One Piece Anarchy
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[Terminée] Présentation Kadan Seitetsu (DC Faust)
Rinaba Zakuro
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Loca. :
Balgimoa
Prime :
0 B
Berrys :
200 000 000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
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Rinaba Zakuro
Vigilante
posté le Lun 5 Oct - 11:44

Kadan Seitetsu
Vigilante — 26 ans — Masculin — Civil
métier : Officiellement bureaucrate, officieusement Justicier
groupe : Civil
rêve : Se prouver qu'il est irremplaçable et inspirer la crainte pour enrayer le mal
rang : Vigilante
grade (facultatif) : /
prime (facultative) : /
espèce : Humain
lieu de naissance : Une île de North Blue
première île : Star-Top Nation
armes : Bâton pliable en titane
fruit du démon : /


PHYSIQUE/MENTAL
Taille : 1m70
Poids : 60kg
Morphologie : Musculature assez sèche permettant une agilité remarquable tout en gardant une force importante, cheveux brun ébouriffés, yeux marrons.

Lorsqu'il prend l'identité de Vigilante, le Seitetsu arbore un masque principalement rouge, accompagné de zones noires, notamment au niveau des yeux et de la bouche. Sa tenue, quant à elle, est intégralement sombre afin de lui offrir une meilleure discrétion dans l'ombre.

Voix :

« Kadan est un mec bien. Sincèrement. Et je ne dis pas ça parce qu’il est mon cousin et que je le considère comme mon frère. Il est vraiment gentil et fait attention à son entourage. Le problème, c’est qu’il l’est peut-être même trop, et du coup ça lui joue souvent des tours. Combien de fois je lui ai dit d’envoyer chier telle ou telle personne parce qu’elle se jouait de lui. Pour être honnête, je ne pourrais même pas essayer de compter. Mais malgré tout, même s’il lui arrive de faire des bêtises irréfléchies ou de foncer dans le tas en se disant que tout se passerait bien, il n’en reste pas moins quelqu’un d’intelligent. Certes, il est bien loin du génie d’un certain Baron D. Theodore – heureusement -, mais tout de même. Sinon à part ça, je pense qu’il a toujours été un aventurier. Ou en tout cas, il a toujours rêvé d’aventures plutôt. Je me souviens encore des nombreuses fois où on a joué ensemble lorsqu’on était plus jeunes comme si c’était hier. Il y avait ma petite sœur également à nos côtés, Karen. On avait inventé un jeu où on simulait des pouvoirs et où on faisait semblant de se battre en criant des noms de techniques débiles. A notre âge, ce serait ridicule, mais à cette époque, qu’est-ce qu’on s’amusait bien ! Oh, et puis il y avait les cartes Moképon aussi, évidemment ! On faisait tout pour en collectionner le plus possible, pour avoir les plus belles et les plus puissantes dans le seul espoir de pouvoir se vanter entre nous. On était vraiment fans, et aujourd’hui encore, il y a toujours une part de nous qui adore ça. » - Saiki Seitetsu, cousine germaine de Kadan.

« Je l’adore. Bon, c’est vrai que quand j’étais petite, il avait tendance à être assez méchant avec moi. Mais bon, il n’était pas tout seul ! Ma sœur aussi faisait pareil. Du coup, avec trois ou quatre ans de moins qu’eux, je me mettais souvent à pleurer. J’y pouvais rien s’ils se mettaient toujours à deux contre moi ! Bon après, je sais que je les énervais beaucoup parce que j’étais considérée comme le ‘‘chouchoute’’ des adultes. Donc même si je faisais des bêtises ou que je déclenchais les disputes, ce n’était jamais moi qui me faisait enguirlander haha. J’avoue que maintenant quand j’y repense, c’était pas très sympa. Mais bon, après tout, c’est ça quand on est la plus jeune du groupe ! Après, hormis cette période enfantine, on a fini par se rapprocher et très bien s’entendre. Aujourd’hui, comme l’a dit Saiki elle-même, on le considère comme notre frère, clairement, et on l’aime comme tel. » - Karen Seitetsu, cousine germaine de Kadan et petite sœur de Saiki.

