L'Ogresse — 29 ans — Femme — Révolutionnaire— L'Ogresse
métier : Cuisinière groupe : Révolutionnaire rêve : Trouver la paix intérieure rang : écrire ici grade (facultatif) : / prime (facultative) : / espèce : Humaine lieu de naissance : Une ile des blues première île : n/d armes : / fruit du démon : Pocha Pocha no Mi - Fruit de la Graisse
DESCRIPTION PHYSIQUE — MENTALE
Taille : 2m Poids : Variable
Bedonnante...
Ton physique d'emprunt inspire la sympathie. Une générosité n'ayant d'égal que la circonférence de tes bourrelets. A l'image de Baba, ta vieille adoptive, tu essayes de transmettre la même bonté d'âme. A travers une bonhomie toute relative.
Ainsi, lorsque tu es sous cette forme, il n'y a que peu d'animosité qui se dégage de toi. En vérité, il serait difficile de discerner les démons que tu caches sous cet amas constant de graisse.
Un costume bien utile...
Néanmoins, même avec des rondeurs tu laisses transparaître une beauté pouvant faire tourner les yeux de plus d'un. Ta peau douce à l'éclat cristallin est relevée par ta chevelure pourpre soigneusement coiffée. Tu prends un certains interêt à te mettre en valeur bien que tu considères la beauté comme n'ayant rien à voir avec le plaisir des yeux.
Ces mêmes yeux qui laissent transmettre une lueur opale et qui ne sont que les témoins de celle que tu es vraiment. Il n'est pas rare que l'on se sente gêné de ton regard appuyé, de cette vision capable de transpercer de part en part chaque interlocuteur.
Par la suite, si l'on considère uniquement ta démarche, celle-ci ne dénote aucunement de tes connaissances dans l'art du combat. Le dos légèrement creusé, tu fais semblant de compenser un poids qui te ne pèse absolument pas. Si tu transmets une image de maladresse à cause de ta corpulence, tu n'es handicapée à aucun moment par celle-ci. Il t'est facile de retrouver ton agilité lorsque tu fais tomber les masques.
Le plus choquant mais aussi le plus amusant est lorsque tu retrouves ta véritable apparence...
Celle d'une jeune femme au poitrail généreux, dotée d'un potentiel de séduction prompt à faire crever les plafonds. Ceci dit, même dotée d'une apparence bien plus sauvage, plus bien plus bestiale, tu ne perds pas ton sourire de surface et cette manière assez grasse de rire et sans aucune retenue... A mi chemin entre un canard et un asthmatique...
Seule ta vraie forme laisse néanmoins transparaître les affres d'une vie tumultueuse... En plus de déformer la chair, la graisse a aussi le don de cacher les blessures... Ce qui n’apparaît pas en temps normal est criant une fois mis à nue...
Une face de toi que tu préfères voiler. Que tu cherches à cacher au reste du monde et à toi même.
Dérangée...
Ton âme prend source dans deux échos... Une vie cruelle ou une vie de mensonge... Chaque jour de ton existence, il est complexe pour toi de faire la part des choses. D'arriver à savoir où s'arrête le vrai du faux. Plus tu mens au reste du monde, plus tu en oublies la vérité qui régit tes gestes et tes mots...
Mais en même temps, n'est-il pas préférable d'effacer la bête que tu es. De cesser d'exister pour qu'à travers ton comportement mimique, tu laisses vivre une personne ayant bien plus de mérite que toi ? Pathétique, tu te contentes d'occulter cette question dès qu'elle se présente à toi. Prenant refuge dans une illusion réconfortante...
Une mascarade sans fin...
Qui tu es... ? Un imposteur, un monstre, un sauveur... Trop de terme pour te qualifier, aucun capable de te considérer dans ta globalité... Tu es tout ça et rien à la fois... Seule ta haine est le noyaux véritable de ta psyché...
