One Piece Anarchy
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Baroque'n'Roll [Ft. Billie Jeen]
Burlesque
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Burlesque
L'Auguste Noir
posté le Dim 14 Mar - 0:29



Festiville. Lumineux étendard de l'art musical, connu à travers toute la planète et accueillant les plus grands concerts et festivals existant. Un lieu qui vibrait encore plus fort de nuit, illuminant la noirceur de néons, de phares et de projecteurs multicolores. Ce soir là encore, les attractions musicales s'étaient faites nombreuses et l'endroit semblait bouger au rythme des danseurs enivrés qui assistaient aux différents shows. Parmi ces fêtards, avinés et excités par les doses incroyables de drogues emmagasinées se trouvait une petit homme aux longs cheveux rouges, attachés négligemment en un chignon au sommet de son crâne. Paré de sa plus belle chemise violette, un costard aussi blanc qu'il était ringard sur le dos et des chaussures pointues en cuir de crocodile, Alfonso Fratellini arrivait tranquillement à l'endroit le plus peuplé de toute la zone.

Son regard balayait déjà la zone, avisant rapidement le groupe qui prenait place sur scène, composé d'uniquement trois membres, préférant scruter des yeux la foule qui s'était amassée là. Il décortiquait avec plaisir et désir les courbes voluptueuses et à peine dissimulées des jeunes femmes qui se trémoussaient d'impatience. Il ne cherchait pas tant un corps pour réchauffer son lit qu'une raison de continuer à vivre, de continuer à expérimenter cette exaltation de bonheur éphémère. Cela ne durait que quelques instants précieux, toutes les nuits depuis des années. Un fragment de joie qui le comblait temporairement, jusqu'à ce que le jour se lève et qu'il ne retourne à ses affaires morbides. Finalement, il n'était pas si différent de toutes les personnes présentes à cet endroit. Il ne cherchait rien de plus qu'un échappatoire en oubliant qu'il devrait enfiler son uniforme et retourner au travail le lendemain.

- Wooooooooooooooooooooohouhoooooooooh! Merci à tous d'être venus aussi nombreux pour nous voir ce soir! La nuit ne fait que commencer alors accrochez-vous! Come on girls... LET'S ROCK!


A ces mots hurlés dans le micro, la jeune guitariste qui occupait le centre de la scène, cheveux coupés en un carré à la mode, piercings aux oreilles et tatouages à en perdre la tête frappa ses cordes d'un coup violent, laissant échapper la première note anarchique. La leader bien connue des Baroque'n'roll, groupe à la renommée dépassant les frontières de Grand Line, enchaina avec un compte à rebours étouffé, à quelques pas du micro, avant de débuter la mélodie qui entraîna toute une foule dans son sillage. D'un seul homme, les spectateurs qui étaient jusque là tout frétillants d'excitation, se mirent à se secouer frénétiquement au son des instruments. Il y avait une sorte d'harmonie dans ce semblant de chaos, une beauté dans cette unité ou chacun dansait pour ses propres raisons.

Pendant ces quelques instants de lancement, le jeune clown s'était dirigé vers la buvette qui avait ouvert non loin de là, sorte de roulotte aménagée pour l'occasion avec nombre de fûts de bières. Les assoiffés n'allaient pas tarder, Alfonso le savait et refusait de se faire devancer par une foule en furie. Il commanda alors une grande pinte qu'on lui servit dans une chope de bois qui ne fuyait pas que par un miracle absolu et s'échappa un peu de l'agitation. Il n'en était qu'à la première étape de sa soirée et, habitué de la chose, il savait exactement comment procéder pour optimiser le cours des choses. Pour le moment, il se contentait de siroter tranquillement son alcool, repérant les cibles qui combinaient le plus possibles de facteurs d'alcoolémie et de critères de beauté.

- L'heure des valkyries a sonné! Go girls!

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Hurlant comme une damnée dans son micro, laissant sa voix envahir complètement l'espace sonore, la demoiselle incitait la gente féminine à se rebeller, à se libérer des chaînes patriarcales qui les entravaient. L'héritier des Fratellini n'était pas venu là par hasard, il connaissant parfaitement la réputation de ce groupe et les résultats que cela pouvait avoir sur l'auditoire. Comme énergisées par la volonté de leur gourou en jupe tartan, les danseuses se mirent à se tortiller avec encore plus d'entrain, entrant lentement dans une transe jubilatoire. Un régal pour le sordide metteur en scène. Ses iris s'étaient longuement posés sur une jeune femme de petite taille mais aux atouts non négligeables qui se démarquait du lot. Il la fixait depuis quelques secondes, terminant doucement son verre sans jamais la lâcher. Il l'avait déjà entièrement analysé, de ses cheveux de blé à sa peau magnifiquement piquée de nombreuses tâches de rousseur.

Mais alors qu'il s'avançait pour aller la rejoindre, pour entamer cette parade nuptiale qui marquerait le véritable début des hostilités, il se prit le nez dans une personne qui passait au moment le moins opportun. Tombant sur son derrière face au choc, il ne releva le regard que quelques secondes plus tard, un temps suffisant pour que la belle ait disparu dans la foule. Il enrageait légèrement de cette situation ridicule et se tourna vers le grand blond particulièrement costaud qui venait de le bousculer et de le priver d'une opportunité en or.

- Tu pourrais pas faire gaffe à où tu mets les pieds espèce d'abruti? Y'a pleins de gens ici, essaie de te discipliner un peu! OH! Je te parle le géant!


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Billie Jeen
Epée fantaisiste
posté le Dim 14 Mar - 20:09

BAROQUE''ROLL
EL ECCENTRICIO ALFONS FRATELLINI


Baroque'n'Roll [Ft. Billie Jeen] GfPO7eT
Ah, FESTIVIA, île du bonheur! Que de joie de découvrir un petit monde flottant sur l'eau, où c'est la fête et la joie qui sont célébrées! Bien d'îles, de par le passé, ont malheureusement perdues leurs êtres à de plus sombres traditions, décidant de festoyer au nom de l'alcool, de drogue ou de jeux de hasards! Mais le loup ne cherche t-il pas à s'introduire parmi les moutons? Ne convoite t-il pas de se glisser parmi eux. De justifier sa fourrure hirsute et sales, ses dents énormes, ses griffes sanguinolentes, ses yeux imbibés de rage animale? Puis, une fois le troupeau apaisé, le loup bondit et les déchiquète tous! Car un prédateur reste un prédateur, et est dangereux peu importe la forme qu'il emploie! Et en célébrant ces abjectes traditions, n'aidons nous pas le loup à se glisser un peu plus profondément parmi la masse de proies?