« Kadan est quelqu’un de bon et bienveillant au plus profond de lui. Il est toutefois assez timide, en particulier lorsqu’il se trouve aux côtés d’inconnus, ce qui peut laisser une image particulière aux yeux des autres. Disons qu’il a besoin de temps et d’habitude pour se dévoiler un peu plus. Il n’est donc vraiment pas du genre extravaguant et n’ira généralement pas chercher à ouvrir une discussion avec quelqu’un qu’il ne connait pas, ou pas suffisamment. Bien que cela puisse sembler étrange comme façon d’agir, j’ai compris avec le temps qu’il avait plutôt tendance à analyser le comportement de ceux qui l’entourent avant toute chose. Disons que c’est un peu sa façon à lui de découvrir leur mentalité et leur potentiel d’action. De cette façon, il sait s’il peut s’ouvrir davantage à telle ou telle personne et s’il peut se lier d’amitié et lui faire confiance. Personnellement, je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose, quand bien même je ne partage pas cette vision du monde. En revanche – et c’est probablement à force de me côtoyer –, Kadan a évolué avec le temps pour s’adapter à son environnement. Dit comme ça, cela peut paraître très primaire comme propos, mais ça va plus loin. En effet, il faut se rendre à l’évidence qu’un être purement bon n’a aucun avenir en ce monde. De ce fait, j’aime à dire qu’il s’est ouvert au ‘‘côté obscur’’, n’hésitant pas à ‘‘troller’’ dans diverses situations. Toutefois, bien qu’ayant eu des remords dans sa tendre jeunesse, l’âge l’ayant durci et son humour s’étant noirci, il est devenu un homme dont le plaisir du ‘‘troll’’ s’avère être plus élevé que la moyenne. Cela peut se constater de différentes façons, mais vous le constaterez sans doute un jour par vous-même. Bref, pour en revenir à des choses plus sérieuses, je dirais que ses nombreuses expériences de vie lui ont permis de se forger un mental plus dur, même s’il possède toujours des sentiments assez forts de façon générale. Disposant d’un coefficient social inférieur à la moyenne, il garde néanmoins près de lui un groupe restreint de proches, qui lui sont par ailleurs nécessaires car il a besoin d’affection (sous toutes ses formes). Fidèle à ceux-ci et plutôt honnête, il reste une personne sur laquelle on peut se fier, en qui on peut avoir confiance. Et.. pour finir, je dois dire que la motivation joue un grand rôle dans sa vie. Autant, s’il ne ressent pas l’envie de faire quelque chose, il ne fera rien, autant s’il est réellement motivé par un désir particulier, il sera capable d’accomplir un important travail et de briller. » - Chomei Ryoushi, meilleur-ami de Kadan.

HISTOIRE
"Écrivain" en jeu de rôle à mes heures perdues, j'ai préféré vous dévoiler ma vie à travers ce journal... Voici mon histoire.

Octobre 1496 - Naissance d'un petit garçon

Moi, c’est Kadan. Je suis né sur une petite île tranquille de North Blue un après-midi d’automne, le 18 Octobre 1496. Je dois vous avouer que c’est un moment de ma vie dont je ne me rappelle pas le moins du monde, à part pour les grandes lignes bien entendu. Pour être honnête avec vous, je me souviens avoir vu des images de ma naissance grâce à des dials ainsi qu’un escarméra que mes grands-parents avaient achetés. C’était un petit peu l’occasion sur eux de garder des souvenirs visuels d’une événement comme celui-ci. Après tout, j’étais leur premier petit-fils. Quoi que, non, ça serait mentir de le prétendre véritablement. Il y a bien eu un enfant avant moi, issu du frère défunt de mon père, par suicide. Mais même jusqu’à maintenant, au moment où je vous écris, nous ne l’avons que très peu vu. Il n’est donc guère bien important d’en parler dans le reste de mon histoire. Quoi qu’il en soit, à part ces quelques petites précisions sans doute futiles, je ne saurais quoi vous raconter d’autre à ce sujet. Il est vrai que s’il m’était possible de remonter le temps, ne serait-ce que l’espace d’une journée, j’aurais sans doute plus de choses à vous décrire, mais ce n’est malheureusement pas le cas.

