One Piece Anarchy
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilFAQRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexionPortail



 
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

OJIWARA ____ 100%
Ojiwara
OJIWARA ____        100% Kisuke-Urahara-image-kisuke-urahara-36580299-100-100
OJIWARA ____        100% 1568304747-pardef
Loca. :
Whiskey Peak
Berrys :
000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
OJIWARA ____        100% Left_bar_bleue0/0OJIWARA ____        100% Empty_bar_bleue  (0/0)
Ojiwara
L'illuminé
posté le Jeu 8 Avr - 4:10

OJIWARA
O.J. — 21  — HOMME — MARINE
métier : Agent de la Marine.
groupe : Marine.
rêve : Devenir Amiral de la Marine.
rang : L'Illuminé.
espèce : Humain.
lieu de naissance : East Blue.
première île : Whiskey Peak.
armes : Un sabre à la même allure que Shuusui, plus petit.
fruit du démon : Zushi Zushi no Mi.

DESCRIPTION PHYSIQUE — MENTALE
— Âgé de 21 ans.
— Mesure 182 cm.
— Pèse un peu plus de 68 kg.
— Yeux verts.
— Crinière blonde mi-longue.
— Barbe de trois jours.
— Couvre-chef rond et mou (un bob) à rayures blanches et vertes.
— Haori blanc avec motifs de diamants vers le bas ainsi que le kanji de la Marine dans son dos.
— Kimono vert.
— Lame divisée par le mauve et le noir, où figure des motifs rouges en forme de pics.
— Fourreau blanc réfléchissant la lumière.
— Rigole par des "Kehehehehehehe".
— Jiyarus aux pieds.

Me décrire ? Voici une tâche que je n'eus à faire qu'il y a très longtemps. Je ne me définis pas comme quelqu'un d'étourdissant, de spécial ou de particulièrement intéressant. Je n'irai pas jusqu'à dire que je suis seulement pour être, que je me contente d'exister, mais il est vrai que ma vie ne détient pas le sens qu'elle se doit d'avoir. Vous voyez, la vie pour quelqu'un comme moi, se dessine par les traits de la paix et de la tranquillité. Alors, j'aurais bien aimé que ma vie soit aussi paisible que celle d'un animal domestique qu'on nourrirait, logerait et aimerait sans rien attendre en retour de sa part si ce n'est que sa présence même, mais malheureusement pour ma non-chalance, cette vie n'est et restera un rêve lointain tant que la sérénité commune sera menacée par les truands des mers et les criminels en tout genre. Je ne suis sûrement pas l'être le plus optimiste du monde, mais s'il y a une chose que je suis bien, c'est un homme, et un homme, fait tout et fera tout le nécessaire pour atteindre ses desseins. Pour moi, il était hors de question de rester sur mon transat en siphonnant le contenu de ma bouteille de saké, si je n'agissais pas pour mes idéaux, qui allait donc le faire ? Et comme on dit, on est jamais mieux servi que par nous-mêmes. Toutefois, mon envie de faire de ce monde un monde meilleur ne se limita pas à un simple "déclic". Sûrement pas, non. Derrière les portes fermées qu'étaient seulement la façade de mon esprit, se cachaient nombreuses théories - à mes yeux plausibles - qui me poussaient chaque jour à me lever et à combattre le mal. Tout ça, tout ce qu'il s'était passé dans le monde jusqu'à présent, ne tournait pas rond et mon entourage ne semblait pas être à la même page que moi. Très jeune déjà, je passais pour le paranoïaque, le théoricien fou ou encore le peureux, mais au fond de moi, je sus toujours que mes raccourcis étaient quelque peu vraisemblables.

Gardée en tête ma jeunesse, j'étais contrarieusement naïf pour comprendre quoi que ce soit lorsque pareils événements eurent lieu, mais laissez-moi vous dire qu'en dépit de ma flemmardise, je suis quelqu'un d'extrêmement savant grâce à ma curiosité intellectuelle sans fin. En relisant les archives, en revoyant les livres d'histoires et les ouvrages qui ont bâti une certaine vérité au grand monde, je me suis vite rendu compte que la société était un véritable théâtre articulé par une seule et unique personne : Wolfgang D. Luther. Et croyez-moi, forcé à lire et relire, je n'ai encore vu personne émettre les hypothèses que je prêche. Cet homme serait - non, cet homme est le marionnettiste qui manipule le mal des continents : la piraterie et la révolution. L'étude de cette idée prouverait une nouvelle fois que le Gouvernement Mondial est soupçonné à tort et qu'en réalité, il opère dans le sens du bien. Écoutez-moi lorsque je vous assure que Wolfgang D. Luther est à la tête d'un Nouvel Ordre Mondial qui verrait le jour lors de l'anéantissement du Gouvernement. Il est logique qu'à première entente, vous ne me croirez sûrement pas alors laissez-moi exposer ma thèse.

