métier : Journaliste - Contrebandière groupe : Civile rêve : Trouver son prince charmant - créer son propre journal. rang : Journaliste Indépendante prime (facultative) : A voir si sa famille veut la récupérer en "Only Alive". espèce : Humaine. lieu de naissance : LogueTown première île : Little Garden armes : Ses poings ! fruit du démon : Tori Tori no Mi - Zoan Oiseau, modèle Hirondelle (lien)
DESCRIPTION (Physique/Mentale)
Anna n’aime pas trop parler d’elle-même, en partie parce qu’elle trouve les autres plus intéressants et intrigants qu’elle, mais aussi parce qu’elle s’estime trop illogique pour être sérieusement décrite. Enfin, commençons par le commencement : à quoi ressemble Anna B. Wallace vu de loin ? La journaliste à en devenir arrive la plupart du temps à se faire discrète à cause de sa taille, relativement moyenne pour une fille de son âge, alors qu’elle arrive à peine à dépasser le mètre 75. Ayant entamé sa pleine croissance, elle a bon espoir pour sa figure du futur lorsqu’elle jette un regard furtif sur les formes développées de sa mère. Véritable modèle depuis toujours aux yeux de la petite enfant, Anna aspire à ressembler à sa mère sur beaucoup de points, autant physiques qu’intellectuels. Mais pour mieux voir à quoi ressemble Anna il faut se rapprocher d’elle, plusieurs détails ressortant : ses cheveux marron formant une coupe au bol, finement décorés avec un serre-tête de la même couleur, même si les extrémités de ses mèches se font plus détachées, voir hérissées.
En l’observant davantage on remarque les contours de son visage qui marient parfaitement ses traits fins, son petit nez et ses lèvres fines faisant davantage ressortir ses grands yeux aux pupilles rubis. En fonction de la lumière, elles peuvent autant briller d’un rouge vermillon resplendissant que d’un rouge plus carmin, plus profond. C’est cette palette-là qui permet à la jeune femme d’observer le monde sous différents regards : à la fois rêveuse, mais aussi perspicace et avisée. Sous ces traits bien à elle, Anna n’hésite pas à mettre en avant sa silhouette fine et bien entretenue, portant souvent des vêtements permettant de voir sa peau blanche que ce soit au niveau de son dos, de ses jambes et de ses épaules, voir même de son ventre. Elle ne ressent pas vraiment de complexe vis-à-vis de son corps, sachant pertinemment qu’elle avait du chemin à faire et qu’elle a déjà longtemps acceptée l’idée de s’apprécier comme elle était, son fruit du démon pouvant totalement la métamorphoser en autre chose ayant joué un grand rôle là-dedans. C’est pour cette raison qu’elle ne cache pas certaines de ses cicatrices, notamment celles qu’elle possède au niveau des bras et, surtout, sur ses mains.
Son style de combat farouche et violent, faisant qu’elle utilise en grande partie ses poings, lui a valu son lot de marques qui ne partiront probablement jamais. Cela n’empêche pas la jeune journaliste pleine de fougue d’aimer ses propres mains et de ne pas avoir honte d’elles. De plus, elle se trouverait malhonnête de plaindre ce résultat de son entraînement, tandis qu’à côté elle possède également une musculature développée, son corps n’étant ni trop sec ni trop massif, elle pense avoir obtenue quelque chose d’équilibrée et c’est plus que rassurant. Elle n’aurait pas voulue développer des abdos trop prononcés ou ressembler à un véritable frigo avec des épaules trop carrées… Du côté vestimentaire, histoire de rajouter quelques détails quant à sa garde-robe, Anna évite souvent de se limiter et apprécie autant les habits sobres que les vêtements hauts en couleur. La seule chose qu’elle n’apprécie pas réellement ce sont les robes, même si c’est un constat purement hypocrite dans le sens où elle n’a jamais essayée d’en porter. Mais à côté de ça, que ce soit des pantalons longs, des shorts, des jupes, baskets, débardeurs, straps ou d’autres choses dans ce style elle n’a pas vraiment de soucis à les porter.
Parlons maintenant de son fruit du démon, le Zoan de l’hirondelle. Comme son nom l’indique elle est capable de prendre la forme d’une hirondelle, un oiseau capable de migrer sur de très grandes distances. Ce qui peut surprendre la première fois où on voit une jeune femme d’1m75 de métamorphoser en oiseau qu’on pourrait tenir entre ses mains, dépassant à peine 20cm et ne pesant que quelques grammes. Sous sa forme complète, le ventre d’Anna est blanc tandis que son dos reprend la même couleur que ses cheveux. Sa voix devient un peu plus aiguë, voir enfantine tandis qu’elle mixe souvent ses paroles avec des gazouillements typiques des oiseaux de ce genre. L’une des choses qui se démarque le plus chez Anna sous cette forme c’est sa queue d’hirondelle, lui permettant de changer de direction même en plein vol et ce peu importe sa vitesse. Sans parler des changements à l’intérieur de son corps, comme son système digestif qui lui permet de réaliser beaucoup de choses et ce sur plusieurs heures, voir plusieurs jours en fonction de si elle s’est nourrie ou pas. Par contre il faut pas trop lui en demander, même sous cette forme elle refuse de manger des insectes.
