métier : groupe : Gouvernement rêve : Dirigé un CP rang : Débutant ? grade (facultatif) : écrire ici prime (facultative) : écrire ici espèce : Humain lieu de naissance : East Blue première île : ? armes : Sabre et revolver fruit du démon : Udo Udo no Mi ou Fruit du Bois
DESCRIPTION (Physique/Mentale)
Mental
Bien le bonjour, je m’appelle Hisano Xerx. Oui, si vous essayez de prononcer mon nom, vous aurez l'impression de vomir, mais ce n'est qu’une impression. De prime abord, je n'inspire ni la confiance, ni le respect. Même pour ce qui est de la gentillesse, on passera outre. Mais que nenni de tout ceci. Une crème voyez vous ? Une voix légèrement grave, mais nul en musique, vous parlera poliment et avec toute la courtoisie qui sera de mise.
Une gentillesse à toute épreuve. Je me plierai en quatre pour satisfaire vos désirs. Dans la limite du raisonnable et du bon sens. Cette gentillesse n'est en aucun cas de la fausseté, mais bel et bien une chose véritable qui vous touchera en plein cœur.
Une douceur et une patience à vous couper le souffle. Que la personne face à moi veuille me tuer, m'insulte où je ne sais guère, je ne sortirais pas de mes gonds. La patience et la douceur sont une vertu lorsqu’elles sont bien utilisées. Et non dans mon cas, la moutarde ne me monte pas au nez bien au contraire. Plus la personne s’enflammera, plus je resterai patient, poli et courtois. Non sans trop de mal, car il paraîtrait que cette douceur est acquise depuis mon plus jeune âge.
La bonté fait aussi partie de mon panel de qualités. Si je peux donner toute l'aide possible et inimaginable à une personne en détresse, je n’hésite pas un seul instant, et brandis mon glaive salvateur pour le pouvoir de la bonté.
J'ai quelques défauts bien entendu. Je suis un peu manipulateur. Ce trait de caractère se ressent à peine, mis à part pour les plus expérimenter et seuls ceux-ci sauront que tous ces traits de caractères que j'ai dépeint ne sont que façade et poudre aux yeux. Même si jouer un rôle est assez important pour moi, j'essaye de jouer cet individu à la perfection.
En réalité, je suis une personne manipulatrice, colérique, imbus de lui-même, sans aucun empathie et toutou du gouvernement. Ils ordonnent, j’exécute. Bref la vraie petite raclure dégénérée à son apogée. Malgré tout, la manipulation reste un moyen primordial de pouvoir subtiliser des informations, s'en servir contre l'autre avec finesse et de pouvoir montrer l’étendue du jeu d'acteur qui m'amuse tant.
Si vous me chercher vous risquez de mourir au détour d'un croisement de chemin, bien entendu dans la plus grande discrétion et la plus grande simplicité. La torture est aussi quelque chose de fascinant. Atteindre le point de rupture est le paroxysme, une jouissance certaine pour le bourreau lorsque des informations ultras confidentielles sont soudainement lâchées en paquet directement entre les dents.
Orgueilleux aussi, imbus de moi-même. Bref vous l'aurez compris, on ne peut tirer quasiment rien de moi, mis à part une certaine façade qui vous promettra la lune, pendant que le purgatoire se met en place sous vos pieds discrètement et insidieusement.
Physique
Passons au physique voulez vous ? Je suis quelqu’un d’assez fin, voir même discret. Mes 1m70 pour 60 kilos me placent dans la catégorie poids léger. Mais je le vis bien, j'ai fais de cette grandeur une force puisque la vitesse est un de mes atouts. Mes muscles longs me permettent des déplacements assez rapide, et ma condition physique font de ma personne quelqu'un d’endurant.
Malgré cet état de fait, la cigarette, que j’ai toujours à la main ou au bec, diminue mes capacités respiratoires. Un briquet à la main et une clope dans l'autre sont mes signes distinctifs, m’a marque de fabriquer en quelques sortes. Ha non, veuillez m'excuser. Si vous approfondissez votre analyse, vous remarquez une sorte de masque fait de lanières sur le bas de mon visage couvrant ainsi une distance qui s’étend de mon cou jusqu’à mon nez. Une petite ouverture est faite pour que mes paroles puissent être audibles et pour pouvoir respirer et aussi fumer.
