aucun mérite, ni fierté à les avoir ainsi occis de la sorte, je le devais pourtant, pour les hommes qui m'accompagnaient sur le moment et qui n'ont pas fait long feu face à eux. Je pense ainsi aux familles, pas seulement celle des miens, mais aussi à celles des autres face à nous, étaient-elles eux aussi fervents partissent du Yonkou ?

N°42
25

Satoru Gojo - Jujutsu Kaisen

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Williams P. Blake
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Loca. :
Balgimoa
Prime :
200.000.000 B
Berrys :
580.000.000

Feuille de personnage
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Williams P. Blake
Les mille lames
posté le Mer 2 Déc - 21:50
On est sur un concept de personnage bien intéressant, voyons ce que ça vaut !

Alors déjà, créer un personnage se basant sur un PNJ émergeant de la fin d'un RPBG c'est super intéressant. On ressent la volonté d'inscrire ton personnage dans le contexte global et c'est très bien fait ! Il manque un tantinet d'insertion dans le reste du contexte, qui est surtout lié à Don Tramp globalement, mais j'ai noté l'effort d'ajouter Genosuke qui est plutôt bien amené et qui permets d'intégrer un peu plus ton personnage dans la Marine.

Pour le reste, j'avoue que tu aurais mieux fait de prendre le modèle de présentation avec l'histoire, sachant que c'est clairement une histoire et non un test-rp, ça t'aurais permis de grapiller des points supplémentaires au prix d'une description physique à étayer un petit peu, sachant que le barème de notation entre les deux modèles est différent. Tout reste cependant cohérent et plutôt original, ce qui est un bon point, tu maîtrises également bien la narration à la première personne, ce qui mérite d'être souligné !

Du point de vue de la forme, il y a malheureusement plusieurs fautes, que ce soit d'orthographe mais surtout de conjugaison qui ont tendance à entacher ton récit et c'est dommage. Au niveau de la mise en forme tout est bon, je ne sais pas si tu es un adepte du rp image mais si c'est le cas t'es à la maison ici !

Tu es donc bien évidemment validé, bien joué à toi ! Tu récupères ton Bari Bari no Mi que tu vas pouvoir exploiter comme tu le sens avec tes 6 800 Dо̄rikis !Aucune contre-prime sur ta tête par contre, puisque rien ne le justifie, mais tu débutes en tant que Capitaine de la Marine ! Il ne te reste donc plus qu'à faire valider ta Vivre Card pour commencer à appliquer ta justice aveugle comme tu le sens. J'espère que tu t'enjailleras bien chez nous et encore une fois : félicitations !
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