Sa forme hybride, quant à elle, lui donne une apparence d’enfant, une version d’Anna plus jeune qui ne mesure qu’1m20. La journaliste garde son bec et son corps est recouvert de plumes, ses bras se transformant majoritairement en ailes tandis que ses mains prennent la même forme que ses pattes d’hirondelles, des griffes faisant leur apparition. Elle possède également une queue d’hirondelle plus fine mais longue qui débute à partir du bas de son dos. Sous cette apparence, Anna n’a pas de soucis à se déplacer sur terre comme dans les airs, ayant davantage de liberté pour combattre ou réaliser des actions pouvant avoir un impact autour d’elle, là où sa forme complète est plus utile pour les déplacements purs.
Mais tout ça, ce n’est que la partie physique de la petite Anna, et même si jusqu’ici on a pu évoquer sa vision par rapport à son propre physique, il serait temps de davantage creuser ce qui se cache dans la tête de la fille de contrebandiers. Pour commencer, qui est Anna B. Wallace ? Comme précisé au tout début, Anna n’aime pas trop parler d’elle-même parce qu’elle estime n’avoir rien d’intéressant à raconter sur elle. Elle trouve son histoire assez banale et sans intérêts comparée à celles qu’elle a pu entendre au fil du temps, que ce soit la rencontre de ses parents, les péripéties de son maître ou des expéditions croustillantes de Dina sa meilleure amie. Pourtant, à côté de ça, Anna se trouve remplie de passion lorsqu’elle parle des choses qu’elle aime, que ce soit son intérêt pour les autres, le frisson de découvrir le monde ou encore les liens qu’on peut créer avec de véritables inconnus à partir du moment où ils partagent leur histoire.
En somme, Anna est une fille optimiste, se contentant essentiellement des bons côtés de la vie. Elle aime manger, bouger, croquer la vie à pleines dents quoi. Mais ça ne veut pas dire qu’elle est niaise, ou ignorante, au contraire. Grâce à sa passion, elle a longtemps étudié ce qui se disait dans le monde, les événements animant la société d’aujourd’hui mais pas que : elle a également portée un regard curieux sur l’évolution de cette dernière. Bien sûr qu’elle a conscience que des gens se battent pour des idéaux dans les quatre coins des mers, qu’il y a des conflits d’intérêts entre les titans de cette ère. Elle sait également que des gens sans réputation quelconque participent aussi à ce grand schéma, cette peinture nuancée et mystérieuse qui divise les gens. Et c’est justement ce genre de personnes qui intriguent Anna, notre jeune journaliste qui, au-delà de vouloir comprendre ces gens-là, souhaite simplement les rencontrer, les connaître et pourquoi pas montrer leur vrai visage au reste du monde ? Non pas dans le but de démasquer les autres, ou de vouloir démonter une image construite sur de faux espoirs. Elle ne veut pas prendre la position d’un juge et condamner la voie prise par ceux qui l’entourent.
Elle se doute que par moment, cette neutralité peut être fragile, ses principes pouvant prendre le dessus et la pousser à critiquer des actes qu’elle trouve odieux. Anna n’a jamais tué quelqu’un de ses propres mains, et elle n’a jamais ordonné à un contrebandier sous ses ordres d’exécuter des voleurs ayant des vues sur ses marchandises, donc elle ne connaît pas ce sentiment : avoir le poids d’une vie entre ses mains. Ou plutôt le poids d’une mort sur sa conscience. Elle n’est pas non plus totalement innocente, ses longues années à faire des allers-retours sur les 4 Blues sont remplies de moments où Anna a dû faire preuve de violences et d’autorité pour mener à bien ses livraisons. Elle n’a peut-être pas franchi la dernière limite qui est celle de tuer, mais cela veut aussi dire qu’elle a franchie d’autres limites bien avant. C’est cette dualité en elle qui fait qu’elle peut parfois se trouver illogique : à la fois une jeune femme pleine de vie qui souhaite partager et se lier avec les autres, et également une jeune femme qui n’hésite pas à casser des bouches et à se battre pour protéger ce qu’elle estime nécessaire de défendre. Que ce soit une personne, un objet ou un héritage.
Anna n’a pas peur de se confronter aux autres, voir même à se faire des ennemis pour obtenir ce qu’elle veut. Elle n’était pas stupide, sa rêverie souvent contrebalancée par son pragmatisme lui faisant dire qu’il était impossible de bien s’entendre avec tout le monde. Il y avait même plus de chances qu’à cause de ses intentions, ceux qui souhaitent éviter d’ébruiter des informations cherchent à la réduire au silence. Cependant, Anna n’a pas peur. Elle sait que le monde qui l’entoure est un monde dangereux, et qu’il met à l’épreuve la volonté des gens qui le parcoure. C’est pour cette raison qu’Anna désire laisser libre court à son rêve et partir à l’aventure, elle voulait voir le vrai visage du monde et le faire découvrir aux autres. Elle voulait raconter les histoires amusantes, sombres, tristes, éclairées et joyeuses des autres. C’est la volonté d’Anna.