Mes cheveux sont colorés en rouge profond, presque bordeaux. Une coupe atypique avec cheveux coupés très courts sur les côtés et sur le dessus des cheveux un peu plus longs, mis en arrière afin de pouvoir pratiquement les plaqués. Des yeux fins, bleus essayeront de transpercer votre âme, pour essayer de vous lire comme dans un livre. Sur le coin externe des yeux vous pourrez apercevoir un trait en forme d’éclair de chaque côté. Pourquoi ? Parce que je trouve ça joli.
Mes doigts sont fins et agiles. Je chausse du 41 ce qui est pas trop mal pour ma taille et mon poids. En civil, je porte des vêtements tout ce qu’il y a de plus classique. Pour ce qui est des cicatrices, j'en ai une justement sous le masque. Un truc assez moche qui pars du menton qui passe par la lèvre inférieure et déviera sa trajectoire jusqu'au milieu de la joue. Ne voulant pas me faire questionner, c'est pour cette raison que je porte mes lanières.
D'ailleurs, en parlant de cela, vous pourrez apercevoir une bouche dessinée avec du fils et une aiguille grise clair, qui tranche avec le noir. Les motifs sont comme des dents aiguisées, prêtent à mordre sa proie tel un chien enragé.
Je possède également un tatouage sur le torse, que je n'exhibe jamais. Celui-ci représente comme des motifs géométriques assez symétrique qui parte de la base des épaules, qui remontent jusqu’à la base du cou et s’arrête vers le sternum.
Voilà un peu le personnage que je suis.
HISTOIRE
Printemps 1504
Premier jour de mon arrivée sur terre. Un beau bébé de 48cm pour 3.1kg. pas de doute le premier regard que j'ai croisé fut celui de ma mère. Un regard chaud et tendre, rempli d'amour et de passion. Premier cri, premiers pleurs. Panique de mon père qui courait dans tous les sens. Ma mère ne me lâchait pas du regard. Je me voyais dans ses yeux et je savais que cette relation durerait longtemps. On ferait un sacré bout de chemin ensemble. Ma génitrice était rousse, peau blanche avec des yeux légèrement en amende. Une voix calme et paisible. Sa peau était chaude et ses doigts fins , dont j'ai hérité, étaient doux et me berçait tranquillement.
Mon géniteur quant à lui était plus bourru, taillé dans le roc. Barbe noire, cicatrice à une joue et des doigts qui ressemblaient à des parpaings. Ses yeux montraient qu’il en avait vu de toutes les couleurs. Il mesurait dans le 1m90 et devait faire dans les 130kg de muscles essentiellement. Ses allées et venues incessantes entre couches, biberons et autres montraient sa profonde incompétence. Enfin surtout son amateurisme. Ma mère quant à elle avait réussi à satisfaire ma demande.
Quelques jours après nous rentrions dans notre demeure. Nous vivions dans une petite ville où la majorité des habitants vivaient des cultures. Mon père était Révolutionnaire. Et ma mère femme au foyer. Nous vivions heureux, mais comme on dit le bonheur ne dur qu'un temps. Les premières années furent couronnées de succès dans mon éducation, apprentissage, et toutes les autres choses qu'on nous enseigne étant petit. Ce n'est que par la suite que le monde commencerait à dégringoler.
Année 1507
Kropotkine. Ce nom qui faisait frémir tant de personnes du gouvernement, de la révolution, etc. tout le monde connaissait cet individu et son passage en live ne promettait rien de bon. Mon père pleurait à chaudes larmes. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait du haut de mes 3 ans. J'allais le voir pour lui faire un câlin et celui-ci me repoussa. Ce fut le moment crucial de la scission du noyau familial. Même si je n'avais que trois ans ce fut à ce moment que j'ai pu comprendre son plus grand intérêt pour la révolution plutôt que son fils. Enfin avec le cerveau d'un gamin haut comme trois pommes.
Il pleurait tellement à la vue de cet homme torturé. Et finalement c'est là où le déclin commença insidieusement. Il leva son verre d'un liquide jaunâtre et blanc par-dessus et cria « longue vie à toi » et il but rapidement son verre. C’était là le début de son cerveau et âme torturée. Pendant ce temps ma mère et moi préparions un gâteau au chocolat, hors de cette ambiance dépressive. Ce fut un moment marquant de voir mon père pleurer. Je ne savais pas que les papas pouvaient verser autant de larmes. Quoiqu’il en soit cette journée fut le commencement de notre enfer.