Mais tu ne veux pas t'afficher ainsi, même morte, le regard bienveillant de celle qui t'a recueillit se pose encore sur toi pour guider tes pas. Tu ne veux pas te dévoiler ainsi à elle. Tu ne veux pas faire couler le sang par simple barbarie, piétinant alors toute l'éducation qu'elle a pu te donner en conséquence.
Alors tu te remémores chacun de ces moments vécus. Chacun de ces gestes, chacun de ces mots...
Comme des mantras qui t'entravent, tu bornes ta vie par ses enseignements. Tu es devenue ton propre maître, te forçant à resserrer ta laisse dès que tu sens que tu vas craquer. Dès que tu sens que tu vas imploser...
Et pourtant, tu n'es pas une mauvaise personne... Même si ta foi véritable ne se concorde qu'avec peu de philosophie du monde connu, tu espères vraiment pouvoir aider autrui. Tu n'as jamais su si tu aidais les autres pour les sauver du monde ou pour te sauver toi... Dans tout les cas, Baba avait tendance à te répéter que le bien n'est pas ce que l'on est, mais ce que l'on fait...
Des mots sans aucun sens à tes oreilles à l'époque, mais qui aujourd'hui semblent t'éclairer fébrilement le chemin que tu arpentes.
Alors au reste du monde, tu parais être une personne profondément généreuse, voyant toujours le bien dans le cœur des autres. Capable d'offrir en permanence un sourire chaleureux et une présence réconfortante.
Que ce soit maigre ou pas, tu transmets un certains charisme, une certaine aura qui pousse les gens à te faire confiance. Une aura que tu empruntes à Baba sans aucune gène. Car au fond tu le sais, celle qui les inspire n'est pas toi, mais Baba qui s'exprime à travers ta chair. Vecteur des paroles d'une femme qui aurait mérité de vivre un siècle de plus en ces temps de trouble...
Entre tes mains, la Belladone est une fleur qui joue de duplicité. Tantôt magnifique, tantôt empoisonnée... Mais incapable de connaître sa véritable nature.
TEST-RP LIBRE
Profond silence...
Tes lèvres se pinçaient douloureusement, étouffant les quelques sons susceptibles de profaner ta bouche. Tu fixais avec mélancolie cette tombe de fortune que tu avais creusé de tes mains encore sales...
La mort l'avait emporté, sans aucun drame, sans aucune autre tragédie que celle qui vous attendait tous. Une fin clémente, soulageant le corps des dégâts causés par le temps... Elle était partie, avec le sourire, sans aucune rancune, sans aucun remord, te laissant seule, avec les démons qu'elle s'était évertuée à chasser durant toutes ces années. Elle n'était rien, tu n'étais personne... Mais avec sa mort, ton monde s'était ébranlé bien plus que ce qu'aurait pu provoquer n'importe quel évènement qui avait pu marquer les journaux que tu avais passé ta vie à lire.
Qui s'intéressait à l'ère de la pirate, à l’exécution de Gol D. Roger ou à la trahison au sein d'une organisation qui te paraissait bien nébuleuse... Certainement le monde entier mais pas toi...
Combien de temps allais-tu rester, devant cette pierre inégale incapable de dire un seul mot...
Tu repensais à ce que tu avais vécu avec elle. Baba qu'elle s'appelait... Elle t'avait recueillit alors que tu n'avais rien d'autres que des ressentiments à l'égard de la vie. Baba t'avait sauvé, de toi, du reste du monde, du destin...
Lorsque tu l'avais hais, elle t'avait aimé. Lorsque tu l'avais volé, elle t'avait offert ses bras. Lorsque tu l'avais blessé, elle t'avait pardonné... Elle avait essayé de faire de toi une personne bien... Tentée de réparer un mécanisme brisé par les conséquences d'un monde incontrôlable...