HISTOIRE
I - Coup de foudre entre deux tirs
1502 - deux ans après l’exécution publique du Roi des pirates, la course au trésor battait encore son plein. De nouveaux noms se formaient, de nouvelles positions étaient prises à travers le monde, des projets d’envergure se fomentaient… Pirates, comme membres de la Marine, parcouraient les mers à la recherche de quelque chose. Cependant, que peut-on dire de celles et ceux qui empruntent la route de tous les périls et qui se sentent détachés des événements autour d’eux ? Qui serait assez fou pour parcourir les mêmes eaux troubles que les pirates de la pire espèce, et les marines à la justice expéditive, sur leur terrain de jeu ? Quelle raison pousserait ce genre de personne à franchir le grand pas et à prendre le large ? La réponse était assez simple : le business. Là où les titres et les promotions ne valaient rien, là où les primes étaient remplacées par des contre-primes, une présence qui se faisait silencieuse, mais qui existait bel et bien aux côtés des héros d’aujourd’hui : les membres de l’Underworld réalisaient leurs plus grosses transactions dans la plus grande discrétion.
C’était censé être le cas d’un contrebandier qui s’était fait un nom au fil des années : Beck Bucking Wallace.
Ce gangster originaire de North Blue a réussi à monter son propre réseau de livraison à travers les 4 mers. Lors de l’annonce de l’existence du One Piece, il a très vite réalisé le potentiel de la situation et s’est investi pour décaler son business principal sur Paradise. Il était persuadé qu’avec une telle impulsion générée par la mort du Roi des pirates, il était impossible de ne pas profiter du bordel pour augmenter son influence et étendre son réseau. Bien sûr, le périple n’était pas de tout repos, surtout avec des pirates assoiffés de sang prêts à tout pour s’accaparer ses marchandises. Il a passé des années à se battre, enchaînant les livraisons réussies les unes après les autres, installant les fondations de son entreprise sur la route de tous les périls. L’un des plus gros obstacles restait bien évidemment la Marine, qui n’allait pas laisser des biens illégaux ou volés transiter aussi facilement. Beck B. Wallace dut redoubler d’efforts pour trouver des arrangements avec le Gouvernement et les différents royaumes qui profitaient de ses services, sans parler des autres cellules de l’Underworld qui se développaient en parallèle de son business.
C’est donc deux ans après le début de cette nouvelle ère sur Paradise que Beck B. Wallace pouvait affirmer avoir réussi son paris risqué. Son réseau s’était développé des 4 mers jusqu’à Shabondy, une véritable réussite. Le plus grand des hasards à fait qu’il a également rencontré la femme de ses rêves sur ces mers tumultueuses : une pirate connue comme le Mur de fer en raison du nombre d’hommes à qui elle a mis un râteau pendant toutes ses années.
Sibylle Katharsis faisait partie d’un équipage de pirates qui était célèbre pour les théâtres qu’ils organisaient en mer, le Mur de fer étant une de leur star. Cela restait néanmoins des pirates qui n’hésitaient pas à piller pour subvenir à leurs besoins, et c’est bien ce qu’ils tentèrent de faire lorsqu’ils sont tombés sur Beck B. Wallace et son gang. La rencontre entre Beck et Sibylle fut aussi explosive que romantique, les deux adversaires ne pouvant se quitter du regard malgré les coups de feu. La journée ils se battent en mettant leur vie en jeu, et le soir ils décident de se fiancer. Coup dur pour l’équipage de Sibylle qui assiste en direct à la chute du Mur de fer, tandis que du côté du gang de Beck ce sont les goons qui pleurent la flèche prise dans le genou de leur leader.
Pendant que le monde s’enflamme avec les actions de Luther, la destruction d’Ohara et la domination éclaire du business international par Donino Giovanni, deux tourtereaux décident de retracer la route de tous les périls dans le sens inverse. C’est au bout de leur destination, Logue Town, que le fruit de leur union apparaît : une fille en bonne santé. 1505 annonce la fin des ambitions de Beck et de Sibylle, tandis que ce n’est que le début de l’histoire pour Anna B. Wallace.
II - La dette à 200 millions
Les 5 années qui suivront la naissance d’Anna ne seront pas anodines, les pôles principaux faisant graviter les tensions dans le monde prenant position, s’affirmant et prenant le rôle de titans. Les nouveaux grands noms sur les mers se préparaient à un choc, une rencontre violente de leurs intérêts. Mais écartons-nous un peu de ces enjeux beaucoup trop grands, qu’est-ce que devenait la famille Wallace ? Le fait que Beck B. Wallace prenne la décision de retourner à Logue Town, suite à l’installation de son réseau de trafic sur la route de tous les périls, a forcé le contrebandier de renom à changer sa façon de travailler. Il laissait tomber sa casquette de leader des opérations sur le terrain pour assumer davantage son rôle d’entrepreneur de son business. Il a donc installé sa base des opérations à Logue Town, l’une des îles la plus proche de Paradise, afin de régulariser ses activités et développer une rentabilité sur le long terme. Tout ça avec une chipie traînant entre ses pattes et une femme connaissant la valeur de l’argent, forçant Beck B. Wallace à ne pas baisser sa garde en affaires sous peine d’être réprimandé par Sibylle.