Le monde entier a connaissance du passé de cet homme. Un ancien membre du Gorosei, problématique par ailleurs, qui eut un mal fou à faire accepter ses idées au sein de son groupe. Quelles idées ? Les précisions sur les idéaux de ce moustachu diabolique ont, partout où j'ai pu les lire, toujours été spécialement vagues. Les uns le voyaient comme un bienfaiteur qui redonnerait au monde un sens plus juste par le savoir, tandis que les autres le rapportaient comme un extrémiste assoiffé de pouvoir dont le seul but était d'être le leader incontesté d'une puissance universelle. Il apparaissait aux peuples comme le bien et comme le mal, comme tout bon prophète. Néanmoins, de multiples témoignages sortant de la bouche de pirates de tous les continents assuraient que l'ex-membre du Conseil des Cinq était à l'origine de multiples mouvements de foule et d'anarchie, allant même jusqu'à causer des vagues de criminalité dans les plus calmes contrées. Bien sûr, sortis de la bouche de méprisables pirates, ces témoignages n'étaient jamais réellement pris au sérieux et étaient vus comme une tentative plus que médiocre de causer le trouble et l'incertitude dans les rangs de la Marine : sans effet. Cependant, pour une raison ou pour une autre, ces témoignages me paraissaient un tantinet vrais et j'eus pour but d'étudier la question. Plus le temps avançait et plus je me rendais compte, petit à petit, que la piraterie était un prétexte pour Wolfgang D. Luther afin de mettre la main sur le pouvoir et ainsi rallier les forces du monde entier sous sa tutelle. Je n'ai jamais complètement assimilé les subtiles rouages qui constituaient si bien un plan d'une telle minutie, mais s'il y a une chose que j'avais bien comprise, c'était que celui qu'on appelait Le Philosophe n'était pas l'homme que l'on pensait être.

Le One Piece, un trésor traité comme le summum du savoir, était la raison parfaite pour n'importe quel homme de s'aventurer sur les mers. Allier savoir et richesse était un combo que Luther savait comme gagnant et d'ailleurs, il n'a pas eu tort. S'il y a bien quelque chose que je ne peux retirer à cet homme, c'est bien son génie. J'en étais donc au point où je pensais plus que fermement que la piraterie était une concrète invention de Luther, ou plutôt qu'il avait popularisé, démocratisé et normalisé le crime sur océan comme une idée déjà bien acceptée socialement. Les pirates, la gangrène de la société, se promenaient maintenant dans les villes, acclamés ou craints, sans soucis et ça, c'était un problème plus que majeur à mes yeux qui voyaient les représentations humaines du vice déambuler sur les belles avenues des différentes îles du monde. En 1500, le monde apprit qu'un écumeur des mers avait mis la main sur ce trésor et possédait de ce fait tout ce qu'un homme désirait sur cette terre. Le nom de cet homme était Gol D. Roger et en même temps que les mers et les continents entendaient cette annonce, il était dit que le Roi des Pirates s'était rendu aux mains du Gouvernement. Kehehehehehe ! Cela eut lieu un an avant ma venue dans ce monde, et jusqu'à ce jour, je n'ai aucune idée de comment une telle supercherie se fit sous les yeux niais de la planète entière. À quel point faut-il être bête, idiot pour ne pas se rendre à l'évidence... Gold Roger, le "Roi des Pirates", laissez-moi rire. Ce "pirate" était un agent du Gouvernement. Un membre du Cipher Pol, il se peut, ou un vulgaire subordonné à qui on avait confié la tâche de se faire passer pour énergumène. Sérieusement. Le fait que Wolfgang D. Luther soit le premier à évoquer le nom du One Piece, que Gol D. Roger soit le premier à le trouver et dès lors de sa trouvaille, qu'il se rende, ne vous laisse pas un peu dubitatif ? Croyez-vous réellement que le Gouvernement aurait laissé un tel savoir à la portée de tout le monde, n'importe qui ? Croyez-vous réellement que des gens comme vous et moi, auraient pu hasardeusement tomber sur le pouvoir absolu et grâce à celui-ci, prendre contrôle de tous les océans ? Alors que des combinaisons farfelues cherchent à prouver que le Gouvernement Mondial cacherait l'existence d'un "siècle oublié" - foutaises - pensez-vous que si ce même Gouvernement cachait réellement quelque chose d'aussi gros, il laisserait à disposition de tous l'arme ultime : le One Piece ? Il n'en est rien. Et j'en suis convaincu, Gold Roger et Wolfgang D. Luther étaient tous les deux de mèche, aucun doute là-dessus. L'avide de suprématie qu'est Luther n'aurait jamais laissé possible quelque chose d'aussi gros. Ce pourquoi il prit le soin d'utiliser un pirate, et pas n'importe lequel, le surnommé Roi des Pirates, pour lancer officiellement l'ère de la piraterie. Ainsi voyez-vous, c'est à ce moment précis, en relisant les annales de 1500, que je me suis rendu compte que ces témoignages "frauduleux" de ces pirates des quatre coins du globe n'étaient pas de simples tentatives de discorde. Le Philosophe voulait bel et bien semer l'anarchie à travers la piraterie, mais cela secrètement, j'en conclus donc. Alors, pour garder son statut et assurer son ascension au pouvoir, il se contenta d'utiliser Gold Roger pour lancer cette ère de piraterie à sa place, comme tout bon pion sur un échiquier. Quel coup de maître. Seulement, Wolfgang D. Luther, 22 ans après, Izanashi Seika, dit Ojiwara est né entre temps et s'est rendu compte de ton petit manège, si puis-je me permettre, kehehehehehe !