Passons donc à la seconde partie, voulez-vous ?

Années 1497 à 1502 - Education groupée

Lorsque j’étais encore tout petit, j’ai bien évidemment commencé par être chouchouté par ma maman. Cependant, cette période n’a pas duré très longtemps car mes parents se sont séparés assez rapidement. Je ne saurais vous dire à quel moment précisément, mais il me semble que je devais avoir aux alentours de deux ans. A ce moment-là, mon éducation était déjà plutôt « particulière » dans le sens où je passais le plus clair de mon temps chez mes grands-parents. Mon père travaillait la journée et il n’avait pas souhaité me faire garder par quelqu’un d’extérieur à la famille. Du coup, ce sont eux qui s’en sont chargés. Dès le matin, j’étais donc amené dans leur maison où j’allais y passer toute la journée, jusqu’en début de soirée où mon père revenait me chercher pour rentrer. Dit comme ça, ça pouvait sembler assez ennuyant voire déprimant, mais ça ne l’était pas. Bien au contraire. Car je ne vous l’ai pas encore dit, mais le 7 Août 1497, une petite fille est née. Il s’agissait de ma cousine germaine, Saiki. Et, bien évidemment, mon oncle a décidé de la laisser également, afin que l’on puisse grandir et se développer ensemble.

Dans les faits, c’est surtout notre grand-mère qui s’occupait le plus de nous. C’est elle qui nous faisait manger, qui nous berçait pour que l’on puisse s’endormir, qui nous regardait jouer et qui aussi, comme tout parent, nous criait dessus quand nous faisions des bêtises. Je me souviens, j’aimais bien l’embêter au début. Mais ça a très vite changé au moment où elle a été assez grande pour que l’on puisse s’amuser ensemble, justement. On faisait un peu de tout, mais surtout, on chahutait. Je me rappelle encore m’être fait enguirlander plus d’une fois quand j’essayais d’ouvrir les placards de la cuisine pour y dégoter quelque chose à manger. Je n’avais pas le droit de le faire, mais je le faisais quand même, forcément. Ça n’aurait pas été drôle sinon. Enfin, quoi qu’il en soit, c’était quand même une bonne période de ma vie, même si elle a été relativement courte.

Quand on a eu l’âge, on a commencé à aller à l’école ensemble. Sur ce point, je n’ai que quelques vagues bribes de mémoire. Un jour, il y a eu cet enfant, plus âgé que nous de quelques années, qui a volé une petite figurine qui appartenait à Saiki, en lui demandant s’il pouvait la regarder de plus près. Méthode très simpliste pour dérober un objet, soit disant en passant. Mais bon, ce n’était qu’un enfant, donc ce n’est pas étonnant plus que ça. Oh, si ! C’est pendant ces années-là que j’ai « embrassé » ma première chérie. Bon, c’était agréable comme un bisou d’enfants quoi ! Rien de plus, rien de moins.

Années 1503 à 1511 - Formation d'un jeune homme

Cette période-là est vraiment très large, je l’admets. Elle se situe entre mes 7 et mes 15 ans.

Déjà, il faut que vous sachiez qu’au commencement de celle-ci, Saiki - ainsi que Karen, née en 1500 -, venait de partir. Ses parents avaient décidé de déménager ailleurs sur North Blue, ce qui nous a séparés. En soi, ça a vraiment été dur de vivre « tout seul » alors qu’elles étaient maintenant deux de leur côté. Je me devais à présent de m’amuser par mes propres moyens, comme je le pouvais, sans leur présence. Et je l’ai fait. Je n’avais de toute façon pas vraiment d’autre choix.