Est-ce que cela voulait dire qu’il regrettait son mariage ? Absolument pas, il gardait la tête haute et montrait l’exemple à son entourage, embrassant cette vie où il fallait travailler pour subvenir aux besoins de ses proches, tout en sachant qu’à chaque fin de journée il pouvait retourner à son petit cocon familial. On pourrait s’arrêter là, mettre un point final sur cette histoire et se dire qu’on a pu tisser le profil d’une famille type dans ce monde… Mais ce serait simplement mettre fin à l’histoire de Beck B. Wallace. Celle d’Anna, la fille d’un contrebandier et d’une ancienne pirate ayant voguée sur la route de tous les périls, commence avec un fruit. 1510, les affaires de la famille Wallace se portent très bien, si bien qu’il arrive qu’à de nombreuses reprises des livraisons insolites se réalisent, même à destination des 4 mers. C’était le cas d’une commande particulière, destinée à un acheteur particulièrement fortuné à West Blue, et qui était sous la charge de Beck B. Wallace… Commande qui sera ruinée par Anna qui s’infiltrera dans la grande réserve située à Logue Town et finira par mettre la main sur un aliment qu’elle n’avait jamais vue.
Et qu’elle regrettera d’avoir goûté aussitôt l’écœurante sensation envahissait ses papilles gustatives. Très rapidement prise la main dans le sac, tout le monde fut surpris de la voir se transformer en un oiseau dans un sursaut d’émotion, elle-même ne maîtrisant pas du tout la situation alors que ses parents ont dû lui expliquer : elle venait de manger un fruit du démon, commandé par un client.
C’était la première fois en 5 ans qu’Anna voyait ses parents autant en colère. Elle pensait qu’ils étaient furieux contre elle, pour avoir mangé quelque chose qu’elle ne devait pas approcher. Elle qui avait eu énormément de liberté depuis qu’elle était née, capable d’obtenir ce qu’elle désirait juste en le demandant, elle se sentait incroyablement petite face à son père qui la regardait. Il était clair que Beck et Sibylle étaient en colère, mais ils n’étaient pas stupides. En réalité, ils s’en voulaient que leur négligence ait amené à cette situation, qu’au final il ne fallait pas simplement aimer et offrir tout ce qu’on était capable d’acheter à son enfant pour faire son éducation. Ils se sont rendu compte que tout ça n’était que la conséquence de leur tolérance envers leur fille unique. Même si, dans les faits, manger un fruit du démon destiné à un client soulevait bien d’autres problèmes. Un coup dans la réputation, une baisse de confiance, de l’argent qui passe à travers la fenêtre… Mais aux yeux de Beck et Sibylle, il y avait simplement cette image de leur fille en larmes, incapable de comprendre la transformation de son corps en animal, et qui commençait déjà à s’excuser en s’imaginant qu’elle avait fait du mal à ses parents. En tant qu’enfant n’y connaissant rien aux mondes des affaires, Anna surestimait les dégâts qu’elle avait causés.
“Anna, est-ce que tu sais combien coûte un fruit du démon ?”
Non, il n’y avait aucun moyen qu’elle le sache. Elle ne connaissait même pas la valeur des habits qu’elle portait au quotidien, en fait elle ne connaissait pas la valeur de l’argent tout court.
“Qu’est-ce que tu veux faire ? Qu’est-ce que tu penses que tu dois faire ?”
Les yeux tremblant, elle avait du mal à aligner les mots pour répondre à son père. Elle avait l’impression de vivre beaucoup trop de choses en trop peu de temps, ce qui lui donnait la sensation d’étouffer. Malgré tout, elle pris la peine de serrer les dents et de fixer son père. Elle sentait que si elle baissait les yeux, si elle allait se cacher derrière sa mère ou qu’elle ne répondait pas, elle perdrait quelque chose. Elle ne savait pas quoi, mais les frissons qu’elle ressentait à l’idée de reculer face à ses parents la refroidissait.
“Je… Je veux payer ! Je dois payer !”
Pour la première fois elle voyait son père montrer un sourire révélant toutes ses dents, son regard sérieux, mélangé à une expression reflétant sa fierté de contrebandier, faisait disparaître tous les frissons de la petite Anna.
“Parfait ! Ca fera 200 millions de berrys !”
“... EEEEEEEEEEEHHHHHH ??!!”
III - 10 ans
Comment une enfant, qui n’avait même pas 6 ans, peut payer une dette de 200 millions de berrys ? Aux yeux du père d’Anna, la réponse était toute trouvée : en la faisant travailler. Beck et Sibylle décidèrent de mettre en place un plan ingénieux pour remettre leur enfant sur les bons rails et donc de profiter de la situation pour lui inculquer des valeurs. C’est de cette manière qu’Anna B. Wallace, alors âgée de 5 ans, s’est retrouvée sur un bâteau en destination de North Blue. Accompagnée de son père et des membres de son gang, elle voyait Logue Town s’éloigner de plus en plus à l’horizon. Elle ne le savait pas encore à ce moment-là, mais ses parents avaient déjà dédommagé leur client pour la perte du fruit du démon. Même si 200 millions représentaient une certaine somme, ce n’était qu’une petite perte par rapport au business des Wallaces. Cette histoire de dette était devenue le prétexte pour développer quelque chose chez Anna. Elle-même se motivait en se disant qu’elle ne voulait plus jamais revoir ses parents s’énerver par sa faute, si innocente.