Derrière toi grinçait encore sa petite cabane, seul souvenir qu'elle avait laissé d'elle au reste du monde. Resserrant tes poings, tu n'avais pu retenir les larmes qui ruisselaient sur tes joues pâles. Alors qu'il faisait un soleil radieux, pour toi, ce moment te serait éternellement remémoré comme étant un jour d'averse.
Son héritage n'était pas matériel. Toute sa vie, elle s'était évertuée à offrir sa bonté et son sourire à qui en avait besoin. Sans enfant, tu l'avais toujours considéré comme une vieille cherchant à se rassurer auprès de toi. Mais au fond... C'était toi qui avait eu le plus besoin d'elle durant toute ton existence...
Elle n'était personne... Mais pour toi, elle avait été tout.
Combien de temps avais-tu passé à son chevet tandis qu'elle s'inquiétait encore avec douceur pour toi...
Sans elle, tu n'étais plus qu'un tas d'émotion. De la violence, de la haine, de la peur... Une bête qu'elle avait su dompter par sa gentillesse mais qui n'était plus rien sans un maître pour tenir la laisse. Tu n'avais aucun but, plus aucune personne à chérir, plus rien... Si ce n'était un besoin intangible de te défouler... D'exprimer au reste du monde ton existence... De t'époumoner jusqu'à ce que mort s'en suive...
Mais tu ne pouvais pas faire ça ici....
Non...
Tu ne pouvais pas ternir ce lieu par tes excès... Tu ne pouvais pas souiller sa mémoire... Tu avais honte de ce que tu étais, et tu refusais que dans sa mort, elle ne te voit sombrer à nouveau...
Tu lui avais promit de ne jamais retomber dans tes anciens travers. D'être une personne meilleur... Tu avais tout fait pour tenir cette promesse sur tout le long... Mais tu ne pouvais que pleurer d'impuissance...
Tu allais briser cette promesse...
Combien de jours s'étaient écoulés depuis ta dérive, depuis sa mort... Trop... Pas assez... Tu avais perdu la notion du temps lorsque tu avais cessé de regarder vers l'horizon... Seul le bruit mécanique de l'horloge fixé au mort cadençait encore ton existence...
Frottant furieusement l'une des jointures de ta main, tu essayais vainement d'en retirer le sang qui s'y était encrassé... Comme si tu essayais de laver ton âme à travers ce geste effréné... Ton corps tremblait, à travers des spasmes de douleurs, de colère mais aussi de peur. Blessée, tu pouvais sentir ton sang perler pour rejoindre celui des autres...
Ces autres... Des corps dont tu ne connaissais même pas le nom... Ton regard vide ne s'arrêtait même pas sur l'horreur que tu avais causé sans même t'annoncer... Qui étaient-ils ? Tu t'en fichais... Criminel, marin, innocent... Qu'est-ce que cela pouvait bien faire... Tu avais besoin d'exprimer ta colère, de chasser tes démons par la violence...
Le son de la chair déchiré et des os se brisant était bien plus doux à tes oreilles que celui de tes pensées...
Que pouvais-tu faire de plus... Tu étais seule désormais... Sans but... Sans entrave... Sans aucune chance de rédemption...
Il ne t'avait fallut que quelques instants pour briser tout les efforts qu'avaient perpétré Baba en essayant de te sauver. Ta seule satisfaction était qu'elle n'avait plus à te voir ainsi, qu'elle n'avait plus à lutter à ta place pour t'éviter de sombrer. Affronter son sourire, même en souvenir t'étais bien plus déchirant que le plomb qui avait percé ta chair en ce jour...
Tu n'avais été qu'une enfant à problème... Ayant vécu des problèmes... Une existence qui n'était désignée qu'à travers un groupe, dont on ne s'attardait jamais à la nommer dans les journaux... Ton seul refuge avait été ta haine, ta colère. Et tu avais oublié de les délaisser lorsque tu n'avais plus aucune raison de te protéger...