Année 1508 à 1516
Plus je prenais de l’âge, plus mon père descendait des bouteilles d'alcools. Il avait ce don unique de boire des quantités toujours plus importantes. Au point où ma mère avait dû prendre un emploi comme serveuse pour subvenir à mes besoins élémentaires. Si j’attendais après mon géniteur, pour être nourris et vêtu, je serais déjà mort de faim à l'heure qu’il est. Chaque jour il nous disait qu’il allait changer et chaque jour c’était pire. Puis j'avais pu voir que la marine engageait des personnes même jeunes, pour ne serait-ce faire que les tâches ingrates. Je voulais m’y engager simplement pour ramener quelques pièces à la maison. Et c'est là que le drame prit tout son sens. J'en avais fait part au cours du repas. Mon père se leva et me gifla en hurlant sur moi. J’étais choqué et prostré au s’il. Je ne l'avais en aucun cas vue venir. Il tenait sa bouteille à la main et faisait bien attention de ne pas en perdre une goutte. Je lui expliquais la raison de devenir soldat, pour l'argent et il me frappa de nouveau, une fois, deux fois, trois fois. Ma mère s’interposa et se prit une volée à son tour.
Tous les deux nous étions au sol. Choquées, faibles les larmes me montaient aux yeux. Je regardais mon père avec rage et fureur et me promis que tous ces révolutionnaires pathétiques mourront tôt ou tard. Oui ils prendraient tous à cause de LUI. Ma haine grandissait chaque jour et je voulais vraiment voir mon père mourir. Depuis ce jour je ne lui parlais plus et chaque jour des coups pleuvaient sur moi. J'avais ordonné à ma mère de ne pas intervenir pour qu'elle ne subisse aucun coup.
Des fois elle m'écoutait et des fois non. Donc elle recevait elle aussi des assauts de cet homme qui se prenait pour un bon chef de famille. Je me relevais cette fois-ci et lui jura qu’un jour il subirait tout ce qu’il nous faisait. Et qu’un jour je l'arrêterais moi-même. Il cassa sa bouteille sous l'effet de la rage et me fis une balafre, celle qui restera gravée sur mon visage, celle qui chaque jour me fera haïr les révolutionnaires. Et celle qui me fera garder un masque pour ne pas qu’on me pose de questions. Celle qui deviendra l’objet de ma honte.
Année 1517
Mon corps était marqué par les différents assauts. C'est alors que tout s'enchaina à la vitesse de l’éclair. On avait pu revoir le visage de Kropotkine aux informations. Il avait libéré des esclaves. Pour fêter son retour mon père avait descendu une bouteille de saké cul sec en me hurlant dessus que le gouvernement ne pourrait rien faire. Il s'en alla en titubant. On ne savait pas où il était parti. Ma mère passa un appel avec un escargophone. Elle revint me voir et m'embrassa et me fit un énorme câlin. Je ne comprenais pas. Elle m’expliqua qu'elle allait m'envoyer loin d'ici de peur que je ne meurs et que mon rêve allait devenir réalité. Quelques dizaines de minutes plus tard des hommes venaient chez nous et profitèrent de l'absence de mon père pour m'emmener avec eux.
Je hurlais et pleurais tout ce que je pouvais pour rester avec elle. Je frappais, mordais et hurlais, mais ce fut un moment décisif. J’expliquais au marin que mon père était un alcoolique et qu’il soutenait la révolution, que je voulais lui faire la peau. Je n’arrêtais pas, un flot de paroles telle une mer déchaînée sortait de ma bouche. Un coup de feu. Celui qui m’arrêta dans mes paroles. Celui qui venait de chez moi. Je savais au fond de moi ce qui s’était passé et cela me déchira en deux. Des larmes coulèrent mais pas de bruit, ni de son, comme si j’étais soudainement frappé de mutisme. Je suivais désormais sans broncher les hommes. Si ma mère avait fait appel à eux elle savait que tout se terminerait comme ça. Les seuls mots prononcés envers les marins furent : « je veux détruire les révolutionnaires ». Ils se regardèrent et après de multiples épreuves je fut propulser au sein du Cipher Pol.