Ainsi, Billie avait... annulée certaines festivités négatives de par le passé, faisant couler le sang impie autant qu'eux faisaient couler de la bière! Mais cette île ci, c'était différent! Que de douces célébrations! Et c'était pour les protéger que Billie avait endossée une énième fois le rôle de l'héroïne, plongeant son bras au travers de la fange pour extraire quelques mauvais éléments et les exterminer. Mais en secret! Car une fête interrompue est une fête gâchée! Et les habitants de cette humble île méritent de pouvoir passer la nuit en paix, sans réaliser les sacrifices commis dans les ombres pour qu'ils puissent continuer à goûter à ce si juteux verre d'orange et faire ces si mignons pas de danse!

Le nom du vilain, elle le connaissait: BAAL II, le pas beau qui ruinait tout de par sa présence. Sans doute voulait t-il lentement causer la ruine en arrivant sur cette île, d'ailleurs? Mais heureusement, Billie l'avait suivie sur le chemin de Whiskey Peak, consciente de son statut de démon inférieur. Le même statut qui expliquait l'aise avec laquelle elle maintenait sa poigne de fer sur son crâne, résistant aisément à ses attentes physiques de se libérer. Il tentait aussi de la corrompre, en prodiguant son essence en son corps, mais notre douce amie avait une âme bien trop pure pour pareilles fourberies! Ainsi, elle le laissa patauger dans la petite pièce sombre où il avait élu résidence. Là, au sol, gisait plusieurs de ses compagnons d'infortunes, qui avaient goûtés à Gram, comme attestés par les séparations notables entre les parties de leurs corps qui gisaient au sol! De façon plus grave que les corps, des grosses lianes de corruption, invisible aux portées d'yeux moyennes, avaient été installées dans la pièce, poussant des murs via une magie impie. La sienne!

Billie souffla du nez, tout en gardant pour autant un visage dur.Pauvre idiot! J'ai suivi ton mal grâce à tes racines! Voici

une erreur qui te coûtera la vie... BAAL II!

ARRGHHHH NOONNNNNN MAIS JE ME VENGGEERRAISSS BILLIE JEEENNNN!! Fit t-il, alors que Billie rangea son épée dans son fourreau, leva l'autre main pour la poser sur son menton tout ridé et... bah, joignit des deux mains ensembles, alors que toute sa sale tête hideuse était sur le chemin.

Et le monde jublie! La planète respire mieux! Car l'un des parasites qui aspire sa bonté vient maintenant de

rejoindre des abysses qu'il n'aurait jamais dû quitté! Commenta t-elle, l'air digne et la voix modérée, en dépit de la légère jubilation qui y était présente. Puis, Billie lâcha le cadavre et le laissa s'écraser indignement au sol. Nul besoin de nettoyer! Les corps disparaîtront. Et ce avant qu'elle ne parte! Direction: Whiskey Peak! Fouillant dans sa sacoche, notre brave chevalière s'essuya les mains au moyen de sa petite serviette blanche, après les avoir secouées au préalable pour que les bouts un peu plus gros et moins liquides partent. Profitant aussi de l'isolation relative de l'endroit, une petite cave nichée au fond d'une allée, notre amie sortit son épée de la fourreau pour la nettoyer, pratiquant de grands mouvements pour s'assurer que le prochain malfrat soit découpé avec une lame PROPRE!

En se faisant, elle vérifia ses stocks! La viande et l'eau requirent des achats, le mal ayant tellement infecté l'océan qu'il en été désormais trop salé pour être buvable, mais elle semblait être rangée de ce côté! La seule chose à acquérir c'était... ah, Billie sortit le petit flacon de poudre capillaire et le tint devant les yeux, remarquant la faible quantité de poudre restante.

Oh.

... Mais n'était t-elle pas dans la CAPITALE DU FUN?!

...

C'était étrange de naviguer dans ces rues, quand même! Pas mal, hein, mais étrange. A force de s'immiscer dans la misère, et de voir ces détritus d'humanité faire ce qu'ils voulaient, la pauvre Billie en avait presque oublié la douceur d'une fête! Le crépitement de joie dans les yeux des enfants, les lueurs de la fête dansant dans leurs pupilles! Les acrobaties des...... acrobates, les pitreries des clowns! Elle n'avait rejoint la fête que pour vraiment chercher la poudre capillaire, mais la chevalière passait quand même un peu trop de temps à regarder les spectacles ou les gens joyeux!

Car... ah, n'était-ce pas doux, des gens en paix? Qui n'avaient pas à se soucier de bien viles choses comme l'alcool? Billie était contente de se dire qu'ainsi était l'apparence des îles libérées par ses soins, et elle sourit un tout petit peu plus, naviguant dans la foule avec aise, vu que les gens semblaient aigres de s'éloigner. Du respect pour ses actions héroïques, sans doute? En tout cas, une envie de sucre la démangea, d'un coup, et notre amie décida de filer vers les maisons à nourritures! Doux est le sucre, encore que sa consommation est modérée!

Une maison à nourriture l'interpella en particulier: barbe à papa? Que... Comment donc avaient t-ils pu acquérir la chevelure faciale de son père? Suspicieuse, la chevalière s'approcha un peu plus, constatant que le gérant de l'affaire semblait distribuer des poils roses à des enfants. Quel étrange met que celui-ci!

Halte-là, confiseur! Par quelle force as tu extrait du visage de mon père

une barbe rose? Sa chevelure est celle du soleil, dorée! Fit t-elle, arrivant face au stand. De sa question, elle n'obtint que confusion! Ce qui donnait l'impression de gérer un enfant polisson!

... Gné?

Billie se tapota le crâne en réponse, pas énervée. Il était simplement... simple, ce gérant de maison!Mon père à des cheveux comme les miens! Il ne peut pas avoir de

chevelure faciale rose!

Je ne pigHaHAhahAOui, nous avons pris sa barbe, qu'il a donnée, et mélangée à du sucre pour la rendre rose! En désirez vous?

Bien sûr! Cela me rapprochera de lui.

Elle fournit au marchand les ronds précieux nécessaires à l'échange de procédés, et puis partit, dégustant la barbe de son père. Étrange met, mais c'était rassurant que de savoir qu'il était passé dans le coin! Elle le rechercherait sans nul doute, d'ailleurs, si le devoir ne l'appelait pas ainsi! Tragique est le rôle de la chevalière, qui permet à tant d'enfants de retrouver leurs pères, sans jamais pour autant renouer avec le sien! Mais elle le trouvera, sur verte ST ITTURIA! Elle le trouvera.

... Ou pas.

!!! Que? Un choc mineur, remarquable sans pour autant qu'elle bouge vraiment? Billie contempla ses alentours et trouva un petit homme, aux cheveux de sangs, qui semblait lui donner des ordres. Pourquoi était t-il énervé en des temps si joyeux? Quelle tragédie pouvait ainsi embrumer le coeur d'un homme, pour que la rage s'empare de lui en une si joyeuse occasion? La chevalière le dévisagea un instant et puis décala la tête légèrement vers la gauche, ses orbes bleus le fixant de leur regard juste et héroïque.