Deux ans après l'assassinat de Gol D. Roger, enfin "assassinat" si j'ose dire, cet agent est sûrement en parfaite sécurité quelque part avec Tupa C. Shahakuru, je lus bien plus rapidement le coup d'état tenté par Luther. C'est bien là que je me rendis compte que je n'étais pas paranoïaque, que je ne voyais pas le mal partout et que j'étais encore moins "fou". J'avais tout bon, bingo. Je ne suis pas spécifiquement quelqu'un que l'on pourrait qualifier imbu de lui-même, mais j'aime rejoindre l'idée que je pourrais être un génie. D'ailleurs, je compte bien rivaliser celui de Wolfgang D. Luther en l'envoyant derrière les barreaux et ainsi devenir à la fois Amiral, pour une vie plus paisible, et à la fois le - nouveau - meilleur bretteur du monde. D'une pierre, deux coups. Maintenant que vous connaissez le fond de ma pensée, relions tous ces événements à la révolution actuellement en marche. Je ne pense pas m'étaler sur le sujet, mais je dirai bien cela : la révolution est en fait constituée de ces gens qui, comme j'ai précédemment pu les citer, pensent que Wolfgang D. Luther était favorable à une technocratie et non pas un empire. Toutefois, les révolutionnaires ne voient pas Luther comme leur chef, mais partagent eux-aussi une certaine admiration pour le régime politique qu’est la technocratie. La révolution est en réalité une remise en question du pouvoir en place. Aux premiers abords, c'est quelque chose qui semble très juste, certes. Cependant, le mouvement idéologique qu'elle représente est prôné par des animaux sans matière grise qui se contentent de détruire tous les négationnistes se dressant sur leur chemin, y compris le Gouvernement. Pour citer l'un de ces animaux, je commencerai par... Quelle ironie. Wolfgang D. Heine. Sérieusement. Ai-je encore besoin d'ajouter quelque chose ? Quel génie, quelle intelligence, quelle stratégie et surtout, quel stratège. Wolfgang. Je ne prendrai le soin d'expliquer cette théorie, si ce n'est que pour me fatiguer lamentablement. Luther, même en quittant le Gouvernement, n'aura objectivement pas perdu de vue ses idéaux premières : avoir le monopole total. Il se passera bien de la puissance de feu du Gouvernement. Après tout, c'est un des Quatre Empereurs, il est capable de rallier de nombreux équipages à sa botte et avec un membre de sa famille dans la Révolution, et les esclaves qui leur font office de soldats, autant dire qu'il a de quoi combattre.

Personne d'autre ne t'a cerné Luther, mais moi, je t'ai cerné et je fais de mon devoir personnel de te mettre sur l'échafaud.

TEST-RP LIBRE

OJIWARA ____        100% 0903312a8c26a04595b15d8476304752

1520

Nous sommes jeudi, mon jour de repos. Je profitais habituellement de ce jour-ci pour regarder mon dessin animé préféré à l'écran en profitant du calme qui m'entourait. Pas de copine, de colocation et encore moins d'enfants, mon havre de paix était imperturbable. Toutefois, aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres. Les missions qui me sont d'habitude attribuées étaient moins dures que celle dans laquelle je m'impliquais à l'heure actuelle. Des mois de recherches, de nuits blanches et de déprime auront permis à ce jour d'être si spécial. Au programme, un rendez-vous. Avec qui, aucune idée, néanmoins la personne en question devrait théoriquement m'avancer dans ma quête de savoir par l'objet qu'elle détient. Je me suis battu comme pas possible pour me procurer cet indice, non pas des moindres puisqu'il est actuellement introuvable sur l'ensemble de la planète. Une vraie pépite. Le génie qui s'emparait de moi à chacune de mes investigations n'avait d'égal. Mon réveil sonne, il est quatre heures. Je n'aurais pas eu besoin du dispositif puisque j'étais debout trente minutes à l'avance, prenant ma douche et préparant mon petit-déjeuner. Aussi légèrement que j'avais l'air de prendre cette "affaire", la pression sur mes épaules était monumentale. L'inconnu terrifierait n'importe qui me direz-vous, alors pour fausser l'expression, je me forçais à être d'un calme imperturbable. J'allais peut-être bien trouver la mort aujourd'hui, qui sait. En tout cas, le temps n'était pas à la pensée, tout était programmé et le retard ne serait pardonné par cet individu mystérieux. Rapidement, je pris soin de me vêtir exclusivement de noir en arborant les tissus les plus discrets et communs possibles pour objectif de me mêler à la foule. Je ne sais pas si cette tactique allait réellement marcher, mais mon objectif était de ne pas être facilement repéré ce qui pourrait, dans une éventuelle hypothèse, me mettre dans un grand danger.