Année 1521
Première mission que l'on me confie. Aucun problème au sein du Cipher Pol, je n'ai pas eu besoin de lavage de cerveau. Les révolutionnaires et pirates sont de la même trempe des nuisibles à abattre. Je revoyais dans chaque rêve mon père et le coup de feu. Malgré tout, petit à petit, les sentiments disparaissaient pour faire naître en moi un agent de la destruction. Mais je faisais bonne figure face à mes supérieurs.
Je portais désormais tout le temps mon masque et ne le quittais que lorsque je me douchais. J’étais arrivé sur mon île natale en ayant changé depuis mon départ. J'avais demandé à mon supérieur si je pouvais éliminer un révolutionnaire dangereux et il avait accepté. Il fut surpris lorsque je lui ai dit qu'il s'agissait de mon père, mais il accepta tout de même afin de voir ce que je valais vraiment.
J’étais rentré discrètement chez moi et avais en souvenir le jour où j'avais pu rejoindre le gouvernement. J'ai pu de même imaginer ma mère qui se suicider alors que je partais avec les hommes. La rage ne fit que monter, mais je la canaliser pour avoir l’esprit le plus clair possible. Je montais discrètement dans la chambre et vis mon père endormi parmi de multiples bouteilles. Du vomi gisait à coter de lui ça n'allait pas être difficile. Je sautais sur lui et bloquer ses bras avec mes jambes et m’asseyais sur son torse. Il se réveilla brusquement incapable de bouger et me regarder. Il voulut parler, mais se prit un coup-de-poing dans les dents. Il grogna de douleur et je commençais à l’étouffer. Il gesticulait tel un asticot et la vie commençait à le quitter. Puis je relâchais mon étreinte, il toussa fortement et me supplia de l’épargner. Je lui expliquais que j’étais son fils et lui déballait tout ce que j'avais sur le cœur. Il était sous le choc. Il voulut crier et je lui tranchais la langue. Puis je lui mis un coup de lame sous la gorge pour que cela aille vite et bien. Une fois la tâche finie, je brûlais la maison et tous les mauvais souvenirs que j'avais. Et rentrer au bercail. Un fruit trônait à côté de lui. Je le saisis et l'emmener avec moi pour le manger plus tard.
Lorsque mon supérieur vit ce fruit, il savait que c’était un fruit du démon. Il me le laissa en guise de confiance et me fit promettre que jamais je ne trahirais le gouvernement. Je m'inclinais face à lui et le Jura puis je mangeais le fruit. Il était dégueulasse. Mais je sentis que l’on corps changeait. Le Logia du bois quel formidable atout.
Salut, juste pour te dire : le fruit Bomu-Bomu est déjà pris par un PNJ, Hycock Boomer, le maire de Banaro. Je te laisse te rediriger vers un autre fruit en attendant de le tuer !
PS. 1 - T'es obligé de faire un double post pour ta présentation mental/physique PS. 2 (Vive la PS2) - Si tu veux obtenir une Feuille de Vie avec Ruizu, mentionne la avec la balise [PARRAINAGE].
Yo, j'me présente à toi, Calcifer pour te servir ! Tu auras l'honneur d'initier une belle série de corrections.
Bon on va trancher dans le lard directement, à nous deux. Dans la forme, c'est aérer et Dieu merci tu m'as fait des paragraphes distincts. Tu as bien séparé les moments de sa vie et ça reste concis et synthétique, dit comme ça la plupart penseront que c'est un « gros mot » mais en réalité c'est un exercice beaucoup plus difficile et risqué que ça en a l'air. Ta démarche est intéressante mais mal exploitée car on est tout simplement abreuver seulement par la description psychologique d'Hisano (je dis ça dans le sens où tu aurais dût plus t'étaler et même de justifier des « caractères physiques » tel que son tabagisme pour accentué sa tonalité mentale). Et c'est là où est la principale faille et j'en parlerais ultérieurement. J'ai pu noter quelques fautes mais rien qui ne parasite vraiment la lecture, ce qui est toujours un plaisir. (La couleur grise me faisait peur au début mais en vrai ça va, c'était lisible).
Bon passons à l'analyse, je mets mes lunettes. (J'en mets pas en vrai, je devrais pourtant).