Géant... voilà le dernier mot, qui revenait souvent. Géant, géant... Elle se retourna pour tenter de trouver un pareil titan, mais parmi les grandes choses autour, aucune n'avait d'organes, d'os, de dents ou de cheveux, toutes étant nécessaires pour être géant. Hallucinait t-il ou alors? Oh!

Bonté divine! Tu peux donc percevoir le géant maléfique BAAL I?!
Tonna Billie, se penchant en avant et rejetant, sans le vouloir, des bouts de sa barbe parentale sucrée sur le visage du petit homme!

Serait t-il

présent ici?! Tonna t-elle calmement, tout en tentant d'agripper le nain perceptif paisiblement pour le secouer tranquillement.
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Burlesque
L'Auguste Noir
posté le Lun 15 Mar - 21:41



- Euh... Madame, il faudrait me poser maintenant, je suis pas un prunier, arrêtez de me secouer.

Le géant qui l'avait bousculé s'était avéré être une géante. Pendant un instant arrêté dans le temps, elle avait étendu sa main énorme en direction du saltimbanque, des flocons de barbe à papa s'envolant tout autour d'eux durant ce mouvement. Elle avait refermé son poing fermement sur son col et l'avait soulevé à plus d'un mètre du sol avec une facilité déconcertante. Elle n'était certainement pas de la même caste que tous les junkies déjantés qui peuplaient cette place et, par la diplomatie et quelques mots bien pensés, le petit singe essayait d'apaiser la colère de cette chevalière au phrasé archaïque.

- Un géant? Qui s'appelle Balin? Je connais bien un Balin, mais il est pas si grand que ça...

En un instant, exaspéré par la situation, il avait frappé la main de la gente dame avec sa queue agile, se dégageant de la poigne de fer qui le privait de sa liberté de mouvement. Il n'avait transformé que cette partie de son corps pour ne pas trop se dévoiler dans cet environnement un peu trop peuplé à son goût. Pendant ce temps, prenant quelques mètres de distance avec la damoiselle, il réfléchissait aux propos étranges et presque incompréhensibles qu'elle avait prononcé. Elle cherchait un certain Balin. Burlesque, qui connaissait bon nombre de fêtards invétérés dans cette ville qui l'avait vu grandir, avait bien une connaissance qui répondait à ce nom, mais il ne voyait pas bien pourquoi quelqu'un voudrait trouver cet idiot aviné.

- Mais bon, j'imagine que si vous le cherchez, je ne vais pas prendre le risque de vous mettre en colère... Cette poigne pourrait me broyer le crâne en quelques secondes, pour sûr, papapalapalapapapa...

Eclatant d'un rire larmoyant, qui devait le faire passer pour un être possédé par le plus puissant des démons, il fit un signe de main à la moyenâgeuse guerrière, lui indiquant de le suivre. Si elle refusait de le suivre, dans le pire des cas, il serait au moins débarrassé de cet inconvénient majeur. Mais il avait quelque part le sentiment profond qu'elle accepterait cette quête impromptue. Il savait reconnaître une personne déterminée quand il en voyait une et le regard de celle là ne trompait pas. Elle brûlait d'une volonté sans faille. La volonté de faire quoi, cela restait encore à déterminer.

Si une chose était certaine, c'était bien que l'homme recherché n'était pas présent à un concert pour midinettes et encore moins plongé dans une foule occupée à danser. Il y avait de grandes chances de le trouver au fond d'un caniveau ou en train de lécher un trottoir sans aucune fierté. Il devait avoir le nez plongé dans une fiole vide et la main posée sur un tonneau entamé. Alors le clown continua d'avancer, quittant peu à peu les zones les plus bruyantes de la ville pour s'enfoncer dans les allées si étroites qu'elles étouffaient même le bruit des haut-parleurs géants.

- Hé Masha! T'as pas vu Balin des fois?
- A ton avis? Je l'ai fait jeter par la fenêtre y'a trente minutes, il a pas pu aller bien loin.
- Encore une soirée normale, hein?


L'Auguste adressa un salut de la main au tavernier qui avait passé sa tête par la fenêtre pour répondre. Il connaissait ce vieux bougon depuis des années et il semblait qu'il passait ses soirées à se débarrasser d'importuns et d'alcooliques trop saouls pour tenir encore debout. Et l'un de ces piliers de bars malheureusement notoires était le fameux Balin. Alors, avançant encore un peu, les deux compères mal assortis arrivèrent au niveau d'un terrain vide, où trônait habituellement une petite scène pour les groupes de musique débutants. Mais pas ce soir. Ce soir, il n'y avait qu'une seule personne au centre des pavés.

- BALIN! Vieil alcoolique défraîchi! Tu tournes plus qu'un diabolo en plein vol!

A quelques mètres devant l'héritier des Fratellini se trouvait un drôle de personnage. Du haut de son mètre quatre-vingt dix, il s'était écroulé face contre terre, son gros nez violacé planté dans le sol pendant que ses grosses fesses grassouillettes étaient tendues vers le ciel. Cette drôle de prière était sûrement la conséquence de ses abus du soir. Lorsqu'il entendit la voix légèrement accentuée du jeune metteur en scène, il se releva d'un seul coup, comme piqué par une guêpe. Il dévoila alors son immonde visage couvert de terre, de sueur et de pustules laiteuses. Sa bouche tordue s'ouvrit en ce qui semblait être un sourire, dévoilant une rangée de dents irrégulière, alternant entre les caries et les trous des soldats déjà tombés. Son regard imbibé de sang semblant chercher devant lui vers où regarder, il avançait comme à l'aveuglette, trébuchant à chaque pas, manquant de chuter. Ses longs cheveux gris venaient régulièrement s'entremêler à sa barbe ébouriffée et à moitié défrichée, le laissant placer quelques jurons gras tout droits sortis du goitre immonde qui lui pendait sous la mâchoire.

- Bon bah voilà... Je vous l'avais dit, il est vraiment géant, juste un peu grand. Quand à être maléfique je n'en sais rien. Ivre, c'est certain. Pour quelle raison le recherchiez-vous au fait?

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Billie Jeen
Epée fantaisiste
posté le Mar 16 Mar - 12:16

BAROQUE''ROLL
EL ECCENTRICIO ALFONS FRATELLINI


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Etait-ce bien là une queue qui venait de la frapper au niveau de la main? Atout velu qui appartient aux animaux et non à l'homme? Comment diable avait t-il pu la frapper avec? Surprise, Billie avait lâchée le bonhomme, le laissant reculer alors qu'elle envisageait son propre cas de figure. Serait t-il un maudit, un de ceux qui avaient dévorés un fruit du diable afin d'augmenter leur puissance physique? Non non, il paraissait gentil! Sans nul doute qu'il était un homme-chien, qui cachait sa condition aux yeux du monde! Ah, c'était donc lui, le véritable Lupus! Ce charlatan de Darry Hondini aurait donc volé l'identité d'un autre, hein? Grand mal lui en fasse! Ah, notre amie lui envoya plus de pensées négatives, espérant que quelconque diable était en train de lui faire passer un sale quart d'heure en bas augmente la cadence de son travail! Mais ignorons les morts, et concentrons nous sur ce que disait les vivants! Surtout celui en face d'elle.