Tu te relevais lourdement, tandis que tu fixais un homme qui rampait difficilement jusqu'à la sortie. Malheureusement pour lui, à défaut d'avoir une raison de le tuer, tu n'avais aucun raison de le laisser en vie.
Plus tard, tu aurais l'occasion d'apprendre que de toute manière, tu t'étais engouffré dans un repère de criminel. De façon un peu hasardeuse, le destin avait guidé tes pas jusqu'à eux. Comme si lorsque tu avais suivi l'un d'entre eux dans un instinct compulsif, tu avais pu ressentir naturellement l'écho de la pourriture entre vos âmes respectives. Ou peut être que même disparue, Baba guidait encore tes pas pour éviter que tu ne commettes l'irréparable sur des innoccents...
Arrivant à son niveau, tu venais à te pencher vers lui. Ton souffle était saccadé et tu luttais pour que ton esprit brumeux ne t'emporte pas ailleurs. Tes mains étaient encore tremblantes lorsque tu vins à saisir le cou du malheureux qui se débattait vainement.
- P-p-pourquoi... Qu'est-ce... que tu veux... ?
Des mots hasardeux, expulsés de manière désespérée tandis que tes mains se resserraient sur sa chair. Aussi tôt le sang de tes mains venaient à se mélanger avec le sien tandis qu'il crachait ses derniers moments de vie.
- Je ne sais même pas qui tu es.
Si tu avais eu plus de force, tu l'aurais certainement achevé comme on tordait le cou à un poulet. A défaut, tu te contentais de le laisser s'endormir à tout jamais. En plus de tes blessures, tu subissais les contrecoups de l'utilisation intense de ton pouvoir. L'adrénaline n'arrivait plus à compenser la surconsommation, et c'était telle une éclopée que tu prenais appui sur le mur le plus proche.
Reprenant ton souffle, tes yeux entachés par la sueur venait à se poser sur la page d'un journal. Pourquoi porter attention à ce genre de chose alors que tout te pousser à quitter ces lieux au plus vite. Peut-être aurais-tu simplement voulu mourir ici et mettre fin à ce cercle infernal. A ce cercle te forçant à briser ta promesse encore et encore...
Mais non... Pas aujourd'hui...
N'ayant pas la force de t'abaisser, tu te contentais de lire les lignes encore épargnées par le sang de l'un des hommes de main.
" Coup d'éclat, libération de 5000 esclaves des archipels de Shabondy"
Relisant compulsivement les seuls mots que tu pouvais déchiffrer, tu vins à briser le silence ambiant en t'esclaffant de rire alors que tu lisais le passage parlant de l'ancienne esclave à la force n'ayant d'égal que son geste. Quelle douce ironie... Le même jour marquant la fin de ton monde, était aussi celui laissant entrevoir un autre avenir pour ton esprit brisé...
La notion de bien existait... Et si tu ne pouvais calmer tes démons, tu pouvais les canaliser... Tu n'étais pas une bonne personne, tu n'avais rien de tout ça... Mais tu pouvais continuer l'héritage de Baba... Tu pouvais être l'intermédiaire entre sa philosophie et le reste du monde... Après tout... Elle avait sacrifié ses dernières années de vie pour toi, tu pouvais en faire de même...
Tu avais brisé une promesse... Mais tu pouvais essayer de te racheter par une autre...
De ton action d'aujourd'hui, il y aurait des conséquences... De tes actes désintéressés, tu pouvais y retirer un certains anonymat... Ta vie n'était plus qu'une traque, une course poursuite vers la rédemption avant de te faire rattraper par les abysses...
Quatre ans s'était écoulées alors que tu t'extirpais de tes songes... Ton sommeil était souvent parsemé de ce genre de souvenir éparse de celle que tu avais pu être auparavant... De celle que tu avais toujours été mais que tu avais mit de coté pour laisser place à une personnalité d'emprunt.
En tout point tu ressemblais à celle qui t'avait sauvé...