OJIWARA ____        100% 3f4c74a72edd9f0b8bbb4e531f614c04697c50a5_hq

Je quitte alors mon domicile, gardant à l'idée que c'était possiblement la dernière fois que je voyais mon porche. En même temps que ma sortie subite à une heure si précoce, j'ai pu croiser mon voisin, un brave homme, avec qui j'ai échangé les politesses du matin. Je ne m'en rendais pas encore compte, mais la peur faisait trembloter mes mains, tellement, que ce même voisin m'en fit la remarque. « Allons, allons O.J.-kun ! Quelque chose ne va pas, puis-je te proposer mon aide ? » sorti de la bouche du quarantenaire.

« C'est rien, ne vous inquiétez pas trop pour moi. Bonne journée à vous. »

En réalité, je priais pour que le vieux s'inquiète. Je demandais à chaque dieu existant à ma connaissance que le vioc me tire par le bras et m'ordonne de rester chez moi. Comme prévu, il n'en fut rien et je continuais ma route vers le point de rendez-vous, les poings serrés par la terreur qu'il faisait naître en moi. Je suis loin d'être quelqu'un de craintif et encore moins de faible, mais il est vrai que cette paranoïa qui me gagnait m'effrayait d'une certaine manière. C'était encore une sensation que je n'avais jamais ressenti auparavant, quelque chose de nouveau et de très désagréable pour quelqu'un d'aussi confiant et fier que moi. En tout cas, rien ne pouvait détourner ce rendez-vous de sa trajectoire originale, la rencontre devait avoir lieu, du moins si je tenais réellement aux convictions qui, chaque jour, me poussaient un peu plus vers la Justice, la vraie. Alors que le flux de mes pensées se saturait par les diverses issues que pourrait prendre cette entrevue, je me hâtais d'atteindre la destination indiquée sur ce bout de papier qui avait, il y a maintenant trois semaines, été déposé sur le meuble de ma cuisine, sans réel contexte. Quelqu'un voulait répondre aux questions que je me posais, mais ça voulait aussi dire que cette même personne se doutait de mes recherches, ce qui me mettrait dans une situation plus que délicate. L'Underworld ne plaisante pas réellement avec ce type de document et on a déjà vu jusqu'à où ils pouvaient aller pour supprimer les essais à leur sujet. Cette organisation était loin d'être l'animatrice de mes réflexions, mais il était une information qui me paraissait plus qu'importante d'éclairer.

Il est quatre heures treize et je suis enfin sur les lieux. C'est ici que tout se joue. La mort, la vie, la liberté, l'ignorance, le savoir. Aucune de ces choses ne m'étaient promises et pourtant, guidé par mon instinct, j'avais indirectement accepté mon sort en me jetant dans la gueule du loup. Me voici vulnérable, dans un coin plus ou moins vide, où les seules personnes qui me faisaient compagnie étaient des passants, se dépêchant sur leur parcours de travail. Le coin était loin d'être l'un de ces lieux de rendez-vous clichés que l'on pouvait retrouver dans les différentes séries policières, au contraire, le coin était plutôt agréable, paisible. L'odeur du bon matin me caressait les joues et la chaleur de l'aube ne tardait bientôt d'arriver. Je me tenais immobile, au centre de la rue indiquée, le couvre-chef que j'arborais cachant mon visage. Le stress et le trac que j'éprouvais étaient quelque peu partis, comme volatilisés lors de mon arrivée sur place.

Après quelques minutes dans le silence complet, si ce n'est dans les bruits de pas des travailleurs et le bruit de fond quotidien qui fait d'une rue ce qu'elle est, je sentis quelque chose, ou plutôt quelqu'un, se coller contre moi. « Pas de geste brusque. Je ne suis pas armé, alors n'ayez pas d'inquiétude. Contentez-vous donc de garder votre dos tourné. »

Je préférais respecter les conditions de mon interlocuteur.

« Si je suis présent ici et, plus important encore, si vous êtes présent ici, c'est que vous savez que je creuse cette affaire depuis un bon moment déjà. Je ne vous demanderai pas comment vous le savez, mais je vous demanderai une chose : avez-vous ce que je veux ? » dis-je en prenant le soin d'être le plus clair possible dans ma demande.

« J'ai... Il se peut que j'eus recours au travers pervers qu'est le mensonge pour vous concerter ici, j'ai bien peur, il me répondit, tenant rapidement mon poignet alors qu'il sut que j'allais me retourner, pour m'en empêcher, Je suis désolé pour vous, mais le Livre Noir est un ouvrage qui ne peut et ne pourra plus jamais être accessible à la masse. Cependant, ayant assisté à son édition, du moins de loin, il y a quelques informations que je me peux de vous communiquer. L'Underworld n'a pas connaissance...

Je l'interromps, « L'Underworld a connaissance de tout. », il reprit en se rassurant tant bien que mal :

« Je vous assure, je vous assure !, sa voix me paraissait particulièrement familière, Je vous assure ! Il est impossible qu'ils soient au courant du peu de savoir que je possède sur ce livre. J'ai vu les rédacteurs, éditeurs et même le chef de la maison d'édition perdre leur vie dans des conditions inexplicables, mais jamais ils ne se seraient douté que le fils d'un des rédacteurs ne raconte des bribes à l'usine ! Cinq ans après, me voilà qui me tiens devant vous, sain et sauf. Qu'est-ce qu'ils étaient censés faire, dites-moi ? Liquider tous les travailleurs ? Ces mafieux de la pègre ne sont pas aussi féroces qu'on ne le pense, croyez-le ! »

Je m'impatientais.

