— « L'homme est né pour l'ordre et quand il l'oublie, l'ordre se venge » Baron D. Franklin
Combien de temps avais-tu finalement pris, pour ce que tu qualifiais de petite sieste ? Tu n'en avais aucune idée, à vrai dire, tu ne voulais même pas le savoir. Recouvert d'une imposante couche de vêtements, capable de faire fondre quiconque posait le regard sur celle-ci, l'homme se déplaçait dans les rues de Shabondy à la recherche d'un lieu bien particulier. La salle de vente aux enchères. Quand on sait tendre l'oreille, écouter les rumeurs on savait que de très bonnes prises avaient été récoltés, des esclaves aux propriétés physiques surprenantes. De quoi attirer très facilement les collectionneurs ou autres hommes tordus.
En faisais tu partis ? Peut-être, sûrement. Tu ne pourrais te définir comme quelqu'un de normal après tout. Mais tu n'était sûrement pas là pour voir ce défilé de personnes privées de leur liberté, ta mission était bien plus grande, tu devais rejoindre les quelques révolutionnaires qui avaient prévu d'intervenir dans cette vente, de mettre cet endroit à feu et à sang. Ces hommes prêts à conquérir la liberté par le sang, la violence et la peur. Ces hommes que tu avais rejoint, pour toi aussi un jour, obtenir cette délivrance, cette liberté dont tu as tant rêvé.
Te relevant simplement, tes yeux observaient l'astre lunaire, continuant son ascension dans le ciel, éclairant de sa lumière bleutée les plus courageux, dont les yeux n'étaient pas encore clos à cette heure.
Rejoignant le sol en sautant de ta position initiale, tu te hâta de te rendre jusqu'à la salle prévue, lieu de tous les vices. Payant ton entrée, ta place avec l'argent que tu possédais, tu prenais position dans cette vente aux enchères, en tant que simple spectateur. Les principaux acteurs de cette scène n'étaient pas encore arrivés, alors pour l'instant tu te contentais d'aiguiser tes sens, prêt à passer à l'action.
Résumé : petit post d'introduction alors désolé pour la qualité, mon personnage se contente de rentrer dans salle de vente aux enchères et d'observer. Son intuition [1 PM] est activée.
Dernière édition par Frost le Mer 14 Juil - 14:11, édité 2 fois
« Je t'ai fait naître, mais tu sembles mettre tous tes efforts à être sans Dieu, ni maître. » — Wolfgang D. Luther, Récit d'un infanticide, Hiver 1497.
— Quand est-ce que le ruisseau d’argent cessera d’inonder ces innocentes buttes ? Il se parlait à lui-même, dans un grognement poétique qui peinait à sortir de sa bouche, alors qu’il se tenait la tête à l’envers, les bras croisés, suspendu à la barre du grand cacatois par la poigne de ses griffes postérieures. Ses cheveux virevoltaient au gré du vent, comme autant de brindilles sur un champ, alors qu’une moue préoccupée ornait à présent son visage encore juvénile. Je n'arrête pas de rêver de la même horreur, celle où je sens les vibrations de cette lave chromée englober à tout jamais nos émanations. Le vert de la terre doit porter le souffle de la vie hors du noir de l’air, mais nous sommes embourbés dans la nappe, pauvres mouches de soie, et le seul moyen qui nous est proposé pour nous en extirper, est de nous plus bouger. Comme un lézard se déleste de sa queue… Ce sacrifice que je… suis prêt... Ses paroles se diluèrent dans le bruit des vagues, le volume diminua graduellement, alors que sa concentration se proposait ailleurs. Quelque chose venait de le distraire. Ses naseaux le démangeaient. Grrr… Il se secoua d’un spasme félin et se lâcha pour retomber, après une petit cabriole vrillée, sur ses deux pieds et se rapprocher de la proue. Le nez porté au ciel, les narines bien dilatées, il ferma les yeux et inspira par à-coups frénétiques, comme pour sniffer quelque chose.
Un terrible poids pesait sur ses épaules. Être le fils de la plus grande terreur de ce monde n’était rien à côté de ce qu’il se devait de sauver : le salut de la vie nue sur terre, de tout ce qui n’était pas considéré comme conscient et qui, pourtant sensible, persistait à survivre contre la civilisation industrielle. Il n’avait jamais eu de contact direct ni avec son grand-frère, ni avec son géniteur et bourreau, et s’il leur vouait une haine de principe, c’était davantage par rancœur envers ce qu’ils avaient fait du monde, que pour ce qu’ils avaient fait de lui. D’un côté, presque inconsciemment, il leur était même reconnaissant de l’avoir éloigné de la lignée Wolfgang dès son plus jeune âge, car ils lui avaient, finalement, offert la liberté totale dont il avait besoin pour s'épanouir. Exilé de force sur Ruskaina, laissé pour mort aux bêtes, lâché depuis le ciel, Heine était devenu ce qu’il était destiné à devenir : un antagoniste imprévisible.