Mais tu n'avais pas vraiment le temps de repenser à tes rêves éthérées, tandis qu'un enfant en guenille venait à te tendre fébrilement son bol.
- Ohlalala mon enfant. Mange autant que tu veux.
Lui souriant à travers un visage boudiné mais rassurant, tu venais à remplir son cœur et son ventre d'un ragoût réputé du temps de Baba. Plus que sa personnalité, tu avais reprit ses tics, jusqu'à aller à copier parfaitement ses recettes que tu avais savouré durant une majeur partie de ta vie.
Le jour tu offrais ton aide à quiconque l'implorait. Et en secret, tu venais à tarir la source de tout ces problèmes. Faisant fit de la loi ou du bon sens commun. Contrairement à Baba, tu pouvais agir de manière bien plus impactante sur ce monde. Peut-être était-ce qu'elle avait attendu de toi durant toute ta vie.
Et à l'image de cette libération, doigt d'honneur à cette caste d'élite bien portante, tu voulais à ton tour faire pencher la balance pour le bien commun. Une hypocrisie salutaire...
En tentant de sauver les autres, tu essayais de sauver ton âme...
Alors comme ça on veut faire la révolution ? Franchement, j'aime bien !
On va donc commencer par ce qui m'a le plus sauté aux yeux dès le début : la narration à la deuxième personne. Pour être tout à fait honnête, ce style de narration a tendance à me rebuter personnellement, mais là ... C'était maîtrisé et extrêmement agréable à lire, j'irais même jusqu'à dire que le même récit à la troisième ou première personne n'aurait clairement pas eu le même poids, ni le même impact. Donc déjà ça me fait plaisir de m'avoir ouvert les yeux là dessus mais en plus, c'était un véritable régal à lire : que demande le peuple ?
On va en profiter pour terminer sur la forme, puisque je n'ai rien à redire à ce sujet de toutes manières. C'est propre, carré, les images sont parfaites, les fautes on en parle même pas ... Du caviar quoi !
Passons au fond désormais, les troubles psychologiques de ton personnage qui la tiraillent sont presque palpables, certains passages étaient vraiment forts (notamment le massacre gratuit ou les funérailles improvisées). De la même manière, l'héritage de Baba est visible partout, on a beau ne jamais avoir vu ce PNJ, on le connaît et sa caractérisation est parfaite partout sur la fiche. L'intégration des pouvoirs de ton personnage dans son caractère est également très agréable, on oublie souvent ce point pourtant assez essentiel, mais ce n'était visiblement pas ton cas !
Malheureusement, certains points manquent dans cette histoire. Notamment une implication plus grande dans le background du forum, ou l'intégration un peu plus poussée de personnages importants du forum. Tu nous parles de Greta au détour de quelques phrases, mais son acte prend bien plus d'importance, ce qui est compréhensible pour ton personnage, mais un peu dommage. Pour être tout à fait honnête, tu perds une grosse majorité de tes points sur l'implication dans le contexte.
Mais comme précisé plusieurs fois plus haut, la fiche en elle même reste très agréable et extrêmement bien maîtrisée, je me répète peut être mais ça fait plaisir !
Toutes mes félicitations donc, puisque tu es validée, en comptant ton bonus parrainage, à 8 130 Dōrikis ! Tu débutes donc ton aventure sur Grand-Line (sur le premier palier donc), en tant que Révolutionnaire avec les pouvoirs du Pocha Pocha no Mi ! Tu écopes également d'une prime de 40.000.000 de Berries pour ton massacre, ils étaient peut être des bandits, mais des civils n'ont pas à se faire justice eux même, en tout cas pas aux yeux du Gouvernement Mondial. Ta Vivre Card va être générée dans les minutes qui suivent et tu pourras poster à la suite pour consigner tout ce qui te sers à te défendre. Bon jeu à toi et surtout : amuse toi bien chez nous !
Yu Belladone - Terminée
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