« Si vous n'avez pas ce que je veux, qu'avez-vous ? »

« Je n'ai rien, en tout cas, rien de matériel. Je cherchais à transmettre mon savoir au plus de monde possible suite à cette terrible censure ayant pris forme. Je ne vous ennuierai pas plus longtemps et je vous dirai ce que j'ai retenu après ces cinq longues années, à commencer par un nom : Oswald. »

L'homme, à l'entente de sa voix d'environ la trentaine à la cinquantaine, marquait une pause avant de reprendre son explication.

Je me rendais aussi compte de la situation gênante dans laquelle il nous avait placé tous deux : dos à dos au milieu d'une rue où les gens continuent de passer.

« Cet homme, selon le grand détective Habermas, serait à l'origine de beaucoup de choses dans la Pègre et tirerait les ficelles de divers trafics et d'encore autres choses… »

Le calme avec lequel mon interlocuteur s'exprimait n'allait pas tarder à me faire monter en colère. Ce n'était pas un jeu pour moi, le suspens n'avait pas sa place dans une telle situation. Les pauses comme celles-ci ne m'amusaient pas du moindre.

« Et merde à la fin, enfoiré de mes deux. C'est quoi ces choses ? Tu vas arrêter de me faire attendre, bordel. », serrant mon poing, salive sortant de ma bouche par l'intensité que je donnais à mes mots.

« Hélas, c'est tout ce que je sais. »

Une à deux secondes après cette révélation tonitruante, mon regard froid et dépité se plonge dans celui d'un passant. J'entendais autour de moi déjà, les pas d'autres travailleurs, plus lents que les précédents, mais toujours pris par cette fougue américaine les plongeant dans un monde un peu plus capitaliste.

OJIWARA ____        100% Mikeha10OJIWARA ____        100% Mike_Harper_One_Shot_Infobox

Je n'étais en réalité qu'au début de mes surprises. Quatre personnes passaient la rue et quatre coups de feu retentirent immédiatement. Je sentais le corps sans vie de mon informateur me frôler les omoplates avant de s'écrouler le long de mes chevilles dans un fleuve de sang. Il n'y a pas meilleur signal de départ que l'approche de la mort. Sans tarder, je courus pour me sauver, je courus pour ma vie. Les mafieux étaient, sans surprise, au courant de tout et le doute quant au sort qu'ils avaient réservé à tous les employés de cette fameuse usine me restait en tête. Cependant, il n'est pas heure à la compassion. Je cavalais dans l'artère, prenant chaque carrefour qui se présentait à moi et en évitant, le plus possible, chaque obstacle qui se dressait sur ma route en cette journée déjà riche en émotions. Mon éclaireur ne m'avait vraisemblablement pas assez éclairé, non, il ne m'avait littéralement rien dit. Quelle déception, quelle perte de temps. À présent, me voilà cible d'une organisation à laquelle mon intérêt n'était même pas porté en premier lieu. En se retournant, je m'aperçus que les quatre membres de la pègre me collaient au train, tirant occasionnellement quelques balles lorsqu'ils voyaient ouverte une possible fenêtre de tir durant cette course poursuite. Un, maintenait un escargophone et ce fut de cette manière que je sus que j'étais fais comme un rat. L'Underworld devait à présent se douter que je savais quelque chose, même si en réalité, il n'en était rien. M'ayant déjà menti, je doutais toutefois des dires du subalterne de l'usine, mais le bruit des douilles tombant sur le sol à chaque balle décochée me rappelait de la validité de son si court récit.

Je m'efforçais de courir, ces gens-là étaient nés pour traquer et, ne voulant pas perdre plus de temps que déjà perdu, un combat s'imposait. Ce n'était pas le genre d'adversaires que je disais coriaces, au contraire, mais il est vrai qu'ils pouvaient être qualifiés de pénible. Une seconde après mon arrêt, quatre détonations résonnaient à travers les parois de ciment et de plâtre qui constituaient les immeubles nous assiégeant. Je n'eus même pas le temps de me retourner, mais heureusement pour moi, j'avais comme un sixième sens instinctif vis-à-vis du danger. C'est par ailleurs grâce à ce sens, que les balles tombèrent dans un même élan pour atteindre le sol, tout comme les suivantes d'ailleurs, après que les criminels se rendirent compte de l'inefficacité des précédentes. Toujours, les balles se stoppaient en l'air avant d'être redirigées vers la pierre composante le sol. Enfin de face à eux, je dégainais mon sabre de façon très lente, menaçante, pour leur faire comprendre que pour eux, l'histoire s'arrêtait là. Je ne pense pas que de telles têtes brûlées comprenaient ce qu'était la véritable définition de la défaite, mais dans les instants à venir, ils allaient vite le découvrir. Ce pouvoir - passif - qui m'avait permis de dévier la trajectoire de ces projectiles était l'oeuvre d'un fruit du démon, en l'occurence celui de la gravité. Et croyez-moi, quand je vous dis que je doute de la puissance de ces médiocres subordonnées pour aller vaincre les lois universelles de la gravitation. Ils se contentèrent de vider leur barillet, marquant le début du compte à rebours pour moi. J'attendais la dernière des balles pour pouvoir, à mon tour, riposter à leur attaque.