Dans la forme je vois ce que tu essaies de construire, c'est intéressant, le problème c'est que l'on aperçois juste une silhouette à dix mètres vers minuit sous les réverbères. On est pas assez fourni au niveau de la description et de la structure mentale de Xerx, tu nous jettes simplement quelques pistes sans y aller franc jeu. Je prends par exemple l'ambivalence que tu essaies de créer autour de ton perso, et je parle d'ambivalence parce que c'est exactement ce que tu essaies de construire. Un personnage qui élevé dans un milieu précis, sous une influence néfaste et qui décide de prendre à contre pied son héritage jusqu'à (le) rompre avec. Je ne te cache pas que malgré si cela à l'air cliché c'est une idée qui marchera toujours parce que voir Hisano changer du tout au tout reste important quant à l'attachement qu'on aura pour lui.
Choisir de mettre en exergue la complexité du mouvement révolutionnaire aurait été un plus pour Hisano et son choix de vouloir prendre le chemin du gouvernement. La symbolique qui consiste à considérer tout un mouvement comme le prolongement d'une figure paternelle et paternaliste aurait été impeccable ! Et de surcroît, le fait que Xerx choisisse de prendre dans un premier temps l'opportunité de la marine comme convenance et de se sauver de sa cellule familiale me paraissait un bon chemin de développement. La fin qui sonnerait comme le point culminant, le fait que pour Xerx le seul moyen de s'évader de cette cellule c'est d'en finir avec le garde. Cependant le récit s'écornifle quand même un peu de moments anodins dont je ne vois pas l’intérêt ou du moins qui mériterait un vrai appui (notamment la naissance). Il y a aussi quelques traits de caractères qui restent très vague, il est à la fois emprunt d'une extrême gentillesse mais on le remarque pas dans l'histoire que nous tu nous contes (peut-être dans le fait d'aider financièrement sa famille). C'est pareil pour l'aspect manipulateur, où le voit-on ? Parce que le mélange de gentillesse et de vice peut être intéressant selon quel intérêt il décide de défendre. Il n'est pas surdosé, on ne voit pas la couleur du mixte et ça c'est dommage, j'en attendais plus dans le développement de Xerx. Comment l'influence et l'éducation de sa mère battue perds du terrain sous la frustration des réminiscences d'un petit garçon maltraité par un alcoolique notoire. Si tu veux que j'essaie de faire un parallèle avec un personnage de manga un peu plus connu, celui de Dio Brando dans les prémices de la partie 1 aurait été une bonne source d'inspiration. Les racines Shakespeariennes se ressentent mais ne sont pas palpables, tu aurais dût plus te lâcher sur ton personnage quitte à grossir les traits et à partir en caricature.
Passons maintenant à la partie la plus importante à mes yeux, c'est à dire l'impact « mutuel » du background. Mutuel dans le sens où il est censé avoir un poids pour ton personnage et que ton personnage puisse toucher dans un sens au cours du temps en ayant une interaction avec un PNJ ou un PI. Ce qui est important de savoir, et je sens que tu as été timide, c'est qu'OPA est un Forum dont toi Hisano Xerx est le héros, tu peux et dois jouer avec les codes afin de les renouveler. La mention de la face révolutionnaire de Kropoktine n'était pas une mauvaise idée et je dirais même que personnellement elle m'a tout autant touché que toi. Ce qui est important c'est que ton personnage puisse s'inscrire lui même dans la chronologie, tu avais les clefs en notant la chronologie de la vie de Xerx.
Je te valide donc à 2 900 Dorikis, j'y ai inclus le bonus lié au parrainage. Je te valide aussi en tant qu'agent du CP1Pour ce qui est de la Contre-Prime tu restes quand même quelqu'un de nouveau au sein du Cypher Pol, nous attendrons de voir tes actions inRp. Une composition inégale mais vraiment encourageant pour la suite, j'ai hâte de voir comment Hisano va nous impressionner par la suite. Si tu as besoin d'infos ou même d'avis tu peux nous contacter en MP sur Discord. Ta Vivre Card va être générée, tu pourras y poster en hide à la suite, afin de la compléter. Cya, l'homme masqué.
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Hisano Xerx le clebs du Gouvernement (Terminé à 100%)
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