Néanmoins, avant d’envoyer sa fille au charbon, Beck décida d’un premier arrêt sur une île isolée à North Blue. Un petit bout de terre semblant presque dérivé sur mer, avec une maison installée sur un monticule. Pour le père d’Anna, cet endroit était rempli de souvenirs. Des souvenirs douloureux, mais teintés de nostalgie. Le seul habitant de cette petite île n’était autre que celui qui avait enseigné à Beck comment survivre dans ce monde dur : Cenmas “Le Blanc”.
Qui était-il ? Anna mettra quelques années à découvrir ce que cache le passé de cet homme-poisson. Cet “expert” qui semble avoir décidé de s’isoler, bien loin de sa mer natale, et à qui Beck força légèrement la main pour confier lui confier la garde de sa fille. Une tâche bien ingrate aux dires de Cenmas, ce dernier ne voyant pas d’un bon oeil l’idée de s’occuper d’une petite fille trop gâtée et qui venait de récemment manger un fruit du démon. En parralèlle Anna devait également participer au bon acheminement de marchandises entre les 4 mers, de sorte à commencer à contribuer à sa dette. Pour être totalement franc : un cycle bien douloureux venait de naître. Entraînée du matin jusqu’au soir pendant ses journées libres, devant à la fois suivre la voie que lui présentait ce maître de combat rapproché et aussi tracer son propre cheminement pour maîtriser les transformations de son corps, tout en voyageant aux quatre coins des Blues pour protéger les marchandises ciblées par les pirates locaux… Personne ne fondait de grands espoirs sur les épaules de la petite Anna. Même si elle se levait tous les matins, manger tous les repas servis et qu’elle ne se plaignait quasiment jamais, il était inconcevable qu’une petite fille puisse récolter 200 millions de berrys.
Et pourtant, les années commençaient à s'accumuler, la petite enfant devenant de plus en plus grande, roulant sa bosse au milieu de cet environnement rude. Elle multipliait les commandes, se portant volontaire pour les opérations risquées et se faisait un nom au sein même du gang de Beck B. Wallace. En plus d’être la fille du patron, elle montrait qu’elle avait l’énergie à revendre et les épaules pour survivre en tant que contrebandière. Sans parler de ses résultats plus que convaincants auprès de Cenmas “Le Blanc”, l’homme-poisson se réjouissant silencieusement de la force qu’était capable de déployer la petite Wallace. En 5 ans elle terminait de développer son propre style de boxe, une puissance brutale qui finirait par lui donner des poings quasiment invisibles lorsqu’elle atteindrait un certain niveau. Lorsqu’elle à 12 ans elle commence à utiliser son fruit du démon pour se métamorphoser en hirondelle et traversait des grandes distances en très peu de temps, réalisant des commandes éclaires. Puis enfin, à 15 ans, elle réussit à défendre un groupe de bateaux marchands rattachés au gang Wallace, les protégeant d’une petite flotte de pirates. D’après les dires des marchands présents, elle volait de bateaux en bateaux pour casser les dents des voleurs et ne s’arrêta que lorsqu’ils se mirent à genoux et lui supplièrent d’épargner leur mâchoire.
1520 - dix ans après avoir quitté la maison qui l’avait vu naître, Anna retournait chez elle avait plusieurs énormes sacs, symbole de ses économies. Elle les balança à la figure de son père, en lui disant explicitement “plus JAMAIS je m’endetterai !” avant de claquer la porte derrière elle. L’enfant devenue adolescente était revenue, et réalisa ce qui aurait dû facilement prendre quelques années en plus : payer une dette de 200 millions de berrys. Ce jour-là, Beck et Sibylle partagèrent la bouteille de vin la plus chère des 4 mers, fêtant la réussite de leur fille qui, d’après tous les résultats qu’on leur rapportait depuis une décennie, était devenue une fille forte et capable de braver ce genre de défis de la vie !
IV - La Volonté d’Anna
Le retour d’Anna au nid familial apporta son lot de changements au sein de la famille Wallace. Après tout, elle avait réussie à prouver qu’elle était désormais assez autonome pour gérer des responsabilités et donc devenir un atout de première au business de son père. Il y avait un autre événement qui allait faire bouger les choses : l’arrivée de Travis B. Wallace, le petit frère de Beck, à Logue Town. C’était le seul oncle, lié par le sang, qu’Anna connaissait, même si dans les faits elle savait très peu de choses sur lui. Cenmas, son maître, avait parlé de quelques bribes de son passé, notamment du moment où il avait accueillis les frères Wallaces chez lui et leur a tout appris. Beck étant devenu adulte plus rapidement que Travis, il avait laissé son frère auprès de leur maître pour partir à l’aventure et développer son propre réseau de contrebande. Travis aurait alors disparu quelques années après, coupant tout contact avec Cenmas et Beck avant de resurgir quelques années plus tard.