De toute façon, ce n’était pas comme si j’avais été totalement abandonné, non, bien sûr que non. Malgré la distance, on se voyait tout de même de temps en temps, lorsqu’elles venaient pendant les vacances. Au fur et à mesure que nous grandissions chacun de notre côté, on se mettait à inventer de nouveaux jeux. Par conséquent, nous sommes passés par différentes phases. Certaines fois, nous jouions avec des peluches, en créant toute une histoire et en les faisant parler comme si elles étaient réellement vivantes. D’autres fois, c’était avec des jouets représentant des êtres humains ainsi que des animaux que nous faisions ça. Il faut dire qu’il ne nous en fallait pas beaucoup pour nous procurer de l’amusement à cette époque. D’ailleurs, il y a également eu ces fameux moments où nous interprétions nous-mêmes nos propres personnages, dans le jardin. On se prenait alors pour des superhéros dotés de super-pouvoirs, parfois. Je me souviens que généralement, j’optais pour la capacité de créer et contrôler la foudre. Saiki contrôlait l’eau, et Karen avait plutôt tendance à contrôler la nature. A nous trois, nous étions invincibles, bien évidemment. Et puis, comme nous n’étions que trois et qu’il nous fallait bien un méchant, je faisais moi-même le double rôle, ce qui rendait la situation assez cocasse : jouer à la fois le gentil et le méchant et ce quasiment au même moment n’était pas vraiment la chose la plus simple à faire.

Il y en a eu un second également, qu’on avait appelé « Maître Bâton », un nom ridicule qui désignait simplement une personne qui maniait le bâton et qui entraînait ses élèves. Ah ce jeu.. Je ne saurais compter combien de fois nous nous sommes blessés à essayer de se donner des coups un peu réalistes alors que l’autre ne savait pas se défendre correctement. Mais bon, ce genre d’expériences fait partie intégrante du développement d’un enfant, n’est-ce pas ?

Année 1512 - Traumatisme

Bon, fini les enfantillages et les moments rigolos. Entrons maintenant dans le vif du sujet, là où tout a réellement commencé, ou en tout cas là où les difficultés de la vie ont vu le jour.

J’avais 16 ans quand j’ai passé sûrement la pire journée de ma vie. A vrai dire, dans sa globalité, elle n’avait rien de particulier. C’était une journée d’école comme les autres, plus ou moins. Seulement, c’est au moment de partir et ainsi rentrer chez moi que les choses ont mal tourné. En effet, j’étais sorti un peu en retard car un professeur nous avait retenu plus longtemps qu’en temps normal. Le souci, c’est que je me suis retrouvé seul de mon côté, car les autres prenaient un autre chemin pour rejoindre leur foyer. Et là, alors que je me retrouvais à passer sur un petit chemin à l’abri des regards, je suis tombé sur deux jeunes hommes, probablement un peu plus âgés que moi. En tout cas c’est ce que je pensais, mais je n’en ai aucune idée, peut-être était-ce juste une impression. Immédiatement, ils m’ont interpellé et m’ont demandé quelque chose, je ne me souviens plus précisément quoi. De l’argent peut-être. J’ai donc répondu que je n’avais rien sur moi, comme la plupart des gens l’auraient faits. Mais au fond, ce n’était pas vraiment ça qu’ils voulaient. Bien sûr, ils auraient été ravis que je leur en donne, mais au-delà de ça, ce qu’ils désiraient vraiment, c’était avoir plus. De ce fait, ils ne m’ont pas laissé partir. En se mettant de chaque côté de moi, ils me maintenaient en faisant en sorte que ça paraisse plus ou moins normal, comme s’ils me tenaient comme un ami, le bras sur mes épaules.