Et dire que Luther l’avait prédit n’était pas une hérésie. Bien au contraire. C’était dans l’une de ses visions prémonitoires, apparue dès le premier contact avec son nourrisson, en le soulevant pour l'examiner, qu’il s'était étrangement senti tenir l’être qui allait finir par détruire son projet. D’où était venue cette intuition lointaine ? Comment avait-il eu accès à cette projection du futur et à quel point était-elle vraie ? Une chose était sûre, en tout cas, c’était que Heine n’avait jamais été autre chose que lui-même, dès son premier cri de vie, et qu’il n’avait jamais cesser d’évoluer depuis sa naissance, de suivre inéluctablement la voie que son instinct lui traçait. Assez étrangement, c’était dans les chemins que l’Empereur machinateur avait empruntés pour éviter la contrevenue d’un élément perturbateur, qu’il allait finir par croiser son propre fils, l'Anarchiste, prêt à tout pour empêcher ce monde d'advenir.
En se relevant difficilement et en tentant d’exister dans une jungle féroce, il avait appris à aimer cette nature cruelle, mais magnifique. Finalement, c’était elle sa famille, elle l’avait accueilli, éduqué, nourri et entrainé, elle avait fait de lui un prophète de la vie sauvage. La mission, presque maternelle, qui lui avait été confiée par la faune et la flore, était de les sauver de la perdition que l’activité de la civilisation entrainait. Car l’être humain en tant que tel n’était pas le véritable problème, il faisait lui aussi partie de la faune, d'un tout biologiquement indissociable. En réalité, il s'agissait d'un système matériel et psychique instauré depuis les premiers rois, qui empêchait quiconque de sortir de cette machine infernale. Il devait y avoir un être capable de la briser, de la détruire une bonne fois pour toute et Heine, comme un dieu de la nature, s’était dressée depuis les profondeurs de la brousse pour l’incarner. La subsistance de la biosphère en dépendait. C’était finalement une question de piété filiale. S'il savait réfléchir à l'état du monde, en déposant le pied sur une terre, il se contentait de fonctionner par pur primitivité instinctive et d'attaquer ce qui, selon ce qu'il sentait, y empoisonnait le vivant.
En se mouvant d’île en île, comme un juste cataclysme, il défaisait les situations politiques d’une offensive frontale, presque ouverte, sur les institutions gouvernantes, les bases marines ou les bâtiments de gestion, et délogeait les soldats, morts ou évanouis, pour assainir les lieux. Sans chercher à s’installer, ces terres étant d’ores et déjà infestées « d’argile et de plomb », il s’évadait avant la venue de renforts ou d’autres révolutionnaires, alertés par l’opportunité d’un renversement. Petit à petit, il devenait un leader, qui, sans s’en soucier, portait derrière lui une mouvance réflexive et un répertoire d’action qui influençaient de nombreuses personnes.
Et pourtant, il était présentement seul. Cette mer qu’il fréquentait depuis maintenant quelques années, aimait s’amuser de ce petit félin, et pour une fois qu’il s’essayait à voguer sur un voilier que des alliés de circonstance lui avaient prêté avec joie, lui qui était pourtant un habitué du classique tandem radeau-rame, elle l’avait conduit dans un endroit des plus improbables. Shabondy, l’archipel des mangroves, était un lieu que le Terroriste n’avait jamais arpenté de sa vie. Heine ne le savait pas encore, mais de nombreux facteurs allaient sans doute contribuer à le révolter. Par sa disposition commerciale et économique, par la présence d'une terrible prison, par son affluence ahurissante, par son influence marine et mafieuse, mais également par la manière dont ces plantes magnifiques étaient sillonnées, creusées et exploitées, cet amoncellement d'île demeurait par essence un lieu nuisible aux yeux de cet anarco-primitiviste.
Et comme si l'inimité de son côté n'était pas suffisante pour envenimer la situation, sa présence, qui commençait à se reconnaître de plus en plus sur les mers du monde entier, était forcément indésirable. Son arrivée allait créer du grabuge, d’une manière ou d’une autre. Des hordes de soldats ou des bandes de loubards, motivées à l’idée d’une telle prise, pullulaient sur chaque îlot, et une confrontation détonante pouvait poindre à tout moment. C'était comme si une logique gravitationnelle régissait sa voie, le guidait vers la félicité et la gloire, c'était comme si tous ces gens opprimés appelaient, par leurs échos quantiques, un sauveur et que la nature leur envoyait Wolfgang D. Heine.
