One Piece Anarchy
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444 FLASHBACK — UNE RENCONTRE PRÉCIPITÉE [FEAT. DJIN ZEPPELI]
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Invité
Invité
posté le Sam 5 Sep - 17:28


444 Une rencontre précipitée
En une après midi qui se donnait comme ordinaire sur Loguetown, le soleil brillait de mille feux, se combinant au vent qui balayait la chaleur vers l'ouest en une brise chaude et légère qui faisait se soulever la chevelure majestueuse de celui que désormais les plus renseignés surnommaient ZIMA.

Versace D. Versus, de son vrai nom, Vermont D. Vogue, n'avait décidément pas fini de trouver d'autres sobriquets à emprunter, mais celui-ci, tout comme ce nom de Versace qu'il arbore, était inspiré d'un artiste. Sur ce coup, non pas dans la mode, mais un peintre. Fictif oui, mais tout de même, un peintre, sortant tout droit des romans fantastiques dont il raffolait lorsqu'il était encore Vogue; lorsque sa raison ne lui faisait pas encore faux bond. Zima est un artiste qui à l'apogée de son succès et de sa reconnaissance dans le monde de l'art, décida de tout lâcher du jour au lendemain, notamment en suicidant le peu d'intelligence artificielle qui lui restait. Pourquoi ? Personne n'en est réellement sûr, mais l'histoire qu'il lut fut assez pour le convaincre de reprendre le nom de ce personnage, jusqu'à aller plus loin et copier sa marque de fabrique : son bleu.

Quelques mètres à l'arrière, un carnage avait été commis. Des corps - ou plutôt ce qui en restait - étaient attrapés dans de la roche fondue, parfois le visage coulant, ne laissant à l’œil qu'une tête de mort baignée dans une marre de magma et sur le visage de ceux qui avaient été assez chanceux pour se baisser, apparaissait des autocollants rectangulaires bleus, comme une marque que l'on apposerait à un objet nôtre. La panique qui avait gagné la foule laissa l'arrondissement en question de la si grande ville commerçante vide, comme déserte, peuplée d'un seul homme, aux yeux verts perçants.

Après un tel acte de barbarie, il aurait été pour n'importe qui normal de se remettre en question sur une chose ou plusieurs, mais non. Lui, était resté tel quel, dans sa sérénité folle, dans son insensibilité monumentale, inhumaine. Il était sûr de ce qu'il avait fait, certain, sans regret, sans revenir ne serait-ce qu'une seule fois sur ses pas. Tuer, n'était plus quelque chose de choquant pour l'héritier du "D" qui venait de prendre un malin plaisir à retirer la vie d'une vingtaine de personnes.

Le silence qui régnait dans cette rue était presque historique. Jamais, ou depuis un si long moment, la légendaire ville d'East Blue n'avait été museler de la sorte. Le seul bruit audible aux alentours était les volets des appartements, perchés au-dessus des multiples magasins bordant ce large chemin, qui se fermaient ce qui d'ailleurs, n'avait pas manqué à Versus qui esquissait un rictus sans tomber dans une prétention mal placée. Le chemin jusqu'au port était long, très long, et sous cette chaleur, il était difficile pour un être humain de faire quoique ce soit sans s'hydrater plus. L'homme que nous avons ici n'était pas humain néanmoins, le besoin primaire de s'abreuver l'avait décidément pris. Alors, il s'arrêta l'espace de quelques secondes, levant la tête pour élargir son champ de vision. Rien. Les commerces l'anticipaient. Sur au moins vingt mètres, le mot se partageait de vendeurs à taverniers, de stylistes à artistes, qu'un homme aux pouvoirs mystiques, démoniaques, s'approchait.

Assez. Son estime pour lui-même était bien trop haute pour qu'il ne s'abaisse à aller voler de vulgaires resellers qui plus est, pour un simple verre d'eau. Sa sagesse l'avait poussé à reprendre sa route, toujours si lente et confiante, vers un endroit où les citoyens se faisaient en nombre donc où logiquement, la panique n'avait pas encore gagné.

Quelques minutes passèrent. Le contraste entre l'allée vide et la ville commerçante super active ressortit lorsque le pirate s'approcha d'une large place où le brouhaha et les négociations régnaient. Une poignée de civils se questionnait sur ce pourquoi la route opposée au Versus était-elle si vide, d'autres au contraire, se dépêchaient d'aller la remplir, y voyant une opportunité de découvrir les magasins de cette voie avant le reste de l'attroupement.

Ce fut alors que dans une course déterminée, malgré son état, qu'un soldat de la Marine - qui vous le devinerez, de par ses blessures, son bras manquant et des brûlures du tissu de la manche de son uniforme, avait croisé la route du capitaine du Jisui Kafuu Kaizoku Dan - arriva, essoufflé, passant inaperçu dans une foule beaucoup trop concentrée sur l'achat de divers items. Les mains sur ses cuisses, courbé, il se redressa avant de s'écrier :

— OÏ ! QUE TOUT LE MONDE ÉVA- ... HMP'FH !!

— Oï. Tu aurais dû continuer de feindre ta mort, telles qu'étaient les paroles du pirate qui précédaient le ~crac~ de la nuque du soldat.


Malheureusement pour ce soldat, son acte héroïque n'aboutit point. Avant qu'il ne puisse finir sa phrase, l'énorme main du semi-triton de quatre mètres s'était retrouvée sur sa bouche et en un mouvement seulement, sa nuque sautait et tout ça, malgré la démesure de la taille du "4 .", en toute furtivité.