De ce que savait Anna, Travis a voyagé à bord de nombreux bateaux pirates, traversant les mers et la route de tous les périls auprès des hors-la-loi avant de souvent les trahir et récolter leurs trésors grâce à son propre petit groupe de voleurs. Il était réputé dans l’Underworld pour utiliser toutes méthodes à sa disposition, même les moins scrupuleuses. Cette réputation de “voleur volant les voleurs” a fait qu’il a pu se rapprocher de certains acteurs agissant dans l’ombre, et c’est par l’intermédiaire de l’un d’entre eux que Beck repris contact avec Travis. Il ne fallait pas longtemps après ça pour que les deux frères décident de se retrouver et, de fil en aiguille, que Beck intègre son petit frère dans son entreprise. Même si la plupart des associés du père d’Anna voyaient d’un mauvais œil le débarquement d’une figure aussi peu appréciée dans le milieu, ils étaient rapidement témoins de l’efficacité de Travis dans les opérations confiées et dans son dévouement à la tâche.
Mais tout cela ce ne sont que les changements au sein de la famille Wallace, et même si cela concerné directement Anna, son regard était porté ailleurs. Parce qu’il n’y a pas que son environnement à elle qui avait évolué, non, le monde aussi avait grandement changé pendant toutes ces années. Comment se tenait-elle au courant des événements parsèment le monde ? En lisant les journaux évidemment ! Même si dans le cas d’Anna, cette tendance à se renseigner sur ce qu’il se passait ailleurs s’est lentement transformé en autre chose. Petit à petit, elle devenait rêveuse à l’idée d’imaginer dans sa tête les scènes capturées par les photos, simuler les voix des personnes citées dans les articles, d’apprécier ce toucher si particulier lorsqu’elle prenait un journal entre les mains… La façon de décrire la vie des gens, l’organisation de l’échiquier mondial mais aussi l’histoire du monde qui l’entourait, chaque nouvelle page de journal était accompagné d’un frisson innocent et galvanisant. Quand exactement avait commencé cette passion pour “l’ailleurs” et “l’autre” ? Difficile à dire, depuis qu’elle avait dû partir de Logue Town dans sa petite jeunesse elle a fréquenté différentes personnes, chacune ayant sa petite histoire à raconter. Que cela soit sous forme d’anecdotes, de conseils, de blagues ou de métaphores, chacun donnait son mot à dire dans cet agencement si complexe et complexé qu’était “le monde”.
Anna était devenue une fille attirait par la lumière dégageait par les autres. Elle voulait battre des ailes dans leur direction, se rapprocher pour saisir cette lumière et la retranscrire à travers ses propres mots. Dans ses fantaisies les plus secrètes elle écrivait des pages entières relatant l’histoire d’amour germant au milieu des coups de feu à propos de ses parents, ou bien le cheminement amer d’un homme-poisson ayant remis en question “la raison” derrière ses combats et qui aspirait à une vie oubliable. Elle écrivait des petits mots sur ce qu’elle avait découvert sur les personnes l’entourant, des petits secrets, des petites vérités qui se cachaient derrière des petits mensonges, etc. Au fil des années, sa chambre est devenue un lieu de stockage pour des piles de papiers entassés les uns sur les autres. Cependant, comme un rappel doux et amer de la vie, un nouveau changement allait changer son quotidien : les parents d’Anna annonçaient qu’ils partiraient étendre leur business dans le Nouveau Monde. Beck et Sibylle se préparant pendant plus d’une décennie, le couple à la tête de tout un réseau de contrebande décidait enfin de passer à la vitesse supérieure et de viser un gros morceau. Cependant, réaliser un tel exploit allait demander des efforts considérables, et beaucoup d’argent. C’est pour cette raison que Beck confia à Travis la responsabilité de gérer toutes les affaires qui concerneraient les Blues à la place de Beck, les parents d’Anna ne pouvant assurer cette mission puisqu’ils devront déplacer leur centre d’activités à Shabondy, d’où ils pourront gérer les affaires de Paradise puis du Nouveau Monde.
À cela, le père d’Anna confia à sa fille la mission d’assister Travis B. Wallace dans la gestion de cette partie de l’entreprise, l’expérience et les liens qu’a créés Anna au fil du temps pouvant grandement assister son oncle dans la tâche. Anna n’ayant pas trop le choix, elle accepta d’endosser ce rôle d’assistante, même si un arrière-goût désagréable se faisait sentir. L’année 1521 était donc très mouvementée pour elle, puisque très rapidement elle devait assister son oncle dans ses tâches quotidiennes. Ses parents partis, elle ne pouvait compter que sur elle-même pour faire correctement ce qu’on attendait-elle. Même si elle sentait qu’au fond quelque chose la dérangeait, elle n’arrivait pas à poser les mots sur cette sensation. Pendant près de 10 ans elle avait agi dans l’intérêt de réparer le tort qu’elle avait causé pour sa famille, et en partie pour se discipliner, il lui était donc difficile de dire “non” à son entourage concernant les affaires familiales. Bien qu’au final cela aussi évoluera après sa rencontre avec Dina, la propriétaire d’un kiosque unique à Logue Town.