Ah, Baal I serait en ville? C'était mauvais! Le géant fantomatique avait une capacité particulièrement vicieuse, qu'il déployait uniquement quand il daignait prendre une forme humaine! Qu'il se soit glissé dans cette île sous cette forme était mauvais! Mais heureusement, le brave... hm, tiens, elle devrait lui trouver un nom! C'était impoli que de se référer aux gens sans utiliser de noms! Mais lequel conviendrait? Ark Le Quin? Il avait en effet un aspect légèrement CLOWNESQUE a lui, évoquant les amuseurs d'enfants colorés, qui utilisaient d'habiles tours de magie pour amuser l'esprit des plus jeunes pousses. Il lui faudrait un nom qui évoque donc de pareilles origines, tout en étant relativement sérieuse! Que, dans un combat âpre, Billie puisse le convoquer sans que les deux ne soient distraient! Hm...

Que ton nez fluorescent illumine le chemin de la

paix... Mec Ronald!

Oui. Le "mec" évoquait un mec dur, du type qui mâche du tabac et puis le recrache dans une poubelle désignée pour ça, avec la chemise ouverte. Et le Ronald évoque un clown! Une parfaite association! Qu'un nom ait été trouvé si rapidement indiquait une claire unité future! Lâchant un rire harmonieux donc, notre ami s'enfonça dans la foule, quémandant qu'elle le suive. Bonne réaction que de partir si vite! Billie, au passage, finit sa barbe à papa d'une bouchée. Malheureusement, pensa t-elle, les temps n'étaient plus à la consommation de sucreries qui alimentaient son complexe d'Électre disproportionné. Les temps étaient à l'ACTION! Même si les allées étroites rendaient difficiles tout combat, pensait t-elle alors que la fête battait son plein derrière eux maintenant.

Ce qui était fascinant, c'était surtout l'aisance que Mec Ronald avait pour se déplacer dans la ville! Il se manoeuvrait avec l'expérience de quelqu'un qui voyait la cité sous ses plus beaux jours, mais qui était aussi éminemment conscient de ses plus mauvais côtés! De ses caniveaux, où les soûls vomissaient les produits consommés au cours des fêtes! De ses allées, où de sinistres présences attendaient qu'un touriste ou fêtard fasse un mauvais détour! Il avait très certainement dû planifier un raid sur Baal I depuis le début, d'ailleurs, vu sa capacité à le traquer. Et il ne paraissait pas être le seul justicier en ville: Un certain Masha, dont la tête sortait de la fenêtre de son bar, semblait aussi garder un oeil sur toute présence démoniaque!

- Avé, brave Masha! Aurais-tu aperçu une engeance démoniaque? S'imagina t-elle dire son ami clown, le ton noble.

- Oui, il était très méchant, donc je l'ai chassé à coups de pieds dans les fesses! Tu sauras l'identifier par la traînée de sang et de corruption qu'il laisse!

Billie ricana, comme ça, d'un coup, et leva le pouce, symbole universel de contentement. Merci pour ton aide, gérant de bar!

C'était rassurant d'avoir de l'aide! Malheureusement, ils ignoraient là une terrible capacité de Baal I! Et elle se demandait bien pourquoi ils ne l'avaient pas simplement tué! Le mal ne peut que proliférer. Il est inutile de l'épargner, car tel le lion, sa tuerie est dans son âme! Mais là où le noble roi des animaux à besoin de viande pour survivre, et n'a pas d'intentions maléfiques sinon la survie, le mal ne peut qu'être dangereux et menaçant! Ne pas tuer Baal I sur le coup était une bien grave erreur! Mais une qui sera réglée ce soir, et qui permettra aux deux aventuriers de l'île de comprendre comment s'affronte un démon!

Complexe est ce type d'individus. Facilement tués, mais capables de revenir de pareil sort si le temps était donné. Henry, le scélérat de l'île d'Hondini, avait utilisé un rituel démoniaque pour échapper à la mort en scindant son âme en plusieurs parties par exemple! Et Baal, lui, avait une méthode encore plus fourbe, vu qu'il était un démon de base au lieu d'être un simple minable aux intentions maléfiques, incapable de s'élever au dessus de sa condition de pauvre humain! Et, justement, voici qu'ils avaient atteints Baal, l'hideux! Baal, dont les traits se révélaient!

Que son visage entier ressemble à un cratère explosé était une chose, mais elle pouvait voir que ce n'était là que factice: Le visage de pauvre buvard avait une fente, comme une fleur, qui s'ouvrait de temps en temps en deux pour révéler un faciès démoniaque! Là, enfoncée dans la chair, et visible des fois quand il parlait, elle voyait là son crâne rouge. Quatre orbites induites d'un feu spectral, des dents suffisamment tranchantes pour percer l'acier, plusieurs excroissances surnaturelles, comme des petits champignons qui poussaient à même de la matière squelettique... Ce n'était là qu'une chose! Mais elle voyait pire encore!

Baal avait abandonné son aspect humain, profitant de son isolation, et n'avait donc plus qu'un immense sac de chair en bas du corps. De couleur brune, étant essentiellement comme une série de plies hideux sur un sac de graisse de la taille de Billie, plusieurs petites paires de jambes tardigrades s'y agitaient dans les airs, le moyen de locomotion primaire de Baal. Mais l'horreur suprême était la fin de la queue, où un petit trou, humble, se trouvait. Là se trouvait l'arme mortelle! C'était avec cet outil que Baal causait tellement de malheur! Car ses OEUFS en sortaient!

NOOONNNNNNNNNN! LA PESTE SOIT DE VOUS DEUX, L'INTELLIGENT MEC RONALD ET LA FORTE BILLIE JEEN! MAIS JE SAURAIS ME VENGER BIEN ASSEZ TÔT! CETTE ILE EST PERDUE!

Inutile de décrire le procédé. Il fallait rager!

NON TOI TU ES PERDU!!! Bondissante, Billie dégaina son épée massive et l'abattit sur le corps massif du démon, le tuant sur le coup dans une explosion de sang, d'os, d'alcool et d'autres trucs, avec un seul coup de son épée! Se tenant au dessus du cadavre, elle entreprit d'extraire l'outil de justice massif du sol et des viscères, le leva au dessus de sa tête des deux mains, et puis l'abattit immédiatement sur sa queue, détruisant ainsi les oeufs qui s'y trouvaient! Fiou!

Toute omelette est faite avec des oeufs cassés, et tu es

une grosse omelette! Dit t-elle, avec classe, avant d'extraire son épée du sol de nouveau. Sortant une énième serviette blanche (achetée au préalable), elle marcha ensuite vers Mec Ronald, la passant d'abord sur son épée puis ensuite sur son visage et son torse. Mesure de précaution: C'était moche d'être sale, et le sang d'un démon à des propriétés étranges!