Presque instinctivement, les sens de cet homme-chat s'éveillaient à la vue du rivage. Au loin, pourtant, rien de bien alarmant, si ce n'était trois-quatre bateaux amarrées sur lesquels quelques pirates semblaient visiblement s'encanailler. Cependant, alors qu'il se concentrait sur ce qu'il humait, à l'aide de son odorat surdéveloppé, il rouvrit ses paupières.
— Je le sens. C’est un… Il montra les crocs, instinctivement. Un temple du poison. Sa cambrure s'hérissa. Son regard devint celui d'une âme en feu, un tourbillon déflagratoire se mit à aspirer ses pupilles et son iris.
En moins de temps qu'il n'en avait fallu pour le dire, Wolfgang D. Heine était devenu un révolutionnaire patenté aux yeux du Gouvernement mondial, une véritable menace, et aujourd'hui encore, il était sur le point de le démontrer. Le fracas de son entrée en scène allait sûrement retentir, au moins, dans l'îlot, finir par se répandre sur les périphéries comme une lame de fond et qui sait, peut-être réveiller certaines étincelles insurrectionnelles. Car sans le savoir, ce qu'il s'apprêtait à commettre, perpétuait finalement une tradition révolutionnaire. En un sens, pour avoir subi la Revanche de Kropotkine, Shabondy était devenue une terre sainte de la contestation. Cela induisait également qu'elle était dorénavant autrement mieux protégée. Les autorités s'étaient déjà fait ridiculiser une fois, pas deux. Et pourtant, ce début de soirée s'annonçait historique.
Toutefois, ces préoccupations l'importaient peu. À vrai dire, seule la précision effective du moment présent le concernait et son ressenti brut ne pouvait pas être plus à l'écoute. Une rage solennelle était en train d'envahir chacune des parcelles de son cuir félin, alors que des poils de plus en plus longs, blonds, commençaient à envelopper délicatement son corps athlétique. Ses muscles zygomatiques se mirent à gigoter, comme pétris par des bulles d'air explosives, ses dents devinrent des crocs acérés et ses canines s'étirèrent lentement dans un long grincement osseux. La barre de bois sur laquelle il se tenait, vibra, secouée par l'exhalaison de son animalité. Sans mugir, il tremblota, parut se contracter jusqu'à imploser, puis se calma tout-à-coup. La sérénité du prédateur venait de le gagner, et son hybridation partielle en tigre à dent de sabre lui octroyait une vision et une ouïe parfaites. Les couleurs étaient devenues plus pétillantes, et les sons plus cristallins. Il était maintenant temps.
Comment l'île allait réagir à cette intrusion terroriste ? Comment est-ce que ce heurt allait se propager ? La substance même de ces questionnements résidait dans un fait accompli : Heine était déjà dans les airs, projeté d'une ruée saisissante.
Résumé:
— Heine arrive, voit l'île, se transforme en mode partiel/hybride : dents de sabre, griffes, légèrement plus poilu, ouïe et vue améliorées, puis s'élance jusqu'à la rive.
Style de combat :Basic Instinct Battle : Art martial fantasque et acrobatique, mêlé à des techniques de sabre liées à son fruit.
Dernière édition par Wolfgang D. Heine le Mer 14 Juil - 17:57, édité 1 fois
Prime :
130.000.000 B
Berrys :
000
Eca F. Lipus l'épéiste à la cloche
posté le Mer 14 Juil - 3:07
Dreams, Fairytales, Fantasies
Heine & Frost
L’essort de puissances défiant l’Ordre établi n’a fait que compliquer la situation de certaines personnes, notamment les minks. Lipus connait les Hommes, bien trop même. Malgré son passif de risée de la marine, il ne rejette pas la nature profonde des bipèdes. On pourrait lui demander pourquoi ? L’on n’y trouve que de la perfidie, de la jalousie et une pléthore d’autres mauvais sentiments nwars. Alors pourquoi ? Tout simplement car, à l’image de la bonne vieille cause, l’Eca attaque les pensées et non les penseurs. Bien que les premières viennent des seconds, c’est bien ces derniers qui sont guidés par elles. Et qu’elle plus grande déchéance que de se retrouver dépendant de sa propre création ? Mais derrière tout cela, Lipus se questionne : ces pensées descendent-elles vraiment des Hommes ? voire des vivants ? le divin - si tant est qu’il existe - ne s’en serait-il pas mêlé ? Des questions auxquelles seul un groupe très restreint d’aventuriers trouvera la réponse. Petit rictus qui s’échappe, qui dévoile une de ses canines : N’avions-nous pas dit d’exclure tout ce qui tient de la prophétie ?