OJIWARA ____        100% Kisuke-Urahara-image-kisuke-urahara-36460565-500-248

La balle finale est tirée. C'est le début, et à la fois la fin des hostilités. Je cours rapidement, sabre en arrière, en direction de mes proies, prenant une course flexuositée pour rendre mes déplacements imprédictibles tandis qu'ils jettent au sol leur arme avant d'empoigner les manches d'armes tranchantes : hachettes, couteaux en tout genre. Je ne sais trop quoi ce qu'ils avaient pour but, mais c'était déjà vain. Je les contourne alors en zig-zaguant, la lueur de ma lame brillante aux rayons prématurés du soleil, les laissant pour immobiles, non pas par une quelconque habilité, mais par la prouesse technique que rassemble ma vitesse, ma force et ma perspicacité. Je repris ma course une fois le tour joué, rentrant spontanément ma lame, impeccable, dans son fourreau. Durant mon échappée, j'entendais le poids de leur corps s'enfoncer misérablement dans la roche sans qu'ils ne puissent bouger le moindre doigt et faire quoi que ce soit contre cet état désavantageux à souhait. Pour être honnête avec vous, mes lecteurs, je n'ai pas eu recours à ma lame pour gagner ce combat. À vrai dire, depuis que je l'ai gagnée, je ne m'en suis jamais servi. Je me suis juré de l'utiliser seulement face à des bretteurs de gros calibre pour mesurer ma force en tant qu'épéiste et ainsi mener des combats plus passionnants en repoussant mes limites. Ce pourquoi, vous entendrez sûrement les ouï-dires vous conter comment le style de combat à l'épée d'Ojiwara est si puissant, ne laissant même pas à sa lame le temps de franchir la chair.

J'arrivais dans mon pâté de maison, courant à vive allure, stoppé par la voisine de devant.

OJIWARA ____        100% Latest?cb=20140406153809&path-prefix=fr

« Oh mon Dieu, Ojiwara-san ! Quelle peur j'ai eu ! Vous avez entendu la nouvelle ? Notre voisin Itadori Odo, s'est fait descendre près de pas plus de trois blocs d'ici ! Je vous ai vu tous les deux sortir ce matin et j'avais bien cru que... »

C'était vraiment pas le timing pour que cette bimbo vienne me... Bordel, si j'ai bien entendu, le voisin s'est-... Mon cerveau n'était pas sur l'instant, en mesure d'analyser et de traiter chacune des données qu'il venait de recevoir, mais avec le temps et le peu que j'avais réussi à appréhender durant ces trois secondes avant de complètement m'éclipser dans un reflet de vitesse, je me rendrais sûrement à l'évidence plus tard. C'était l'heure pour moi de partir, de me casser d'ici au plus vite. Je risquais ma vie chaque seconde que je passais dans cette ville, dans ce continent, je n'allais définitivement pas vivre caché, mais je me devais d'être nomade et de ne jamais, au grand jamais, me sentir confortable quelque part. Mon statut d'officier de la Marine n'allait sûrement pas m'aider, mais c'était déjà un très bon atout pour atténuer les attaques furtives, si ce n'est qu'à effectif réduit bien évidemment. Et puis merde, pas le temps pour les affaires. Mon plus gros regret est sûrement de ne pas pouvoir emmener mes théories et recherches sur les sujets délicats auxquels je portais un intérêt singulier depuis cinq années à présent. Je pense sincèrement que ma matière grise est capable de l'exploit qu'est retenir le savoir de tant d'années alors je partis avec plus ou moins de remords. Je m'étais toujours préparé quant aux situations comme celle-ci. Je savais qu'un jour, j'en saurais trop et ça dérangerait, mais j'étais loin de me douter que j'allais être traqué pour une information que je ne détenais même pas. Une chose était sûre, c'est que je ne comptais pas mourir pour rien, alors ce savoir que je n'avais pas, il fallait me le procurer quelle que soit la manière.

C'est pourquoi les jours qui suivirent mon départ, je consacrais mon temps dans l'observation précise du nom qui m'avait été donné : Oswald. Planqué dans une base de la Marine, quelque part où je tairai le nom pour raison évidente, j'étudiais le haut de l'iceberg en ce qui concernait la vie du bras-droit du Godfather. Il n'y avait réellement rien à signaler, ce type était clean. Enfin, sur le papier puisque mon intuition m'en disait autrement. Des choses avaient été cachées, et je le savais. Néanmoins, étudiant la question grâce aux informations militaires, j'étais sûr de ne rien trouver : lorsque le Gouvernement éclipse une documentation, cette dernière ne verra plus le jour, c'est pourquoi il est absurde que certains pensent à la dissimulation d'un "siècle oublié"... Si ce siècle oublié avait existé, personne ne serait au courant, ainsi le crime qui serait de desceller la "vérité" à son propos est jugé si sévèrement parce qu'il constitue une atteinte considérable et une attaque directe aux pays qui forment le Gouvernement Mondial, cela va de soi.