On dit souvent que ceux qui se ressemblent s’assemblent, ce n’est que plus vrai dans le cas d’Anna et de Dina, deux jeunes femmes dont leur passion commune les rassembla. Dina gérait un bâtiment situé dans la périphérie de la ville, entouré de quelques jardins, et ayant pour réputation d’avoir une propriétaire spéciale. Dina était une collectionneuse, ayant héritée d’une grande fortune de ses grands-parents explorateurs, elle était elle-même devenue une chasseuse aux trésors. Et en plus de ramener chez elle les merveilles qu’elle a pu trouver, elle collectionnait également des écrits qu’elle dénichait à travers le monde : magazines, journaux locaux, livres écrits dans d’autres langues etc. Une véritable caverne d’Alibaba pour Anna qui avait l’impression qu’elle pouvait nager dans cet océan d’informations sans jamais s’en lasser. Du côté de Dina, ce qui l’attirait chez Anna c’était son regard innocent, voir même valorisant de la presse, cette curiosité sans fin qui poussait cette jeune femme à se rapprocher des inconnus pour découvrir qui ils sont. Il n’a pas fallu très longtemps pour qu’elles deviennent amies et confidentes. Et très rapidement Dina mis en garde Anna par rapport à sa situation : si elle se sentait prisonnière, elle devait tout faire pour s’échapper.
“Après tout, tu as de si belles ailes, ce serait dommage de ne pas en profiter non ?”
Ces quelques mots firent cogiter la jeune Anna, qui jusqu’à présent n’avait jamais fait de véritable séparation entre “elle” et “sa famille”. Tout ce qu’elle avait fait jusqu’à maintenant, c’était pour ses parents, elle voulait les voir sourire, elle voulait sincèrement les aider dans ce qu’ils entreprenaient. Elle voulait être témoin de leur réussite. Pourtant, malgré ses efforts, elle était laissée derrière, avec pour responsabilité d’assister son oncle. Elle n’était pas amère à l’idée d’aider Travis, ce qui la dérangeait vraiment c’était de ne pas pouvoir faire “ce qu’elle voulait”. Quant à savoir ce qu’elle recherchait, ce n’était pas si compliqué : il suffisait de voir sa chambre. Un lieu rassemblant toutes les histoires qu’elle a pu écouter, toutes les expériences qu’elle a accumulées, tous ses écrits. Elle en voulait toujours plus. Tellement qu’un jour, sans réellement prévenir, elle s’échappa par sa fenêtre un soir, et s’envola en direction de Paradise. Il n’était plus question d’étouffer dans ce décor, elle devait voir par ses propres yeux le monde, et ceux qui y vivaient. Elle devait apprendre, découvrir, et partager ! Elle voulait que chaque rencontre qu’elle ferait, chaque bout d’histoire qu’on lui conterait soit retranscris et distribué à tout le monde. Qui a dit qu’une fille de contrebandier ne pouvait pas partir à la poursuite de ses rêves ? L’histoire de la petite Anna prenait enfin fin, place à l’histoire des autres !
Chaos à toi et (re)bienvenue sur OPA, cette fois-ci officiellement ! Dans cette période de pré-rpbg et de fins de quêtes, voilà un nouveau PJ qui arrive sur le forum, ma foi intéressant et qui peut apporter son lot de situations intéressantes sur OPA ! Donc sans plus attendre, comme d'habitude, passons par le commentaire et la validation, en espérant que mes mots te toucheront autant que j'ai apprécié lire ta présentation !
Déjà comme dit précédemment et comme tu as pu t'en douter, j'aime le délire "Noir" de ton personnage ; une journaliste contrebandière c'est original sur OPA, et même si le forum a son lot de personnages "espions/informateurs", l'idée d'un journaliste et même une "simple" civile avec quelques bribes de liens avec l'Underworld ça me branche totalement. Et il y a toute un délire de l'hirondelle symbole de la liberté, l'information etc, c'est beau, c'est très "One Piecien" et très "OPA" également. Mais entrons dans l'analyse plus poussée du coup : déjà pour commencer, j'ai trouvé le contexte général de ta fiche assez intéressant, bien que malheureusement un peu trop coupée du contexte du forum ? Le seul "lien" avec la fiche et le forum c'est l'Underworld finalement, avec Beck et Travis ; là où je comprends que tu as voulu faire d'Anna un personnage intéressée de loin par le contexte global du monde qui l'entoure, de simples titres de journaux contant les événements importants d'OPA aurait été super intéressant, pour le coup !