Mec Ronald! Ami de la nuit! Un danger nous menace! Sinistre Baal I à la capacité de pondre des

oeufs! Ces oeufs peuvent éclore en d'autres Baals, qui iront attaquer l'île! Le temps presse: Nous devons trouver ces oeufs et

les anéantir! M'aideras tu? La survie de l'île en dépend! Fit t-elle, ses yeux bleus fixant les siens, verts émeraudes. Elle tendit la main en avant.

Pour sauver Festivia, nous devons nous allier!
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Burlesque
L'Auguste Noir
posté le Sam 20 Mar - 12:26



- Noooooon! Espèce de petit merdeux! L'important mec à dames et une femme belle et jeune! Ah ça te dirait de manger du gâteau? Oh d'la bile, j'ai trop bu...

Voilà exactement comment avait débuté la rencontre entre Alfonso Fratellini dit Burlesque dit Mec Ronald, André Balenoix dit Balin dit Baal I et la grande Billie Jeen. Une certaine confusion régnait dans l'atmosphère alors que chacun des personnages présents se demandait qui ils avaient réellement en face d'eux. Qu'ils soient débiles ou comiques, les ressorts se faisaient nombreux dans cette histoire qui, de minute en minute, allait en se compliquant. Et cette phrase, prononcée par une vieil alcoolique au bord du coma éthylique, n'allait rien arranger. Alors que le jeune clown s'avançait vers le vieillard pour le saluer et l'aider à arriver jusqu'à sa comparse qui le recherchait, celle-ci le dépassa rapidement et, d'un coup d'épée, géante aussi au demeurant, elle trancha le pauvre ivrogne en deux.

Tous les sens en alerte, le petit singe fit de nouveau apparaitre sa longue queue en un clin d'oeil et frappa le sol pour reculer à une bonne dizaine de mètres de la folle armée qui se trouvait devant lui. Il avait imaginé beaucoup de choses sur cette personne, mais certainement pas qu'elle irait jusqu'à tuer de sang-froid ce qu'il restait d'un être humain. Elle n'avait pas hésité une seule seconde et n'avait pas attendu la moindre démonstration d'agression pour venir le frapper avec férocité. Et au vu de son efficacité, de sa vitesse et des vibrations que l'air avait transmises, sa force n'était certainement pas à mépriser car sa taille n'était pas son seul atout.

Puis il se ressaisit. Après tout, il faisait des choses à peu près aussi gratuites et semblables dans son cirque à chaque représentation. Peut être avait-elle une raison. Peut-être que sa lutte était plus profonde que cela, peut-être la belle Billie avait-elle souffert des années durant des répercussions d'actes perpétrés par Balin dans une autre vie. Personne ne connaissait rien sur le passé de cet idiot, paix à son âme, et encore moins sur l'âge qu'il pouvait possiblement avoir. Alors Alfonso commençait à comprendre qu'il n'y avait que deux solutions à cette situation. Soit la médiévale justicière était en quête de vengeance et cet acte sanglant s'expliquait parfaitement rationnellement, soit elle était complètement cinglée et la situation pourrait alors se compliquer. Et puis un nouveau coup d'épée se fit entendre, comme pour répondre à la question. Son ennemi déjà mort, elle venait de le séparer de sa virilité, comme un symbole. Pour le saltimbanque plus aucun doute, cette fille avait un lien de famille avec ce vieux cochon.

- Bon euh... Madame? Chevalière? Je ne sais pas vraiment comment vous appeler mais, au diable les conventions! Je vais passer l'éponge pour cette fois car je comprends vos griefs à l'encontre de ce malandrin. Quand à la progéniture de Balin, je n'ai aucune idée de où ils se trouvent, ni même s'il a eu le temps de pondre des gosses. Dans tous les cas, même si je le savais, je ne vous laisserais pas les tuer sans condition.

Le metteur en scène s'était assis par terre, les bras croisés sur le torse. Il venait de refuser catégoriquement une faveur à un monstre de puissance qui venait de lui prouver qu'il pouvait tuer un homme aussi facilement qu'on écrase une mouche. Et cette pensée continuait de lui frapper le crâne en tout sens, avant qu'une autre chose ne vienne le choquer. La demoiselle, malgré le refus, avait planté son regard bleu tout au fond du sien et ne le lâchait plus. Elle avait quelque chose d'hypnotique et de connu, étrangement. Il semblait avoir déjà croisé ce regard mille fois. Le même regard bleu que Balin. Le même regard bleu qu'un autre personnage qui faisait partie de sa vie depuis des années et qu'il n'avait jamais remarqué.

- Et merde... L'occasion est trop belle. Venez, je vais vous y amener.

Pour comprendre pleinement ce qui venait de se passer, il faut envisager de comprendre ce qu'était Festiville le jour. Lorsque le soleil se levait, les gens se couchaient ou repartaient travailler avec des cernes pleins les yeux. Les commerces vivotaient alors et les activités illégales s'épanouissaient en plein jour, profitant du calme octroyé par la luminosité. Oui, la ville festive fonctionnait à l'envers et Burlesque, qui la nuit devenait Alfonso, faisait son business tous les jours dans cette cité. Il avait secrètement acheté plusieurs bâtiments et échoppes, se créant un patrimoine immobilier et commercial bien rentable, qui ne profitait qu'à son organisation sous le couvert de société écrans. Mais au centre de cette zone qui lui appartenait désormais et où il pouvait tout contrôler dans les moindres détails, il restait un point noir. Une seule boutique refusait encore et toujours de céder à l'envahisseur inconnu. Un bar du nom de "Papa O'Rhum". Un bar tenu depuis des années par un patron grincheux et intransigeant, un certain Masha Balenoix.

Alors, profitant de cette inconnue aux revendications meurtrières et du lien de famille désormais évident entre Balin et Masha le gérant de bar, Alfonso fit demi-tour pour se diriger à nouveau en direction des ruelles. Il s'arrêta simplement devant la taverne du fils indigne qui jetait son père par les fenêtres tous les soirs, de ce maniaque insolent qui le privait d'un contrôle totale sur cette zone économique. Alors il poussa la porte, s'approchant du bar d'un bon pas avant de monter sur une des chaises et de s'accouder au comptoir. Là, il plongea ses yeux une dernière fois dans ceux de Masha pour constater le bleu de ses iris. Il contemplait comme pour la dernière fois le visage rondouillard du quarantenaire, son nez épais et presque crochu qui s'étalait sur une moustache glorieuse et bien fournie. Son crâne dégarni, seulement peuplé d'une couronne de cheveux encore résistant, luisait de sueur en permanence. C'était probablement la dernière fois que l'héritier des Fratellini pourrait prendre le temps de regarder cet homme attachant mais importun. Alors, l'air joyeux et satisfait, il commanda un verre de rhum avant de parler au tenancier sur un ton franc.