Quelques minutes de recherches seulement, après ma stupéfaction à propos de la virginité criminelle de notre homme, me permirent de poser la main sur quelque chose de crucial. Wolfgang D. Oswald, fils ainé de Wolfgang D. Luther et grand frère de Wolfgang D. Heine, primé à 2 000 000 000 de berrys, dit l'Homme de l'Ombre... Bordel de merde, kehehehehehehehe ! Je ne sais pas ce qui me pris, mais un mélange d'euphorie et d'hystérie me gagna alors que je malaxais dans ma main le papier de l'avis de recherche. Tout était connecté, depuis le début, jusqu'à la fin. Une telle prime et un surnom si explicite, il était sûr que c'était notre homme. J'allais sûrement périr de la main d'un Wolfgang, quelle ironie. Moi qui ne pensais pas que la faim d'influence de Wolfgang D. Luther pourrait aller plus loin. Le moustachu aurait donc la main sur la piraterie, la révolution et la Pègre, j'en reviens pas. Kehehehehe ! Le casse du siècle, mesdames et messieurs, le braquage du millénaire ! Et ça, sous les yeux crédules du monde entier, du putain de monde entier. Quel scène créée par les Wolfgang, le monde était encore loin de se douter qu'il était en réalité joué de la sorte. Je ne peux qu'applaudir, je ne peux que m'asseoir, ébahi et impressionné - non, pas m'asseoir ! J'avais complètement oublié. Je me suis forcé de ne pas être passif devant cette manigance, ce stratagème. Je me suis juré de mettre cet imposteur, ainsi que chaque membre de sa vilaine famille derrière les barreaux. Les barreaux de l'enfer.

Alors, Wolfgang D. Luther, Wolfgang D. Heine, Wolfgang D. Oswald, je vous traquerai jusqu'à la nuit des temps, je mettrai au clair du jour votre complot, vous voilà qui vous êtes créé un ennemi redoutable. Un ennemi défiant l'entendement, les lois savantes. Le prochain Amiral de la Marine, l'Amiral Ojiwara.

OJIWARA ____        100% Kisuke10
OJ
TON ÂGE
Jeune sjdjsklsnjd
TON AVATAR ET SON MANGA
Urahara Kisuke de Bleach
CONNU LE FORUM ?
Grâce aux top



Dernière édition par Ojiwara le Dim 11 Avr - 4:09, édité 2 fois
Ojiwara
OJIWARA ____        100% Kisuke-Urahara-image-kisuke-urahara-36580299-100-100
OJIWARA ____        100% 1568304747-pardef
Loca. :
Whiskey Peak
Berrys :
000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
OJIWARA ____        100% Left_bar_bleue0/0OJIWARA ____        100% Empty_bar_bleue  (0/0)
Ojiwara
L'illuminé
posté le Ven 9 Avr - 16:57
Salut, j'ai fini ma présentation. J'espère que mon personnage plaira, bonne lecture.
Williams P. Blake
OJIWARA ____        100% 51423_v
OJIWARA ____        100% O8Kyr
Loca. :
Balgimoa
Prime :
200.000.000 B
Berrys :
580.000.000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
OJIWARA ____        100% Left_bar_bleue0/0OJIWARA ____        100% Empty_bar_bleue  (0/0)
Williams P. Blake
Les mille lames
posté le Dim 11 Avr - 18:12
Il ne me semble pas qu'on se soit croisés depuis ton arrivée donc on va bien commencer déjà : bienvenue à toi ! J'espère que tu te plairas bien chez nous, mais au vu de ta fiche, il semblerait déjà que le contexte du forum t'as tapé dans l'œil, à moins que tu sois un ancien sous couverture 😏 , quoi qu'il en soit : on est partis pour ta validation !

On perds pas de temps, on va aborder la forme : tout est parfait. Pas de fautes, un style à la première personne parfaitement géré bien qu'il soit assez "sophistiqué", tu restes bien loin du pompeux et ça se lit comme du petit lait si tu me pardonnes l'expression. Je n'ai rien à redire de la mise en page non plus, si ce n'est qu'une image ne s'affiche pas mais bon un problème technique ça peut toujours arriver, on connaît. Bref, tout est bon à ce niveau là, je n'ai vraiment pas grand chose à dire si ce n'est à propos de la toute première image de ton test-rp, mais on en reparlera plus tard de ça (le suspens est réel).

Passons au fond donc, le sel même de cette présentation et ce qui m'a fait le plus plaisir je dois bien l'avouer : tu maîtrises clairement le contexte. Ton personnage est parfaitement articulé autour de lui et, chose assez rare, tu es même sorti des sentiers battus en proposant une nouvelle lecture des éléments du background pour en faire quelque chose de neuf et, pour le coup, assez inédit. L'idée du personnage persuadé d'un grand complot mondial qu'il serait le seul à voir, en plus d'être une très bonne idée et d'être pas mal d'actualité, c'est super original et parfaitement géré par dessus le marché. Attention juste par la suite à ne pas mêler les informations que tu connais en dehors du rp grâce au contexte et celles que ton personnage est censé connaître, il n'y a pas vraiment eu de souci à ce niveau là dans ta présentation mais c'est un écueil dans lequel tu pourrais facilement tomber en jouant un personnage de ce type !