Et en parlant de contexte, bah pareillement, il n'y avait aucune notion de PNJ du forums ; ce qui est encore une fois dommage, car en l'état, tu as vraiment le contexte parfait pour en citer le plus possible, limite faire du name-dropping (bien évidemment, ça aurait été mauvais mais tu comprends l'idée). Par contre, là où ta fiche a brillé selon moi, et bah c'est dans tes PNJ finalement ! Ils ne sont pas très bavards, ni même omniprésents pour la plupart... Mais ils dégagent déjà beaucoup de présence, et ils présentent un intérêt particulier finalement. On veut en savoir plus sur Beck, sur Sybille ; et même sur Travis et Cenmas... Sur tous, en fait. C'est ce qui rend ton personnage plus attachant ; je pense surtout au tout début, avec cette histoire de dette. Non seulement ça explique foncièrement la mentalité d'Anna, mais en plus ça permet d'appréhender ses parents d'un œil assez surpris. Ils sont plus sympathique qu'à premier abord... Un petit détail néanmoins, enfin plus une précision du coup, mais le fait que le père d'Anna ait un lien avec l'Underworld ne peut pas te donner d'avantage contextuel lié à la faction ; je pense que tu l'avais déjà compris mais je précise pour être sûr !
Toujours dans le contexte, finalement on peut dire qu'Anna reste impactée par celui du forum, même minimalement par son statut et son rêve : on sait qu'elle est informée par les événements du monde, qu'elle en connait les acteurs, etc. Mais dans l'autre sens, elle reste plutôt fébrile dans l'impact qu'elle apporte à celui-ci, dans ta présentation ; en soit, c'est normal, elle n'est encore qu'une jeune, adolescente ou presque, et une rookie, mais le barème étant le barème, tu perds quelques points là-dessus. Ton perso n'est pas non plus complètement passive, dans le sens où tu racontes clairement que durant son enfance et son adolescence, elle a vécu de petites courses qui l'ont endurcie. Mais c'est le genre de période que j'aurais aimé voir plus approfondie en vrai, ce n'est pas rédibitoire encore une fois, et en vrai c'est surtout une lubie de ma part, mais considère ça comme une bonne chose car ça veut dire que ton perso me plaît et que je veux en savoir plus, toujours !
Donc finalement voilà, là où ça aura péché le plus c'est dans ton intégration au contexte d'OPA, d'un point de vue factuel car intrinsèquement, Anna l'est d'une manière ou d'une autre. Ce que j'essaye de dire c'est que ça aurait été plus pertinent de montrer des exemples de son implication dans le contexte, tu n'aurais fait que gagné en cohérence, et en points ! Le principe du forum c'est que n'importe quel PJ a son importance, à une certaine échelle évidemment ; et de toute manière, ce n'est pas du tout un problème grave car dans les RP que tu feras, tu pourras corriger cette "erreur" assez vite finalement, surtout que j'ai cru comprendre que tu avais déjà la côte de ce côté-ci, via le Discord.
Pour ce qui est de la mise en page, je n'ai rien à redire ; les petites images pour présenter les PNJ a bien permis d'ajouter du charme à ceux-ci, et encore une fois le style contribue à l'imagerie "Noir" de toute l'histoire de ton personnage. En terme de grammaire, il n'y a rien d'abhérent, à part quelques fautes d'inattentions qui surviennent vers la fin ; c'est rien d'important, mais c'est clairement le genre de truc que t'aurais pu voir en te relisant une dernière fois donc tu n'es pas pénalisé là-dessus ! Tu as une plume agréable, sobre mais qui marche bien, personnelle presque.
En tout cas avant de te valider officiellement, je te permets de te conseiller quelques PJ avec qui tu pourrais bien t'entendre sur le forum, et RP : pour tout ce qui est du côté de "l'information" et de "l'espionnage", il y a Raeliana et Rosé parmi les révolutionnaires. Chez les rouges, Elizabeth ferait une bonne partenaire de RP également, il y a aussi Siam pour son statut de rescapée d'Ohara, qui a sûrement des choses à dire, et même tout l'équipage de la Divine Wrath en fait (rapport au fait qu'ils sont l'équipage pirate le plus "gros" pour le moment). Dans le gouvernement il y a évidemment les trois agents du CP avec qui je crois avoir compris que tu as déjà des rp de prévus Et dans les civils Glorim qui tend à se diriger vers l'Underworld et Naja qui est un prince d'Alabasta seraient clairement des partenaires intéressants ; en fait, tu l'as compris, ton personnage te permet des libertés assez conséquentes en terme de diversité de partenaires et de RP, joues-en, car ça t'ouvrira clairement des portes par la suite.
Tout ce blabla pour te dire que tu es validé, poto ! Tu commenceras donc avec 7750 Dorikis, et une contre-prime de 300 Millions de Berrys, pour tes parents qui te recherchent, j'aime bien l'idée. Tu pourras commencer ton aventure dès maintenant, équipé du Tori Tori no Mi : Modèle Hirondelle ainsi que de tes poings pour te défendre en cas de pépin ! Evidemment, ta Vivre Card sera rapidement générée pour te permettre de te battre. Dans tous les cas, félicitations, et amuse-toi bien sur OPA !
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Young Maiden on the Run ! - Terminée
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Et dans les civils Glorim qui tend à se diriger vers l'Underworld et Naja qui est un prince d'Alabasta seraient clairement des partenaires intéressants ; en fait, tu l'as compris, ton personnage te permet des libertés assez conséquentes en terme de diversité de partenaires et de RP, joues-en, car ça t'ouvrira clairement des portes par la suite.