- Masha... J'suis désolé mais... Ton père est mort. Et c'est la grande perche derrière moi qui l'a découpé.

La bombe était lancée et, jetant un regard amusé à Billie, le petit homme aux cheveux carmins lui adressa un grand sourire. Il voulait voir ce dont elle était capable en ces lieux. L'endroit était délabré, grinçant et vieillissant. Les toiles d'araignées aux plafonds répondaient à celles installées entre les tables, les fissures des murs rappelaient celles des faïences. Un grand bar en fond de pièce comme dans un saloon des moins modernes, quelques tables rondes et des clients aussi vieux que l'ensemble du bâtiment venaient compléter le tableau. C'était là bien misérable, une tache de boue dans la zone parfaitement touristique que Burlesque essayait de créer ici. Une fois le gérant mort et ses biens mal acquis en poche, plus rien ne pourrait l'empêcher de s'enrichir sur le dos des fêtards en furie. Mais pour cela, il allait falloir que la demoiselle fasse son oeuvre.

Billie Jeen
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Billie Jeen
Epée fantaisiste
posté le Dim 21 Mar - 3:51

BAROQUE''ROLL
EL ECCENTRICIO ALFONS FRATELLINI


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- Bon heu... Madame Billie Jeen! Je suis content que vous avez envoyé au diable Baal I! On pourra passer l'éponge sur ce malandrin et ses griefs. Quand à sa progéniture, j'ai parfaitement idée de où ils sont et d'où ils sont pondus, et je vais vous emmener les tuer! Mais à condition que je me repose.

Ouiiiiii, excellent! Il était donc prêt à partir. Le temps était bienvenu, parce que les oeufs de Baal I éclosent rapidement, et ces enfants n'ont pas besoin d'être éduqués concernant le mal qu'il est nécessaire de faire. Simplement, ils naissent avec une spécification et un but: répandre le mal! Que ce soit en propageant des baguettes du tonnerre, ou en insufflant de la bourbe addictive à des boissons bien simples... Il y'avait là beaucoup d'options pour que la discorde et la haine s'emparent d'îles! Mais grâce à des exécutions pareilles, la bonté et la gentillesse redeviendraient normes. Et en préparation à un glorieux massacre de vilains, elle se mit à nettoyer son épée via un petit drap blanc, qu'elle passa sur la lame tout en dévisageant Mec Ronald. Le geste était contrôlé, sans coordination visuelle nécessaire. Bien des fois, elle avait dû expurger sa lame d'impuretés. Ce n'était pas la première, ni la dernière, mais les années avec l'épée étaient bien concluantes.

C'est ça la meilleure façon de procéder. C'est l'expérience. Billie savait comment Maléfax et ses forces marchent! Baal I n'était qu'une engeance impure parmi tant d'autres. Au nom terrifiant, mais dont le destin ultime était d'arroser les outils de Billie de son hémoglobine impure. Plus elle allait, plus ses gestes devaient un peu mieux contrôlés! Plus son épée tranchait justement! Plus elle délivrait un coup fatal, au bon endroit! Et elle apprenait plus sur les légions maudites et leurs étranges pouvoirs, dont certains les rendaient particulièrement difficile à toucher sans que de l'énergie pure ne doive être canalisée auparavant! Oui, bientôt, viendra l'occasion de frapper fort! De faire couler de la bourbe sombre sous les yeux-métalliques dont ils se servaient pour répandre leurs mensonges! Et si ce n'était l'empire, alors ce serait les... les autres, là. Les tribus barbares qui sèment le chaos pour leur propre but! Bêtes aux drapeaux de moult couleurs dissimulant tous leur véritable emblème: CELUI DU MAL!

... Ah, il s'était levé pour la guider. Distraite dans ses pensées, Billie le suivit, au travers de la ville. C'était une bien belle cité, d'ailleurs, mais comment est-ce que les gens pouvaient bien y vivre? Brièvement, très brièvement, elle se remémora des vastes champs verts baignés de soleil, et des routes vastes, avec des panneaux immenses. Douce île, où personne ne se perd. Comparé à ça, Festivia paraissait bien apte à rendre quelqu'un claustrophobe! Ses petites rues étaient négociées avec aise par le doux Mec Ronald, mais Billie, elle, se sentait souvent comme sur le point d'être entièrement dévorée par une vile créature. Tel un petit insecte coincé dans la bave d'une plante carnivore! Peut-être était-ce là l'influence du vil fils de Baal I, Baal III? Oui! Son engeance machiavélique était dans les murs! Elle les voyait! Ses vastes racines, suintante une matière verte, remontant les long des murs ou du sol, comme des veines hideuses! Hideuses excroissances de la décadence!

Un plaisir que vous soyez là! Serais-je venue plus tard, j'aurais sans nul doute été forcée de

sauver tout les habitants de cette ville de la décadence! Avec un air camarade, elle posa sa patouche sur son épaule. Mac Ronald, ton coeur est aussi

gros que tes... Elle baissa des yeux pour voir des détails à mentionner. tes chaussures!

Enfin, ils furent amenQUE NENNI?! Le bar de Masha?! N-non... Serait t-il une engeance maléfique? La peste soit faite du traître! Bien évidemment qu'il avait viré Baal I, il avait envoyé son maléfique progéniteur mourrir pour les distraire! Comment est-ce qu'Alfonso avait pu voir au travers de si sournois subterfuge? Sa vision d'yeux était honorable! Qu'une médaille lui soit donnée, vraiment! Et quelle coolitude, alors qu'il entra dans le bar pour s'y atteler, tentant sans nul doute de diminuer l'attention du truand! Quand à Billie, elle passa au travers du plafond, sa tête forçant de par le matériel fragile qui animait la bâtisse sans effort, et puis elle ferma la porte, étudiant des lieux.

Ses yeux sages se posèrent avec mépris sur les alcooliques... Pitoyables loutres addicts au poison, condamnées à mourrir lentement tout en crachant tout leur or à ceux derrière leur décadence morale et psychique. Misérable vermines, qui vivaient selon les bons vouloir de leur dealer de mort liquide, destinés à être abandonnés dans une gouttière. Sans nul doute qu'ils seraient trop soûls pour réaliser qu'ils étaient morts! Pour ces misérables, la moindre goute d'alcool était une bonne victoire autant qu'elle était une terrible défaite! Car seul un océan de plaisir vicieux pourrait satisfaire des parasites en phase terminale! Bedonnants bachibouzouk!

La jeune femme, les dents serrées, se tourna donc vers Masha... Ou serait t-il plus sage de l'appeler MASHOS "BAAL III" BALENOS?! Ah! Le voilà tout paniqué devant elle! La sordide fin de son père avait été contée, et il se savait prochain chapitre!

N-non! Mon destin était de noyer cette île sous le poison! Que vous soyez maudits! Mes frères me vengeront, et je saurais me repaître de vos âmes dans notre repair infernale! Que la damnation saisisse vos âmes!

Non, Baal III! Tes frères seront tous tués! Tu

pourras leur OUVRIR LA PORTE! Bondissant de l'avant avant qu'il ne puisse dégainer sa baguette du tonnerre et arquant le bras doit en arrière, Billie abattit son poing droit en avant vers le visage du vil démon, n'ayant guère besoin de Haki pour le faire exploser en petits morceaux de mal. Puis, immédiatement, elle se pencha pour soulever le cadavre au dessus de sa tête, afin de mieux le jeter vers un tas de bouteilles sur le comptoir, brisant ces dernières!

Les alcooliques se réveillèrent à peine. Misérable amorphes! Billie dégaina son épée, la faisant passer au travers du comptoir pour le briser en deux! Ahh, oui! Elle le sentait! L'heure de commettre du bien! Quelle excitation! Plus puissante que cette mort liquide qu'il nourrissait aux badauds grassouillets qui fréquentaient ce bar, léchant n'importe quel liquide qui y suintait pour satisfaire leurs pitoyables addictions! S'ils sortaient, ils propageraient le mal! Et déjà, l'un d'entre eux trébucha sur une MACHINE INFERNALE! OH NON! Une machine infernale! SA MUSIQUE FILTRAIT! LES DEMONIAQUES LAMENTATIONS DES MUSICIENS DU TROISIEME CERCLE! G-GNYARRGHHH!

LA MELODIE DES ENFERS!:

MEC RONALD! LES DEMONS LIBERENT UNE DANGEREUSE MELODIE! NOUS DEVONS

LES TUER POUR L'INTERROMPRE! Prévint t-elle, gardant une expression neutre, en dépit de la tension! Avec fierté, elle leva son épée massive au dessus de sa tête, perçant au travers du plafond de la salle! QUE TREPASSE SI

SI JE FAIBILIS!

OY PITANG DI MERDE! GWAARRGGHHHHHH! Tonna un des faibles servant de feu Baal III, alors que Billie abattit son épée de façon verticale sur lui, détruisant le plafond aussi bien que le choc soudain anéantit à la fois démon et le sol à ses pieds! Et puis Billie se lança dans un tourbillon de violence! Il fallait tout détruire de cet endroit gangréné! Tout! Elle tapait les murs aussi bien qu'elle faisait couler le "sang" des démons!

Mourrez! Mourrez

tous, abominations!
Burlesque
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Burlesque
L'Auguste Noir
posté le Sam 3 Avr - 0:21


Il n'avait suffit que d'un seul petit instant, un court espace où le visage horrifié du pauvre Masha s'était figé face à la nouvelle, pour que l'épée gigantesque de la médiévale salvatrice ne s'abattent sur son visage. Habilement, le petit singe avait basculé vers l'avant, son verre à la main, exécutant un petit pas sur le côté pour s'écarter de l'attaque qu'il attendait. Alors que la lame déchirait les chairs de l'innocent tenancier, il plongeait les lèvres dans ce rhum bienvenu, se contentant de le jeter par dessus son épaule au moment exact où la chevalière envoya valdinguer un cadavre dans les bouteilles. Une tristesse passagère envahit le coeur d'Alfonso alors que les contenants brisés se vidaient de leur contenu, répandant une forte et délicieuse odeur d'alcool dans le bâtiment.

- Mouais. C'est un peu grossier, mais ça fonctionne bien.

Terminant sa phrase empreinte d'un cynisme palpable, le metteur en scène envoya son coude vers l'arrière directement dans le nez cyanosé d'un pochtron énervé. Celui-ci avait réagit plus vite que les autres et, bien qu'aussi titubant que ses camarades, avait trouvé le moyen de se relever pour tenter d'attenter aux jours de notre clown en congés. Les hommes de cet endroit avait fait l'erreur de ne pas se méfier de lui et, honnêtement, il ne pouvait pas leur en vouloir au vu du gabarit de sa partenaire du jour. Voyant passer devant lui un autre de ces chancelants malheureux, il lança la patte et pourquoi le taire, le cul-terreux se flanqua par terre. Il atterrit le nez dans un orgue de barbarie. Un geste que l'héritier du cirque regretta instantanément au vu de la mélodie insupportable qui s'échappait désormais de l'instrument éventré.

- Hmpf. Que voulez-vous... Dès lors qu'on laisse une place au hasard, le spectacle perd beaucoup de sa superbe.

Continuant de commenter l'avancée des évènements comme le plus insensible des raclures de bidet, Alfonso tentait difficilement de montrer les larmes qui trahiraient l'amusement profond qui l'étreignait. Il voyait en cette situation quelque chose de très cocasse et, bien que vêtu d'un costume et non de son uniforme, il avait bel et bien adopté l'attitude d'un Burlesque au meilleur de sa forme. Il se mit alors nonchalamment à déambuler au milieu de la petite salle, dansant au son dramatique de la musique, tentant de rendre la scène un peu plus agréable à observer. Un pas à gauche, il esquivait les charpentes s'écroulant du plafond. Un saut à droite, il passait au dessus d'un cadavre qui rasait le sol. Un cabriolet et une tête s'envolait en le frôlant, dans une chorégraphie qui semblait presque répétée.

Il continua en sortant de sa poche intérieure trois couteaux de lancers qui, au détour de cet axel ou de cette autre vrille, partirent se planter dans le visage d'autres alcooliques, engeances démoniaques qu'il fallait réduire en cendres. Enfin, selon la blondinette énervée qui l'accompagnait. Tranchant au milieu de la poussière, des débris et des gerbes de sang, il se propulsa agilement jusqu'à la machine infernale et, d'un coup d'estoc bien senti, l'éventra avec son bras. Il agrippa le mécanisme et l'arracha d'un coup sec, faisant se taire la ritournelle qui commençait déjà à hanter son cerveau.

- TADAAAAA! Le vil démon musical a été transpercé, ma chère! Cependant, et bien que j'admire votre travail et votre efficacité, je serais avisé de vous conseiller de courir. Toute l'habitation menace de nous ensevelir.

Un conseil bien senti et une analyse peu complexe a réaliser, étant donner que la grande guerrière venait tout simplement de massacrer l'intégralité de ce qui tenait encore ce bouis-bouis debout. Les poutres vermoulues s'étaient écroulées aussi simplement que des châteaux de cartes et bien ambitieux aurait été celui qui aurait tenté de maintenir cet établissement debout. Alors, d'un pas enjoué et fluide, le dernier des Fratellini s'extirpa de la zone, un grand sourire collé sur le visage. Une fois n'est pas coutume, il affichait l'expression adéquate envers le moment. Et lorsqu'ils eurent dépassé le pas de la porte, les murs finirent par céder et la bâtisse se ratatina sur elle-même en un instant.