Au final, le seul véritable défaut de cette présentation c'est la cohérence. Pour commencer par ce qui saute le plus aux yeux, c'est l'ambiance anachronique qui jonche tout ton test rp qui m'a le plus dérangé. Tous les éléments du contexte sont là, tu parles de Marine, d'Underworld, de piraterie, mais le cadre en lui-même me paraissait bien trop moderne. C'était le cas au niveau de l'ambiance mais surtout des descriptions et autres détails parsemés un peu partout (le dessin animé, la télé, la fougue américaine, la mention de continent pour ne prendre que les exemples les plus parlants). Du coup, de prime abord je serais parti du principe que tu as recyclé cette présentation en provenance d'un autre univers, mais tu maîtrises tellement bien le contexte dans le reste de la présentation que ça me paraît trop tiré par les cheveux comme explication. Je pense donc qu'il y a probablement plus une petite incompréhension du monde de One Piece, rien de gravissime bien sûr, mais autant d'anachronismes méritaient d'être soulignés puisqu'ils mettaient à mal la cohérence globale de ton récit. C'est d'ailleurs pour ça que je faisais référence à ta première image un peu plus tôt, elle fait partie de ce tout un peu incohérent en 1520.

Autre petit détail sur lequel je serais moins sévère, mais pour que ton test rp puisse être considéré comme "canon", il faudra que tu partes du principe que l'informateur que tu y rencontres a tout simplement menti à ton personnage. Les informations qu'il a donné sont les bonnes, Oswald fait partie de l'Underworld et c'est quelque chose qu'un personnage peut apprendre (d'ailleurs dédicace au fait que ton perso soit persuadé qu'il en est le boss, c'est tout bête mais c'est grave cohérent), mais pas la manière dont il a eu accès à ces informations. En effet, le Livre Noir existe en exemplaire unique et bien que connaître son existence et sa liaison à Habermas soit possible, il n'y a pas eu autant de témoins à sa création (donc les fameux éditeurs, imprimeurs etc). Dans le fond ça ne change rien à ton test rp, mais je préférais te le préciser pour éviter des incohérences futures. Ton personnage peut même y croire à cette histoire, ce qui serait intéressant, mais ce ne sera pas la vérité vraie quoi. D'ailleurs de manière générale, en ce qui concerne les informations concernant l'Underworld et le Livre Noir, tu peux toujours te tourner vers les admins, en particulier ceux en charge du contexte, pour savoir quelles informations tu peux avoir ou non.

Je me suis concentré sur le peu de négatif qu'il y avait, mais qu'on se comprenne bien, ta présentation reste très très bonne. C'était original, parfaitement ancré dans le contexte du forum, le test rp en lui-même était intéressant et montrait parfaitement ce que tu nous avais décris du personnage en description mentale ... Bref, c'était un plaisir quoi. D'ailleurs, j'ai aimé que tu profites de la description mentale pour entrer plus en détails dans les théories de ton personnage et son interprétation du monde, ce qui t'as permis de lancer le test rp sans perdre plus de temps en exposition. Ce n'était pas forcément l'endroit pour, mais c'était clairement pour le mieux et de toutes façons, les présentations sont faites pour se faire approprier au maximum et ça tu as parfaitement su le faire. Ah et aussi, oser le parallèle de Roger en tant qu'agent du CP c'était incroyable, fallait que je le dise.

On va rapidement passer aux propositions de personnages avec lesquels tu pourrais débuter rp puisqu'ils feateraient bien avec le tiens, si toutefois ça te chauffe, sans aucune obligation donc. En premier lieu, Anna B. Wallace, journaliste de choc avec qui ton personnage pourrait avoir de très bons rapports, PsychAli l'enquêtrice de folie, Adelheid H. Winston ancienne criminelle devenue CP avec un petit passé lié à la pègre ou encore Nhiote Magena, un Contre-Amiral qui traîne un peu dans les bails de l'Underworld mais avec un tout autre objectif que ton personnage pour le coup.


Toutes mes félicitations à toi puisque tu es bien évidemment validé ! Tu repars avec 9 550 Dōrikis, le Zushi Zushi no Mi, le grade de Contre-Amiral de la Marine et je suis à deux doigts de t'ajouter une Fiat Panda tellement j'suis chaud ! Tu écopes aussi, comme tu t'en doutais certainement, d'une conte-prime d'un montant de 220 million de berries sur la tête de ton personnage mise en place par l'Underworld pour tenter de te faire taire au plus vite. Il ne te reste donc plus qu'à remplir ta Vivre Card qui sera générée sous peu avant de pouvoir mettre tous les Wolfgang derrière les barreaux. J'espère que tu t'enjailleras bien chez nous avec ton personnage !  
Contenu sponsorisé
posté le
OJIWARA ____ 100%
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: