One Piece Anarchy
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Duncan Flynn [TERMINER]
Duncan Flynn
Duncan Flynn [TERMINER] Wir_sk16
Duncan Flynn [TERMINER] 1568304747-pardef
Loca. :
Organic City
Berrys :
1.052.000.000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
Duncan Flynn [TERMINER] Left_bar_bleue6/100Duncan Flynn [TERMINER] Empty_bar_bleue  (6/100)
Duncan Flynn
Agent du CP1
posté le Mer 15 Juil - 6:14

Duncan Flynn
L’ARCHER — 25 ANS — ♂ — GOUVERNEMENT — RANG
métier : Militaire
groupe : Gouvernement Mondial
rêve :  Rétablir le calme dans cette période chaotique
rang : Agent CP1
grade (facultatif) : Chef de la division ''Chasseur'' de Paradise du CP1
prime (facultative) : Aucune sauf ce que veut m’accorder le staff
espèce : Humain
lieu de naissance : Tequila Wolf
première île : écrire ici
armes : Arc et flèches, Humming Melody (Arme FDD)
fruit du démon : Tori Tori no mi – Modèle Colibri (Arme FDD)

DESCRIPTION (Physique/Mentale)

Physique:

Duncan ne semble pas très imposant au premier regard. Mesurant environ un mètre et demi et étant relativement peu large d’épaules, ce n’est pas sa carrure qui impose le respect. Cependant, après plusieurs années d’entrainement et de dur labeur, Duncan ne possède pas le physique d’un officier restant assis devant son escargophone mangeant son poids de chips chaque jour. En bonne santé et physiquement actif, il fait honneur aux normes les plus strictes de la Marine. Possédant quelques cicatrices ici et là, aucune ne semble être réellement apparente ni ne semble se démarquer outre mesure.

Par contre, la chose qui se démarque le plus chez Duncan est cet air qu’il dégage. On retrouve sur son visage des traits endurcis, ayant connu l’adversité et des environnements rigoureux. Ses yeux, d’un marron si clair qu’il peut être confondu avec le rouge, sont presque toujours dissimulés par une paire de lunettes. Cheveux courts et favoris bien taillés blancs, ceux-ci contrastent avec sa peau beaucoup plus foncée. Si on devait le juger en quelques secondes, les mots ''sévère'', ''impassible'' et ''martial'' sont souvent énumérés. Autant dire que tous expriment une certaine forme de surprise lorsque Duncan sourit ou semble être heureux, plusieurs croyant que cet homme ne ressent simplement aucune émotion puisqu’il en affiche rarement.

En ce qui concerne ses habits, Duncan voyage presque toujours avec un habit de couleur bleue. Ceci dit, celui-ci est presque toujours recouvert d’un manteau de couleur bleu marin foncé. Ce dernier, fait normalement pour contrer le climat hivernal, est porté en quasi permanence. Ce dernier est également presque toujours boutonné, n’étant détaché que dans des endroits de fortes chaleurs (tels que les déserts, les volcans et les boutiques à la tombée du premier flocon de neige). Il porte toujours avec lui un arc de chasse ainsi qu’un carquois contenant de nombreuses flèches. On observe également la présence d’un petit colibri vert émeraude, répondant au nom de Saigh, qui reste presque en permanence autour de l’agent du CP1.

Mental:

Duncan… Réfléchit beaucoup. Peut-être un peu trop. Parfois, s’il est dans une situation particulièrement complexe, il peut y avoir un certain décalage entre les questions qu’on lui pose et les réponses qu’il offre. Lorsqu’il était jeune, il arrivait régulièrement qu’il fige pendant plusieurs minutes avant de commencer à parler. Aujourd’hui, à moins d’un cataclysme ou si on lui demande un plan plausible pour que la paix dans le monde soit atteinte, ces petites ''pauses de réflexions'' ne durent pas plus de trente secondes. Certains affirment avoir déjà observé de la fumée sortir des oreilles de Duncan lors de ses réflexions, perpétuant les rumeurs que Duncan est un robot. Cependant, une fois le temps des réflexions écoulé, il faut être attentif! Comme si son corps cherchait à compenser son manque d’activité, Duncan va parler extrêmement vite pour répondre à toute question. Le meilleur moyen de comprendre ce qu’il a dit, sans lui demander de répéter, est de simplement enregistrer son message et écouter l’enregistrement au quart de sa vitesse.

Ce phénomène existe également chez lui lors d’un combat, mais demeure extrêmement mitigé par son entrainement. En effet, si son esprit décide parfois de réfléchir à la situation, son corps continue le combat par réflexe. S’il est frappé lors de ce laps de temps, sa réaction verbale est également décalée. La raison de ce décalage est simplement une question de traitement d’information. Enregistrant une énorme quantité de renseignements, Duncan prend donc beaucoup de temps à analyser ce qu’il voit, entend et connait. Il n’est pas étonnant qu’il soit également perfectionniste et très organisé.

En ce qui concerne ses relations avec les autres qui l’entourent, il agit de façon logique et rationnelle. Sans dire qu’il accorde sa pleine confiance à la première rencontre, Duncan préfère observer avant de porter son jugement. Ceci mène parfois à des situations de profond malaise, pouvant facilement énumérer les moindres tics et tocs de ceux qui l’entourent. Ceci dit, il s’agit surtout d’énumérer les faits plutôt que de porter un jugement envers les individus. Ce qui lui accorde, encore une fois, une réputation d’automate. Lorsqu’il s’agit de juger, Duncan cherche plutôt à comprendre ce qui pousse certains individus à agir et, si possible, deviner ce qu’ils vont faire par la suite. Plus il possède d’information, plus ses analyses seront justes et précises. C’est un talent qu’il utilise pleinement pour traquer et capturer de dangereux criminels qui échappent parfois à la Marine.

En termes de Justice, sa définition est très terre à terre. Pour l’agent du CP1, la justice est l’application de normes utilisées pour protéger la population et éviter les abus. Chacun est libre d’agir selon ses désirs tant et aussi longtemps qu’ils ne briment pas la liberté d’action ou la vie d’autres individus. Puisque le Gouvernement mondial est l’autorité du monde, ce sont eux qui fixent les bases morales et les droits de chacun. Il est donc nécessaire d’agir pour empêcher les abus, ce qui peut mener à la condamnation des individus qui bafouent la justice. Cette réponse, presque tirée d’un dictionnaire, confirme les doutes de plusieurs (à tort) que Duncan est bel et bien une machine.

Cependant, il existe plusieurs détails qui démontrent de l’humanité de Duncan. Il lui arrive souvent d’effectuer le travail de ses subordonnées lorsque ceux-ci sont débordés ou lorsqu’ils rencontrent un problème imprévu. Il préfère mener par l’exemple et ne demandera jamais de faire ce qu’il ne peut pas faire. Également, ce qui n’est pas physiquement ou mentalement possible pour tout un chacun. À force d’observation, il connait les forces et faiblesses des personnes qui travaillent avec lui. Ce qui lui permet de choisir les personnes les plus aptes à régler un problème. S’il agit de manière stricte lors de son travail, Duncan agit de façon plutôt décontractée lors de ses pauses. Il n’est pas désagréable de prendre un verre avec lui après une longue journée. Il va même être compréhensif si la personne entre le lendemain avec un énorme mal de tête. Sa capacité surhumaine à filtrer l’alcool remet cependant des doutes sur sa nature humaine.


Mais Duncan possède quelque chose qui démontre qu’il est très humain. S’il travaille sept jours sur sept et prend rarement des pauses, il se permet toujours de répondre aux messages de sa famille. Que ce soit par lettre, par escargophone ou avec une visite impromptue à ses bureaux, Duncan a toujours du temps pour eux. Père de deux enfants, ils sont sa fierté et sa joie. Duncan possède également un lien très puissant avec Saigh. Plus qu’un simple objet, il s’agit ici d’un compagnon qui lui reste fidèle et dévoué. Lors de son travail, il n’est pas rare de le voir prendre quelques secondes de pause afin de désennuyer son compagnon à plume. Les mauvaises langues affirment également que l’agent du CP1 a une certaine passion pour assembler des modèles miniatures. Sa collection de bibelot et de modèles réduits est fortement déniée par Duncan.

HISTOIRE


L’histoire qui est la mienne ne commence évidemment pas avec ma naissance. Peut-être que ça peut surprendre, mais il est important de savoir qui est ma famille pour comprendre qui je suis réellement. Certaines personnes peuvent penser qu’ils sont devenus qui ils sont aujourd’hui uniquement par leurs efforts et par leurs choix. Pourtant, peu réfléchissent aux décisions faites par leurs parents ni à l’influence que ses derniers possèdent. C’est une erreur que je vais sagement éviter. Je suis l’un des héritiers de la famille Flynn, une famille vivant originellement sur une île du Nouveau Monde. Mon père, Finnegan, était ce que l’on peut gentiment décrire comme un chasseur de prime ayant connu très peu de succès. L’une de ses histoires préférées était de raconter comment il avait su fuir lors d’une "rencontre" avec Xoth. Ceci dit, en vue de la réputation du Yonkō, je doute de la véracité de ses dires. Vivant échec après échec, alors que son frère était recouvert de succès, mon père a décidé de quitter son île natale de trouver une nouvelle voie dans sa vie. Personnellement, je n’ai jamais considéré mon père comme un raté. Face aux adversaires les plus forts de ce monde, il avait quand même réussi à survivre en conservant tous ses membres. Je pense qu’il était trop prudent par contre, ce qui expliquait pourquoi ses cibles réussissaient à éviter la capture.

Mon père a donc fait le choix de partir de cette île pour s’établir sur l’une des îles de East Blue. Je ne lui ai jamais demandé s’il savait où il se dirigeait ou s’il avait simplement trouvé cette île par hasard… Mais c’est à Tequila qu’il avait décidé de planter ses racines afin de fonder une famille. S’il n’était pas capable d’être un chasseur de prime de renommé, il pouvait cependant offrir ses services pour gérer la population de l’île. Enfin, du pont surtout. Pour tous les talents que ses paires lui reprochaient de ne pas posséder, il possédait en revanche un charisme surprenant. Après avoir démontré ses services, il a réussi à former un lien relativement puissant avec celui des chefs militaires. C’est également sur cette île qu’il rencontra notre mère, femme au caractère fort qui travaillait sous les ordres du vice-amiral de l’île. Mais ce n’est qu’après quelques années que cette famille fut concrétisée avec la naissance de jumeaux qu’ils décidèrent de nommer Duncan et Oscar. Nous étions peut-être jumeaux, mais nous avons toujours été très différents. Si mon frère avait obtenu certains traits physiques typiques de la famille Flynn, de mon côté j’avais hérité des traits de ma mère. Si mon frère se considère comme l’ainé, moi je me considérais comme celui qui réfléchit! Nous ne voyons souvent pas les choses du même œil et nous nous querellions souvent. Il y avait parfois même des bagarres, mais c’est pour indiquer que nous n’avons jamais vraiment vu du même œil. Ce qui, au final, n’était pas un mal. Nos motivations étaient différentes, mais nos rêves étaient similaires. Malgré nos différences, je pense pouvoir dire que nous étions relativement proches.

Notre père avait toujours envisagé de nous éduquer comme de bons Chasseurs de Primes, tel que le dictait la coutume de notre famille. Avec son travail dans le Gouvernement, notre mère était aussi d’avis de nos éduquer avec une certaine fermeté. Notre entrainement a débuté lorsque nous étions très jeunes, mais ce n’était pas des années malheureuses. Par contre, les premières semaines d’entrainement furent l’enfer. Ce n’était pas du tout un camp de jour ! Et malgré mon jeune âge, on ne s’attendait qu’à une chose : que je n’arrête l’entrainement qu’une fois que je tombe inconscient ! Il s’agissait d’un environnement strict, mais ce n’était pas une prison. Lorsque l’on s’améliorait, nos parents étaient les premiers à nous féliciter. Pour pallier à un certain manque de motivation, notre mère nous promettait quelques cadeaux et récompenses. C’était plus ou moins comment fonctionne réellement le système de chasseur de prime, quand on y pense. Je me souviens également des histoires que notre père nous racontait, nous inculquant ses connaissances et son savoir par la même occasion. Ce n’est pas pour nous vanter, mais nous étions plutôt doués. Physiquement, Oscar avait eu la chance d’hériter d’une carrure et d’une musculature hors-norme. Mais comme il y mettait beaucoup d’effort dans son entrainement, j’y mettais aussi beaucoup du mien pour éviter de le perdre de vu. Mes parents ont rapidement compris que j’avais une vision hors norme et que l’archerie me venait naturellement. C’était la voie qui m’était tracée, alors je la suivais sans me poser trop de questions.

En ce qui concerne l’île, je ne peux pas dire que j’ai aimé être sur celle-ci. À l’exception de quelques fous comme notre famille, tout était relativement laissé à la discrétion des militaires. Nous n’étions d’ailleurs pas les seuls enfants sur l’île, mais c’était relativement compliqué de former des liens avec eux. Et puis, je serais franc : je déteste le froid de cette île. C’est un climat inhospitalier et c’était le calme plat. J’aimerais dire que j’ai plus de souvenirs, mais ce n’est pas vraiment le cas. Et puis, il faut dire qu’entre les entrainements, je n’avais pas beaucoup de temps libre. Mais au final, il y avait toujours du temps pour ouvrir un bon livre, profiter d’une bonne bagarre entre frères et écouter les histoires de mes parents. Bref, pour un jeune, ce n’était pas une si mauvaise chose.

Puis, vers l’âge de sept ans, tout fut changé. Je me souviendrais toujours de l’année 1505 comme étant elle de la rébellion. Mon père me disait que de nombreux prisonniers étaient transférés d’un peu partout. Ce mouvement était causé par la publication d’un livre écrit par un certain Kropotkine. Le plus important était de savoir que ses livres avaient inspiré les masses à se soulever contre l’oppression. Il a d’ailleurs été châtié publiquement pour la publication de ses livres. Ensuite, on peut penser que j’ai un parti pris. Ma famille était largement du côté du Gouvernement mondial et nous étions les gardiens de dissidents politiques et d’esclaves. J’étais encore trop jeune, à l’époque, pour voir les différentes nuances. Mais pour moi la Révolution a toujours été… vide. Le monde n’est pas parfait, mais sans le gouvernement pour y mettre des règles, tout ne serait que chaos. Si la révolution avait des arguments plutôt que simplement le déni des lois mises en place, je trouverais peut-être une certaine compréhension de leurs idées. Mais à ce jour, je n’en ai toujours pas trouvé une.

Mais bon, revenons à nos moutons. Alors que les nouveaux prisonniers arrivaient sur l’île, ils ont également apporté les nouvelles visions révolutionnaires avec eux. Quelques semaines plus tard, un soulèvement a eu lieu. Comme plusieurs autres, notre mère avait été capturée et sommairement exécutée afin de calmer le mouvement. Notre famille était dévastée et, alors que j’étais encore trop jeune pour contrôler mes émotions, j’avais déjà versé beaucoup trop de larmes. Aveuglé par ma tristesse, je n’avais compris que bien plus tard que la situation s’était empirée. Tristesse et alcool font rarement bon ménage après tout. Je pouvais comprendre la douleur qui rongeait mon père, mais je restais impuissant face à son choix. Il avait arrêté de nous entraîner, comme si notre futur lui importait peu, et nos contacts devinrent de plus en plus distants. Dans la résidence familiale, je ne ressentais que malaise et tension. C’est dès ce moment que j’ai commencé à quitter de plus en plus la maison, cherchant un moyen de retrouver ce bonheur passé. Je pouvais parfois disparaître dès les petites heures du matin pour ne revenir que la nuit. Ce n’est pas comme si notre père s’apercevait de mon départ. La seule raison pour laquelle je revenais, c’était pour aider mon frère du mieux que je pouvais.

J’étais souvent épargné des colères de notre père. Je me suis souvent demandé pourquoi, mais je pense que la réponse était finalement très simple : mon apparence était très similaire à celle de notre défunte mère. J’étais peut-être son fils, mais on pouvait plus facilement m’associer à sa génitrice par mon apparence. C’était peut-être les yeux ou la couleur de ma peau. Honnêtement, je ne lui ai jamais demandé. J’évitais ainsi les coups, réservés à mon frère, mais je subissais un sort qui était aussi peu enviable. Je me sentais renié, exclu. Si Oscar subissait son courroux, moi j’étais simplement effacé de sa mémoire. Il ne pouvait pas se résoudre à porter des coups contre moi, mais il tentait de mille et une façons de me balancer à la rue. Parfois il s’agissait que de simples menaces pour me faire peur, d’autres fois il s’agît d’action très réelle. Je me souviens particulièrement de la fois où il avait réussi, avec un ami dans le QG de la Marine sur l’île, à m’enfermer dans une cellule pendant au moins une semaine. L’endroit était humide et il n’y avait presque aucune source de lumière. Les autres prisonniers, la majorité des pirates, ne cessaient pas de crier en tout temps. Avec à peine un repas par jour, un peu d’eau et de pain sec, j’avais bien l’impression que j’allais en mourir. Après un mois d’un tel traitement, peut-être que ce serait le cas. Et il y avait ce froid… Heureusement, ce ne fut que sept jours. Lorsqu’il revint me chercher, c’était en disant que c’était pour mon bien… Que c’était pour m’entrainer ! Les choses s’étaient envenimées et cette semaine avait été franchement horrible pour Oscar. Je pense qu’il n’a jamais vraiment été le même après cette semaine. D’ailleurs, je pense que je pouvais dire la même chose à mon sujet.

La seule chose qu’il nous restait à faire, c’était de devenir plus fort. S’entrainer sans relâche pour pouvoir quitter cet endroit pour de bon. Au final, les seules personnes en qui on pouvait faire confiance, c’était en nous. Je n’accusais pas Oscar de mes problèmes, tout comme il ne me blâmait pas pour les siens… Mais nous étions tous les deux conscients que, malgré notre entraide, nous devions tous les deux devenir nos propres maîtres. On ne pouvait pas toujours compter sur l’autre, alors nos efforts étaient consacrés à nous fortifier. Je ne savais pas vraiment à qui faire confiance à cette époque. Tout me semblait si faux, alors que notre père s’était retourné contre nous… Mais je savais qu’il y avait au moins une personne qui ne cherchait pas ma perte : un frère en qui j’avais un minimum de confiance. Et à cette époque, c’était plus que je ne pouvais l’espérer. Lorsque les temps étaient durs, on n’hésitait pas à trouver un moyen de trouver un moyen d’obtenir de quoi manger. Avec le temps, mes talents de chasseurs se sont affinés. Et puis, chasser quelques lapins n’était vraiment pas aussi excitant qu’on peut le penser…

Dans le reste du monde, la situation ne semblait pas s’améliorer. La révolution semblait s’envenimer et la situation sur l’île se détériorait. Les mauvaises nouvelles semblaient toujours d’actualité. Ce furent de très longues années d’ailleurs. Mais plus le temps passait, plus nos capacités s’amélioraient. Alors que nous avions environ treize ans, nous avons commencé à chasser les primes ensemble. Nos premiers contrats étaient des primes bien maigres, à peine assez pour nous nourrir pour une journée. Retrouver quelques individus qui ont fui, trouver les coupables d’un vol d’arme, ce genre de chose. Oscar et moi n’allions pas faire la fine bouche, mais rapidement l’argent que nous gagnions n’était plus suffisant. C’est à ce moment que nous avons décidé de faire des chasses chacun de notre côté, partageant néanmoins nos ressources. Rapidement, notre réputation grandissait et nous avons même commencé à obtenir des contrats qui nécessitaient de quitter l’île. Ah, ce sentiment de liberté ! Un contrat particulièrement juteux pouvait temporairement nous rassembler, mais généralement c’était bien plus rentable de chasser deux primés plutôt qu’un seul ! Si l’un de nous devait se reposer, causé par une blessure ou par surmenage, l’autre redoublait d’efforts pendant la période de rétablissement. Et encore, même une période de repos n’était pas relaxante. Mais pour la première fois depuis des années, j’avais l’impression de voir une échappatoire. C’était notre ticket pour une vie meilleure ! Terminé les jours de privation ! Terminé la crainte de ne plus avoir un toit sur nos têtes ! Terminé de vivre nos vies comme des ermites !

C’est vers l’âge de seize ans que l’on avait assez d’argent pour partir à notre compte. Après un énième conflit, c’était simplement la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Si ce n’était pas du fait que nous étions deux à lui faire têtes, qui sait s’il n’aurait pas tenté d’arrêter celui qui tentait de trouver sa liberté ? Avant de partir, je pense que nous nous sommes tous les deux vidé le cœur. Plusieurs insultes, et plusieurs constats furent dits. Peut-être que nos paroles avaient fini par l’atteindre, alors qu’il se retrouvait véritablement seul. Dans tous les cas, ce n’était pas l’un de nous qui allait vérifier son état. Le premier fardeau avait été levé de nos épaules, ce qui nous fit réellement sourire pour la première fois depuis bien des années. La qualité de nos vies respectives s’améliorait grandement. Nos noms devenaient même connus par certaines personnes, ce qui était agréable. Nous avions franchi une étape cruciale : plutôt que de simplement survivre, nous pouvions envisager de vivre !

Et il faut dire que les années qui suivirent furent très mouvementées. La vie de chasseur de pirate, ou simplement celui de chasseur de prime, demeuraient agréablement bien payer. Et dans un monde où les pirates sont encore enivrés par l’idée du One Piece et dans lequel les soulèvements populaires s’accentuent, il était difficile de rester sans travail. Par contre, nous évitions sagement Tequila Wolf. Si nous étions prêts à faire le moindre travail, cette île était notre zone interdite. Et puis, les Blues Seas sont excellents pour nous servir d’entrainement avant d’arriver à Paradise. Mais au final, nous nous sommes bien débrouillés. Bien que nous étions souvent séparés, nous avons décidé de nous acheter une petite maison à Mirrorball. C’était le meilleur endroit pour nous rejoindre entre deux boulots. Et au final, tout semblait enfin s’améliorer. On pouvait même dire que l’on prospérait ! De mon côté, j’avais tout fait pour que notre nom résonne sur notre île. On pouvait dire que j’étais responsable de la promotion de nos services. Visitant de nombreux établissements chaque jour, je proposais nos talents à ceux qui voulaient l’entendre. J’étais plutôt du genre à rester du côté officiel de notre métier alors qu’Oscar acceptait des contrats qui l’étaient un peu moins.

Dans tous les cas, j’attirais les contrats de notre côté, alors je considérais que mes efforts portaient leurs fruits. Mes liens avec certains officiers de la Marine se renforçaient, ce qui nous apportait aussi accède à des contrats en primeurs. Nous étions parfois au courant de la mise à prix de tête avant que les affiches Wanted ne soient affichées. Dans notre métier, c’était un avantage majeur ! Et qui obtient les informations peut les revendre… Ce que j’ai fait de temps à autre, lorsqu’un contrat n’était pas assez appétissant ou trop risquer. Parfois, j’acceptais même de faire taire une information pour le bon prix… Tel était le pouvoir du réseau que j’avais créé : peu importe ce qui se produisait, j’étais l’une des premières personnes à bénéficier ! Bien que mes talents de chasseur de prime n’aient pas été remis en question, je prenais rapidement la place d’une sorte de gestionnaire. Au final, je devenais la personne ressource de l’île pour les chasseurs de primes. Si les Marines avaient besoin de trouver un homme pour répondre à une requête, je pouvais facilement trouver un volontaire dans l’heure qui suivait. Pour le bon prix, j’offrais même mes talents pour diriger les Chasseurs de Primes sur la bonne piste. Plus j’avais d’information, plus mes hypothèses s’avéraient justes. Ça ne voulait pas dire que je restais inactif, mais je démontrais des capacités bien plus intéressantes que des simples muscles. Dans tous les cas, puisque j’apportais de l’argent sur la table, je ne me sentais pas inférieur à mon frère. Et puis bon… J’avais aussi une autre raison de rester un peu plus longtemps et d’écourter mes voyages. Une raison au nom d’Élisa. Je ne m’attarderais pas trop sur les détails… Mais disons simplement que c’était le coup de foudre. Elle travaillait pour la Doskoi Panda, cette compagnie qui produit presque tout. Par conséquent, leurs navires sont souvent attaqués par des pirates ou de vulgaires brigands. Je l’ai rencontré pendant une mission d’escorte et bon… Au final on a décidé de continuer à se visiter hors les heures du travail. Deux ans plus tard, autant dire que nous étions presque mariés.

L’année 1517 fut une année bien remplie. L’année avait commencé d’une belle façon alors que ma fille naissait en excellente santé. Je ne sais pas si Oscar était un peu jaloux de cette situation, ayant déjà commencé à fonder une famille. Mais au final, je n’en étais que plus heureux. Cependant, les nouvelles du reste du monde semblaient toujours aussi mauvaises. Cette fois-ci, il y avait eu un nouvel évènement concernant Kropotkine et la guerre de Shabondy. Je ne sais pas si je le démontre, mais je possède une certaine haine envers cet homme. Ce ne sont peut-être pas les bonnes raisons, mais son nom à lui seul réussissait à faire bouillir mon sang. Je me jurais de le retrouver si je quittais les Blues Seas un jour. Même s’il ne connaissait pas mon existence, je lui attribuais la ruine qui était tombée sur ma famille. D’ailleurs… Nous avions 19 ans lorsqu’on nous apprit la nouvelle. La seule, et dernière, fois que l’on avait des nouvelles de notre père. Après notre départ, il semblait s’être ressaisi en quelque sorte. Il avait quitté l’île et avait recommencé à travailler comme chasseur de prime. Bien sûr, il n’avait pas osé se présenter en personne. Il nous avait envoyé une lettre qui contenait deux choses. Le premier était un message disant qu’il quittait l’île pour un long moment et qu’il nous léguait son bien le plus précieux : une carte menant à un fruit du démon. Ni moi ni Oscar ne savions pourquoi il n’avait pas pris ce fruit ni comment il n’avait obtenu cette carte, mais il n’y avait pas la moindre hésitation entre nous.

Après la réception de la lettre, nous avons tous deux tout mis en ordre pour notre départ. Nous ne savions pas lequel d’entre nous obtiendrait ce fruit. Après tout, malgré la malédiction, une telle puissance pourrait se révéler cruciale. Assez pour accomplir tous nos rêves… Je regrettais d'être obligé de partir aussi abruptement, mais c’était quelque chose que je devais faire. Élisa disait comprendre, mais je savais que mon choix la troublait. J’ai eu quelques remords à mon départ, mais je ne pouvais pas laisser cette occasion nous filer entre les doigts. Oscar convoitait le fruit autant que moi, mais nous étions d’accord sur deux choses. La première était que cette tâche était difficile : ensemble, nous avions plus de chance de réussir et ainsi de nous emparer de cet "héritage". La seconde était que le fruit serait consommé uniquement lorsqu’on aurait déterminé lequel d’entre nous le méritait le plus. Pour nous départager, nous avions tous les deux eu la même idée. Puisqu’il s’agissait d’une affaire de famille, le meilleur Chasseur de Prime mériterait l’honneur de consommer le fruit. Alors, quoi de mieux pour nous départager que de comptabiliser le total des primes obtenues ?

Nous avons engagé un navigateur qui se rendait de l’autre côté des Blues Seas. Notre voyage nous mena sur une île presque déserte. À l’exception de la végétation, je ne voyais aucun humain à l’horizon. L’île s’est rapidement révélée dangereuse, dévoilant la présence de créature gigantesque. L’endroit n’était pas très hospitalier : si une personne arrivait ici par hasard, la première réaction serait de quitter les lieux. Mais avec la carte, nous avons décidé de suivre la piste que notre père nous avait offerte. Je ne sais pas si nous pensions vraiment qu’il était sincère ou s’il s’agissait simplement d’un dernier doigt d’honneur à ses fils. Pourtant, malgré tout, nous avions décidé de croire en lui. C’est à cet endroit, sur l’île de Little Garden, que nous avons cherché un trésor. C’était ironique. Nous, chasseurs de pirates, agissions comme eux en ce moment! Enfin, sauf en ce qui concerne le pillage et la destruction du gouvernement. Même si les créatures géantes tentaient de nous attaquer, nous n’étions pas des amateurs. Coopérer avec son frère n’est pas quelque chose de très difficile, particulier lorsque l’on savait ce que l’autre s’apprêtait à faire. Nous avions un lien particulier qui avait été accentué avec plusieurs années de coopération. Honnêtement, le plus difficile était vraiment de trouver l’endroit exact où se trouvait le trésor. Et après quelques semaines, en ayant pourtant toutes les indications en main, nous l’avions enfin. Un seul coffre enterré près d’une pierre gravée de quelques symboles que je ne reconnaissais pas. Vérifiant que le fruit était dans le coffre, nous sommes retournés dans notre navire et nous attendions le long retour…

Avec mon escargophone, j’ai envoyé un message à Élisa pour qu’elle puisse me rendre un service. J’avais pris en note l’ensemble des transactions que nous avions faites dans l’office de nos services. Je lui demandais de faire le décompte de l’accumulation que moi et Oscar avions faite. Puis, vint l’attente… Nous savions tous les deux que, si l’occasion se présentait, l’un de nous sauterait sur le fruit. C’était plus fort que nous, la tension était palpable ! Nous avions tous les deux mérité ce fruit et nous désirions tous les deux l’obtenir ! Je pense que, pendant plusieurs jours, nous ne nous quittions pas des yeux. Nous continuons de parler et nous partagions nos rêves avec ce que l’on peut faire avec ce fruit aux capacités inconnus… Mais j’avais mon arc en main et lui avait ses épées. Si notre confiance avait été mise à rude épreuve pendant ce trajet, elle n’avait cependant pas flanché. Lorsque l’escargophone sonna, je le plaçais pour que nous puissions tous les deux l’entendre. Oscar et moi étions tous les deux convaincus d’avoir obtenu le plus grand nombre de primes. Avant aujourd’hui, nous avions toujours choisi les plus grosses primes selon nos besoins. Mon frère avait peut-être chassé plus que moi, mais il s’agissait de contrat non officiel pour la majorité. Dans mon cas, j’avais créé un réseau plutôt que de toujours chasser. Puis, la réponse tomba. La différence n’était pas énorme, mais elle nommait clairement le vainqueur. Une partie de moi était en colère. Qui ne le serait pas après avoir raté la chance d’obtenir un tel fruit ? Mais ce n’était pas envers mon frère. Nous avions tout fait pour survivre jusqu’à ce jour, mais il avait su tirer son épingle du jeu selon nos traditions. J’ouvrais donc le coffre, dévoilant le prix à mon frère. Si ce n’était pas moi qui devenais le possesseur de ce fruit, je savais au moins que mon frère méritait ce don aussi bien que moi…

Une fois de retour sur Mirrorball, j’ai pris une décision. Une décision qui était similaire à celle faite par mon père. Je décidais de quitter le métier de chasseur de prime. Ce n’était pas vraiment causé par la perte du fruit, mais principalement pour passer plus de temps avec ma famille. Mais je savais également qu’il serait stupide de gâcher le réseau que j’avais si finement construit. Je voulais voir mon enfant grandir et éviter de gâcher cette vie. Oscar, maintenant muni d’un fruit du démon, devenait rapidement "insupportable". Il n’arrêtait pas de se vanter de sa chance et du dernier contrat qu’il avait fait avant de recevoir la lettre! Le Salaud! Plus sérieusement, avec moi qui désirais une famille et lui qui était prêt à avancer dans la vie, nous savions que c’était le moment de faire nos adieux. Enfin, pour le moment, bien entendu! Et au final, il revenait nous voir au moins une fois par année. Il n’y avait aucune rancune entre nous. Par conséquent, je décidais de maintenir mon réseau et j’offrais mes services au Gouvernement mondial. Il ne s’agissait pas d’un travail aussi physique que celui que j’effectuais, mais je demeurais actif malgré tout. Même si je commençais en bas de l’échelle, mes talents furent rapidement observés par de nombreuses personnes.

J’ai beaucoup fait pendant les cinq dernières années. J’ai rapidement gravi les échelons et les promotions arrivaient de façon régulière. En ayant accès à un réseau d’information de plus en plus vaste, mes analyses étaient de plus en plus poussées. Sans me vanter, mes déductions étaient si impressionnantes que mon nom est arrivé dans les hautes sphères du gouvernement. Mes talents de déducteurs m’ont valu un poste au sein du CP1 comme analyste en ce qui concerne la traque d’individus recherchés au sein des Blues Seas, mais principalement East Blue.   J’ai quitté Mirrorball pour m’installer à Loguetown pour occuper mes nouvelles fonctions. Il arrivait même que je reprenne du service et que je m’occupe personnellement d’une chasse. Mais outre ses détails, je vivais une belle vie. Avec une charmante épouse, deux enfants et un "oncle oscar" qui venait dire bonjour de temps à autre, j’étais heureux.

Mais le temps se gâte une fois de plus. Les tensions dans Paradise et le Nouveau Monde augmentent encore et toujours. Le Gouvernement mondial n’hésite pas à promouvoir et récompenser les recrues qui possèdent du potentiel afin d’envoyer leurs meilleurs éléments dans les endroits les plus risqués. Tout portait à croire que j’étais l’une de ses recrues. Vers la fin de l’année 1521, j’obtenais à la fois une nouvelle affectation ainsi qu’un cadeau. Un cadeau signé Baron D. Théodore. Il s’agissait d’une flèche entièrement composée de métal, mais qui était à la fine pointe de la technologie. Aussi légère qu’une flèche normale, mais beaucoup plus résistante et beaucoup plus mortelle. Mais ce n’était pas tous les secrets que cette flèche possédait. Son plus grand secret, la raison même pour laquelle cette flèche a été créée, c’était l’inclusion d’un fruit du démon en son sein. À l’époque, je n’avais entendu que des rumeurs à propos d’objets possédant les capacités d’un fruit du démon. Lorsque j’ai vu la flèche prendre vie devant moi, la surprise était totale. Elle volait d’elle-même ! C’était un peu triste que j’aie été la première cible qu’elle ait tenté d’abattre. Le domptage de Saigh, je préférais lui donner un nom de compagnon plutôt que l’appellation de l’arme, fut plutôt difficile et long. Mais je réussis à former un lien avec l’oiseau-flèche. On ne pourrait pas croire aujourd’hui que cette flèche refusait éperdument de m’obéir pendant plusieurs mois !