Archipel des Shabondy, futur théâtre de péripéties légendaires
Certains bruits de couloir chez les révolutionnaires ont parlé d’attentats. Encore et toujours. Les lieux sont toujours tenus secrets jusqu’au dernier moment, puis dévoilés sous forme de code créés spécialement pour l’occasion. En d’autres termes : faibles sont les chances de déjouer les desseins révolutionnaires. Mais le minks ne fera pas la même erreur que les Hommes, jamais il ne sous-estimera ses vis-à-vis. Non pas car ils sont supérieurs ou inférieurs, tout simplement car n’importe qui est potentiellement capable d’un coup de génie.
Cependant, rien ne déroge aux plans initiaux. Faisant partie d’un équipage de marchands à la morale quelque peu discutable, L’éca a pris le temps de mettre au point son camouflage. Un peu de pommade ici et là pour “lisser” ses poils - quelle hérésie - et de la peinture pour lui donner une couleur de peau humaine, un équipement digne du chat potté et un petit masque de carnaval. Voici tout ce qui a suffit à Ecaflipus pour se fondre dans la masse, se faisant passer pour un enfant parmi des vendeurs de denrées. Ainsi, il ne craindra pas la répression.
Le groupe qu’il accompagne est cependant payé pour une missive dont ils ignorent les aboutissants. N’étant que des pions servant une philosophie servant le bien commun, ils ne s’en retrouvent que bien plus heureux que les plus impliqués, tels des simples d’esprit. Le plan ? Répandre quelques rumeurs de manière subtile. Au nombre de trois, les voici :
- une île sera victime de buster call d’ici très peu, c’est imminent; - la marine a recruté un petit enfant doué pour gérer les “situations de crise”; - il serait possible de “s’acheter” un titre de noblesse donnant accès à Marie Joie.
Eca F. Lipus donne des informations complémentaires
Arpentant l’Archipel des Sabaody, Lipus garde son escargophone à portée de main, prêt à suivre l’avancée des rumeurs et comment elles se répandent. Le Gouvernement Mondial est trop puissant, sur tous les plans. Ainsi, il ne reste qu’une arme à ce bataillon des ombres que forment les révolutionnaires : la malice. De sa petite taille, Ecaflipus allait créer de la curiosité chez les marionnettes. Puis, à l’aide d’une peur générée par des événements probables, il se servirait de ce sentiment puissant pour en porter un autre sur les épaules : l’espoir. L’espoir d’un peuple qui finira par ne plus vraiment croire en la marine.
Informations Build:
Vivre Card : (1) Minks - (2) Haki de l'Intuition - (3) Art Martial à l'épée (samurai ou quelque chose qui y ressemble quoi) - (4) Haki de la Vision - (5) & (6) Haki du Armement Interne
Résumé du Post:
Ecaflipus se déguise en enfant et infiltre un équipage de marchands. Il les paie grassement en échange du fait qu'ils répandent des rumeurs au cas où un ou plusieurs attentats montreraient le bout de leur nez.
« Viens avec moi, et si le monde entier continue de te faire chier, alors on encule le monde ! » — Njord
Ska D. Arthas, bête noire de son île, de son monde.
— Pourquoi est-ce que tout me revient en tête maintenant … ? Dit-il dans un long souffle, laissant échapper malgré lui une épaisse fumée gelée.
Tapis dans l'ombre, dans le coin le plus reculé de la salle, le plus proche de la sortie -pour pouvoir s'enfuir en cas de nécessité-, Frost se demande combien de temps allait devoir durer cette mascarade. Combien de temps allait-il devoir suivre et observer les révolutionnaires, car en l'occurrence, il n'avait jamais eu d'autres personnes que celles au plus bas de la chaîne alimentaire. Rien de quoi satisfaire son ego, son appétit insatiable de réussite. La hargne et la volonté de vivre, de réussir étaient deux qualités obligatoires pour un homme ayant vécu sous les crocs brûlant par le froid, de l'île la plus effrayante de Paradise. Jörmungard.
Recueilli et nourri par celui que l'on nommait aujourd'hui le Hérault du givre, alors que même les siens, son propre sang l'avaient reniés. L'enfant des glaces, l'enfant du givre devait énormément à cet homme. Accusé de tuer sa terre natale, amenant le froid, synonyme de désolation partout où il allait, le jeune homme ne tarda pas de se voir attribuer tous les surnoms. Tentant de suivre le même chemin que lui, l'enfant ne tarda pas à quitter lui aussi son île, se servant de sa malédiction pour se créer une voie glacière.