Le corps d'un des combattants du Gouvernement Mondial se retrouva au sol, inerte, les yeux vides, sous les regards inquiets de quelques passants qui quand même, prirent la peine de s'arrêter, mais sans surprise, le coupable n'était déjà plus là et ce, en l'espace de quelques secondes seulement. Des mouvements habiles entre les civils avait permis au gyojin de déguerpir de cette zone pourtant bien remplie, laissant pour distraction le défunt soldat à qui la mort provoquait le cri des âmes sensibles.

Marchant vers la boutique alimentaire la plus proche, la perspicacité dont le semi-triton avait depuis toujours fait preuve ne le quitta pas en ce jour et il remarqua. Il remarqua qu'un homme, d'à peu près un mètre soixante cinq environ, tatoué comme un punk de la tête au pied, se tenait droit, le regard braqué sur lui. Il l'avait vu faire. Il n'y avait pas d'autre moyen. Ses yeux, assez jaunis à la manière des siens d'ailleurs, restaient braqués sur lui, qui stoppa sa marche, se figeant dans le temps.

Le fait qu'un témoin avait vu la scène était le cadet de ses soucis, non. Non, ce qui l'intriguait en réalité, était le fait que cet homme ne l'avait pas lâché du regard depuis l'assassinat du Marine il y a quelques secondes, malgré sa vitesse redoutable et ça, seulement un être exceptionnel en était capable. C'est pourquoi, la présence, l'allure et l'aura du personnage qui le toisait l'alarmait au plus haut point.

©️ Naely


Dernière édition par Versace D. Versus le Dim 6 Sep - 23:52, édité 8 fois
Toshiyo Narumi
444 FLASHBACK — UNE RENCONTRE PRÉCIPITÉE [FEAT. DJIN ZEPPELI] 7ghu
Berrys :
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Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
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Toshiyo Narumi
Midori Oni
posté le Dim 6 Sep - 21:25
Les voyages avec la révolution était devenu assez terne et souvent assez chiante, nous devions changer très souvent d'île et cette fois nous n'allions pas rester très longtemps sur Loguetown, nous ne faisions qu'un arrêt minute, mais il était hors de question que je reste sur le bateau comme on me l'a si gentilment demander, enfin même si j'étais attaché via des menottes et que la chambre où j'étais était gardé par Henry et Kevin, deux membres de la révolutions, même s'ils n'étaient pas très important, j'avais passer beaucoup de temps avec eux donc je les considérais un peu comme des amis d'enfance et eux savaient très bien comme j'étais. Je soupirais regardant le plafond et lorsque dix minutes étaient passées, je me mis à sourire, j'étais presque sûr qu'ils étaient repartis dans une longue discutions sur qui était le plus fort de deux. Ils avaient commis une erreur en me mettant dans une chambre où il y avait un hublot, surtout que j'étais assez svelte pour passer par celui-ci.

Sans attendre une minute de plus, j'arrachais la barre du lit où j'étais accroché, oui les menottes étaient résistante, mais pas la barre de lit et puis j'avais une force supérieur à un humain normal, ils devraient le savoir. J'arrachais donc la barre avant de passer par le hublot tandis qu'ils n'avaient rien entendu, après tout, ils devaient être trop occupés. Je sautais ainsi dans l'eau, un endroit où je pouvais respirer, c'était vraiment agréable de se retrouver dans l'eau, je partis donc en direction du port tout en restant sous l'eau avant de sortir assez facilement, tout le monde semblait me regardait, comme si j'étais un extra-terrestre, enfin, je pouvais comprendre pourquoi je venais d’apparaître de l'eau tel un poisson, ce que j'étais en partie donc ce n'était pas totalement faux.



« Bon, il est temps d'aller ce balader »

Un grand sourire aux lèvres et une barre de fer de lit en main, j'étais prêt à me balader, j'étais vraiment excité de pouvoir me déplacer seul, il faut dire que les révolutionnaires étaient assez protecteur avec moi, l'un d'entre eux avait quand même promis à ma mère de toujours veuillez sur moi, c'était une lourde tâche tout de même. 
Je piquais une pomme avant de me balader tranquillement, les gens semblaient ne pas comprendre qui j'étais et surtout ce que je faisais mais très vite je m'étais retrouvé sur une place, une place bondé de monde et c'est la que je le vis, un homme, un homme immense, quelques choses chez lui m'intriguait, je ne savais pas trop quoi, mais il y avait une chose et tandis qu'il massacrait un marine, je ne le quittait pas des yeux, j'avais l'habitude de voir la mort après tout ces années, mais sa vitesse d’exécution était spectaculaire, je croquais dans ma pomme tandis que ce dernier s'était mis à me fixer, j'avais attiré son attention, mais je ne semblait pas éprouvé de la peur envers lui et cela malgré sa taille et sa force.

Je croquais dans ma pomme avant de m’approchai de lui et une fois prêt de lui, je relevais la tête, le sourire aux lèvres, je pris la parole.

444 FLASHBACK — UNE RENCONTRE PRÉCIPITÉE [FEAT. DJIN ZEPPELI] M6k9ntuckf921

« T'es drôlement fort, très peu de personne sont capable de faire ce que tu as fait la, je te félicite, apprend moi à faire ça. »

J'étais tous simplement en extase devant lui, je voulais être comme lui. Peut-être que si j'étais plus fort alors les révolutionnaires pourront me laisser un peu plus seul, j'avais besoin de plus de liberté donc si j'étais fort, ils me laisseront faire ce dont j'ai envie. Il fallait simplement que je ne dise à personne que je suis un allié de la révolution, c'était simple. J'attendais avec impatience sa réponse en espérant qu'elle soit positive et j'étais prêt à lui montrer que je n'étais pas faible si nécessaire.
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