Aujourd’hui, ma carrière au sein du gouvernement mondial continue toujours de grimper. Étant présentement le chef de ma division au sein de Paradise, mon rôle est l’obtention d’information concernant les passages des moindres pirates pour les intercepter avec force et rapidité. Les Révolutionnaires doivent être arrêtés avant que leurs soulèvements ne créer plus de désastres. Il y avait tant à faire et si peu de temps… Tant de choses à réfléchir et à prévoir… Assez pour me donner un mal de tête parfois. Mais je suis prêt à tout mettre en œuvre pour créer un monde meilleur. Et j’étais prêt à me diriger au front si nécessaire.
PSEUDO SUR LE NET Becker
TON ÂGE
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TON AVATAR ET SON MANGA
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CONNU LE FORUM ?
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Dernière édition par Duncan Flynn le Mer 15 Juil - 22:06, édité 1 fois
Duncan Flynn
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Duncan Flynn
Agent du CP1
posté le Mer 15 Juil - 6:48
Donc petit message ici pour les liens avec l'arme FDD de Duncan, le premier étant pour la validation du FDD Zoan (Ici) et le second concernant l'arme elle-même (Et ici).

Du coup, bonne lecture pour la modération! S'il y a des questions, ne pas hésiter à me les poser!
Kirie O. Raijū
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Kirie O. Raijū
Divine Wrath
posté le Mer 15 Juil - 22:13
Bondour bondour, je viens te jouer un mauvais dour.

Commençons directement avec les points un peu plus faibles de la fiche, comme ça, tu pourras me détester d'entrée. Alors, déjà, ce qui frappe dès qu'on arrive sur la fiche : La mise en page. On ne demande pas grand-chose à ce niveau là, mais il faut dire que pour une fiche moyenne/courte, elle paraissait bien plus imposante qu'elle ne l'est réellement. Malheureusement, c'est aussi le style narratif de ton personnage qui veut ça je pense, étant donné que ce n'était pas propice aux dialogues ou à une découpe par chapitres, mais c'est tout de même un peu dommage. Je souligne tout de même que tu n'as pas fais la partie "physique" en utilisant le code type "listing" et c'est apprécié.

On voit quelques fautes, surtout d'inattention je pense, mais vraiment rien de bien méchant. Quelques tournures un peu maladroites, mais dans l'ensemble ça restait malgré tout plaisant et engageant à lire. Ça montre soit une relecture, soit une bonne maîtrise de l'écriture. Très certainement les deux.

A part ça, tu remplis énormément de critères avec brio. Tu as un vocabulaire correct, ton personnage a un impact sur l'univers avec un réseau que tu as monté, tu as été très impacté par le climat chaotique de l'intrigue. Sans pouvoir parler de "jamais vu", ton personnage reste tout de même bien compréhensible, attachant et s'intègre très bien dans un contexte de One Piece (Bon, je regrette un peu qu'il ne soit pas marine, mais au vu de ton histoire, je comprends ta décision vis-à-vis de ça). La relation avec ton frère est très intéressante, j'ai pendant un bon moment cru qu'il allait mourir horriblement ou te trahir et périr de tes mains, mais tu as évité ce bon gros cliché scénaristique et je t'en suis reconnaissant. Les relations fraternelles, quand elles sont bien utilisées, me touchent toujours.

C'était intéressant de voir de faux  jumeaux, très opposés sur plusieurs niveaux, dont le physique, qui généralement ne diffère pas vraiment, contrairement au mental qui est très souvent opposé. J'ai bien aimé la différence de traitement du père, même si son revirement était très rapide et extrême, mais je suis ravi que ça ait rapproché les deux frangins plutôt que de les éloigner. Je ne m'attendais pas à autant de méfiance et de tension entre les deux au sujet d'un fruit du démon, mais tout est bien qui finit bien.

Les différentes actions qu'ils ont entreprises font du sens et on n'a aucun mal à s'identifier aux deux personnages, qui restent noués malgré l'évidente dichotomie qui existe entre eux. Il n'y avait certes pas énormément de PNJs et j'aurais aimé en apprendre un peu plus sur ta famille et l'apprentissage de ton colibri, mais une fiche ne peut de toute façon pas tout couvrir et tu as su viser ce qui était vraiment central pour Duncan.

Bref, sans plus attendre, je te valide donc à 8.500 Dorikis, soit un total de 10.500 avec le bonus de réouverture. En raison de ton réseau important qui met une sérieuse épine dans le pied des forbans en tout genre, ainsi que de ta place au sein du CP1, tu écopes de 200.000.000 de contre-prime .Ta Vivre Card va être générée, tu pourras donc poster à la suite (sous balise hide) les éléments à remplir pour que je les ajoute.
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