L'enfant du givre quittant son pays natal
— C'est du passé tout ça. Dit-il dans un petit tremblement. Reste concentré sur ton devoir.
Ces souvenirs ressurgissant lui avaient presque fait oublier la raison de sa présence ici, la vente d'esclaves.
— Bonjour à tous ! Nous nous retrouvons aujourd'hui pour une nouvelle édition de la vente aux esclaves ! Dit-il alors que de nombreux individus, plus riche les uns que les autres ne pouvaient s'empêcher d'applaudir, d'approuver, fendant leurs horribles visages en des sourires sadiques. Les prises ont été très bonnes ! Nous avons de beaux spécimens à vous présenter ! Vous connaissez les règles : Le plus offrant est vainqueur ! Alors commençons sans plus atteeeeeeendre ! Nouvelle ovation du public, alors que le rideau se levait, dévoilant les premières offres de ce défilé.
L'homme poisson bâtard et les anges amazones sont présentés
— Voilà les premières offres ! Un homme… Non, une chimère ! Mi-homme, mi homme-poisson. Il porte en lui le sang impur de cette race infâme ! Sa valeur de base est de 20 milliards de Berrys. Dit-il, avant de se tourner vers les deux jeunes femmes, aux yeux clos, sûrement pour oublier cette situation si humiliante, si dégradante. Ces deux femmes, aussi pure que la blancheur de leurs ailes. Ces beautés vous sont offertes toutes les deux, avec une valeur de base de 15 milliards !
Ne prêtant pas attention à la marchandise, Frost se contentait de tendre l'oreille, écoutant ce qui se disait. Les endroits comme celui-ci étaient de véritables nids à rumeurs, il ne fallait peut-être pas croire tout ce qui se disait, mais dans chaque mensonge il y avait une part de vérité.
Les rumeurs parviennent jusqu'à la salle aux enchères
— Toi aussi t'as entendu dire qu'un buster call se prépare sous peu ? Apparemment il débutera demain... Dit-il un premier homme. — Il serait mené par un enfant... Constata le second. — Il serait un prodige, mais il aurait acquis son grade et un titre de noblesse en échange d'un tribut... Termina le troisième.
Malheureusement les rumeurs étaient beaucoup trop imprévisibles et on ne pouvait leur faire confiance, celle-ci était bien trop grosse à avaler et personne de sensé, surtout lorsqu'il était employé du gouvernement mondial, pouvait y croire ouvertement. Toujours aux aguets, Frost remarque que cet attentat tant attendu ne s'était toujours pas présenté. Peut-être que ces informations n'avaient été qu'un leurre. Il n'en avait aucune idée.
Toutes ces coïncidences, ces informations commençaient à réellement l'agacer. Quittant les lieux, il rejoignit le toit le plus proche du bâtiment où se déroulait la vente aux enchères, prêt à réagir dans l'éventualité ou son instinct l'aurait dupé.
Informations Build:
Vivre Card : Dorikis de Ska D. Arthas : 25 000
3 PM — Hie Hie No Mi : -> 1 PM Modification corporelle -> 1 PM génération de glace -> 1PM manipulation de la matière ou de l’énergie (1PM).
PM art martiaux : -> 1PM Rokushiki
PM Haki : -> 1 PM Interne -> 1 PM Intuition
Résumé du Post:
Les rumeurs sont amplifiés, modifiés, et Frost sort de la salle de vente mais reste à proximité.
Contenu sponsorisé
posté le
DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] 6w0p](https://zupimages.net/up/21/28/6w0p.png)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] Kaym](https://zupimages.net/up/21/28/kaym.jpg)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] Left_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/left_bar_bleue.jpg){kind=small}
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] Empty_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/empty_bar_bleue.jpg){kind=small}
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] Q8fq](https://zupimages.net/up/21/28/q8fq.png)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] Zi8y](https://zupimages.net/up/21/28/zi8y.png)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] Iiwy](https://zupimages.net/up/21/28/iiwy.png)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] 1uts](https://www.zupimages.net/up/21/28/1uts.png)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] Z3cr](https://zupimages.net/up/21/28/z3cr.png)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] 1568296290-img100100](https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2019/37/4/1568296290-img100100.png)
![DREAMS, FAIRYTALES, FANTASIES [Heine/Lipus] 1568304747-pardef](https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2019/37/4/1568304747-pardef.png)