- Et maintenant ma grande amie, il est temps pour nous d'aller célébrer cette grande victoire. Mais très loin d'ici, entendu?

Une goutte de sueur commençait malgré tout à couler le long de sa joue. Il n'avait pas vraiment l'habitude d'effectuer ce genre d'actes à visage découvert et, quand il ne jouait pas son personnage favori, il avait quelques petits problèmes de confiance. D'un pas qui se voulait assuré malgré tout, il fallait bien garder la face, il se hâta de s'extirper de ces ruelles étroites alors que les cris commençaient à monter dans la ville et que les bottes des soldats commençaient à se faire entendre. Ils étaient plus rapides la nuit que le jour, ce qui en disait vraiment long sur cette ville de malheur.

La seule chose sur laquelle s'interrogeait encore notre parrain en herbe, c'était sur la suite des évènements. Il était bien heureux de la réussite de ce plan et de s'assurer le rachat de la zone immobilière dès le lendemain, mais il avait la sensation que sa partenaire de fortune avait encore des surprises pour lui...


Billie Jeen
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Billie Jeen
Epée fantaisiste
posté le Sam 3 Avr - 15:31

BAROQUE''ROLL
EL ECCENTRICIO ALFONS FRATELLINI


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Ah, la danse sanglante de l'annihilation! La mort du mal! La destruction d'un temple à la débaucherie! Que y'avait t-il à regretter? Comment pourrait t-elle donc dénier l'immense cadeau qui lui avait été tendu? La blonde en était toute contente! Toute ravie de pouvoir finalement se déchaîner contre une véritable cible! Les combats d'avants avaient été trop rapides, trop brefs, mais en ces temps, elle pouvait bien se déchaîner! Voir la bile des âges anciens suinter de toutes parts, émanant des cous ou des corps brisés comme une fontaine impie, alors que son épée semblait sans cesse trouver nouvelle chair à fendre pour exposer la pourriture véritable qui s'y cachait! La douce extasie de savoir que le nombre de pas gentils dans le monde commençait à être réduit! Le TRIOMPHE d'être cette main salvatrice, qui s'assure que dans les jours à venir, les gens de cette belle île n'auront pas à craindre le danger! Et bien sûr, Mec Ronald aidait! Il contribuait à ce que cette déchetterie en forme de bar soit définitivement mise hors d'état de nuire et la grande femme ne pouvait qu'approuver! Mais qu'elle superberie que cette trouvaille d'un héros intelligent en ces terres reculées!

Il fallait l'admettre, mais Billie s'était pensée cavalière seule en ces terres fades, ou l'intellect est mis hors de côté pour le comble d'une belle fête. Heureusement, toutefois, Mec Ronald possédait un puissant cerveau, qu'il utilisa pour rapidement défaire l'engin maléfique avant que ce dernier ne finisse d'invoquer une armée des damnés! Et il le fit si vite que Billie eut le temps d'agripper un petit bout de papier qui sortait d'une autre machine, sur une partie non-endommagée du comptoir. Cet objet contenait, sans nul doute, de précieuses informations! Ce qui était la raison pour laquelle ce fut le dernier item dont elle s'empara avant qu'il ne devienne évident que la bâtisse maléfique, endommagée par les efforts héroïque du duo, allait bienot s'écrouler, étant naturellement fragile car le bois qui la constituait avait été que trop abîmée par le mal qui en émanait, à cause des nombreuses actions dépravées commises en ces lieux!

Pressons-nous mon ami Mec Ronald!

En un instant, et pile après la sortie des lieux... PAF PIM POUM! S'ECROULE L'EDIFICE! Encore une victoire du bien, donc! Et ceci ne serait pas le seul triomphe de cette nuit, voyez vous! Car sur cette note figurait un énigmatique message. Une invitation à ce que deux autres pas gentils organisent un RITUEL DE SANG! Un rituel qui leur permettrait de créer un coeur du mal, en causant une souillure sur l'âme même de l'ilot! Et les conditions de ce dernier? Il fallait réussir à tuer un grand groupe de personnes avec des pantalons! Les instructions de Maléfax restaient très retordes! Il était tellement vil, en effet, que même ses sbires étaient bloqués par ce dernier à des occasions, en leur rendant la vie plus difficile! Mais cela allait dans le sens du bien. Stupide Maléfax! Ton mal ne faisait que rendre ta fin encore plus imminente!

Quand Billie suivit Mec Ronald, donc, ce n'était pas pour festoyer, mais pour travoyer! Oui, travoyer! Car la nuit n'était pas finie! Tant qu'un seul des assassins était encore vivant, le rituel pouvait être accompli, et des oeufs pouvaient être pondus! La mort de Baal était requise, et il fallait que les derniers de cette piteuse engeance soit éradiquée! Ainsi, une fois suffisamment loin, la blonde tenta de poser sa main sur l'épaule du fameux clown, dans une tentative de l'assurer qu'il fallait s'arrêter! Patience, Mec Ronald! L'hydromel de la victoire

saura récompenser nos papilles gustatives... mais seulement quand Baal IV et Baal V auront été tués! Elle lui plaqua le petit bout de papier devant les deux yeux, et puis entreprit de sortir sa propre petite serviette, afin de s'essuyer le visage avec. Oui! Ou! Ils veulent faire un rituel cupide!

hautement maléfique! Beaucoup des victimes auront des pantalons... Les pantalons sont portés

Billie plaça sa main sur son menton, et puis se mit à réfléchir ardemment, laissant à Mec Ronald le soin de lire le tissu sorti de cette étrange machine de comptoir.

dehors, on sort dehors pour des occasions, pour des fêtes, pour des-PAR LES MILLES PISSENLIS DE LA DUCHESSE! Les

fêtards avec des pantalons sont en danger! Mec Ronald, les deux Baals doivent être

tués immédiatement, ou cette île pourrait tomber sous leur égide!

Hic y y y disen quoi la... la fille et le... SAPRISTI! UNE LOQUE HUMAINE! Déchet alcoolique qui avait rampé vers eux, pensant sans doute trouver sa pitance empoisonnée auprès de deux discutards! Sans réfléchir, Billie agrippa le soûlard par le cou, ne prenant même pas le temps de formuler une menace ou même de dégainer son épée. Il y'avait trop de choses en jeu pour qu'elle perde du temps contre un pareil idiot!

Mais-AU SECCOOUUUU Balbutia t-il, avant d'être envoyé sur le mur avec suffisamment de force pour être brisé en morceau! Triomphante une fois de plus, mais consciente qu'elle n'avait vraiment que tué une engeance maléfique plutôt que la source, Billie s'agrippa pour saisir la tête du manant par les cheveux, et la soulever, posant ses yeux bleus sur son noble ami!

Si nous échouons, tous nos amis de cette île deviendront pareilles loques et devront

êtres tuées! Pressons-nous! Avez vous détectée les deux fils du malin, mon cher ami?!
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