On s’est donc mis à marcher ensemble, sans que je ne puisse faire quoi que ce soit. Je ne pouvais de toute façon que les suivre. Mais, après quelques minutes, nous sommes passés juste devant la maison de mes grands-parents. Alors, évidemment, sans réfléchir, j’ai tenté de me sortir de leur emprise pour m’enfuir. Mais ça n’a pas fonctionné. Tout ce que j’ai gagné a été de me retrouver à terre, à me prendre des coups, avant d’être relevé pour continuer à marcher. On longeait une rivière, sale, remplie de vase et de rats à ce qu’on disait. Et puis, à un moment donné, on a croisé un couple d’adultes. Ne sachant pas trop quoi faire, j’ai tout de même essayé de leur lancer un appel au secours à l’aide d’un regard. Mais.. Ils ne l’ont apparemment pas compris puisqu’ils ont continué leur route comme si de rien n’était. Puis, on s’est assis sur un banc. Mes deux agresseurs ont commencé à me parler, n’hésitant pas à me débiter quelques menaces, parlant même de me tuer et ensuite me jeter à l’eau. Je préfère autant vous dire que j’étais vraiment mal à ce moment-là. Très mal. Je me sentais trembler comme une feuille, je n’avais plus la maîtrise de quoi que ce soit.

Mais à un moment donné, mon calvaire s’est terminé. Ils ont finalement décidé de me prendre ce que j’avais de valeur avant de partir, en me laissant livré à moi-même. Quand j’ai compris que rien d’autre n’allait se passer, j’étais tellement soulagé, mais aussi toujours aussi stressé, quoi que je fasse. Je me suis donc précipité en courant pour rejoindre mes grands-parents et leur raconter toute l’histoire. Ce moment, même s’il peut sembler assez « banal » aux yeux de certains, a représenté un assez gros traumatisme dans ma vie, si bien que je n’ai jamais été très serein de passer devant un groupe de jeunes en étant seul.

Septembre 1513 - Découverte d'un Meilleur ami

Cette année scolaire, j’ai vraiment commencé à faire la « connaissance » d’un jeune homme de mon âge. En réalité, je le connaissais déjà depuis des années, d’une certaine façon. En fait, nous avions déjà étudié dans la même classe quand on avait dix ans, mais on n’était pas amis plus que ça. On se connaissait, juste. Et, finalement, nous en sommes donc venus, plusieurs années après, à traîner davantage ensemble. C’est ainsi qu’une amitié a commencé à se forger, peu à peu. A vrai dire, c’est une rencontre assez simple pour des jeunes, mais ça fait tout de même partie de ma vie. Après tout, aujourd’hui, il est avant tout mon meilleur ami, il me semblait donc fondamental d’en parler, même ne serait-ce qu’un peu.

Année 1514 - Rencontre à problèmes

D’ailleurs, avec Chomei – pardon d’avoir omis de vous le mentionner , nous avons un jour découvert une fille, plus jeune que nous de quelques années à peine. Elle devait avoir 16 ans quand nous en avions 18, quelque chose comme ça. Elle avait tendance à se « produire » devant quelques personnes par le biais d’escarméras, pendant qu’elle chantait. Pour le coup, c’est vrai qu’elle n’était pas mauvaise du tout à ce niveau-là. En revanche, nous, à la base, nous étions venus pour nous amuser en quelque sorte. Pas pour nous moquer, tout de même – quoi que, mais juste pour voir comment ça se passerait et si l’on pouvait rigoler un peu.

Le souci, c’est qu’au bout d’un moment, à force de la côtoyer et, finalement, de faire l’idiot, je me suis rendu compte que j’avais commencé à développer des sentiments. Et, apparemment, c’était également son cas. Ce qui fait que nous avons fini par sortir ensemble quelque temps. Mais dans les faits, ce n’était pas long, à peine quelques mois dans mes souvenirs, peut-être moins. Par ailleurs, c’était aussi je crois la première fois que je mettais fin à une relation moi-même. D’habitude, j’étais celui qui devait encaisser tout ça, endurer la « rupture ».

Il faut dire que cette fille me disait des choses assez étranges concernant sa vie familiale, et ça ne me mettait pas vraiment en confiance. Elle avait même déjà tenté de mettre fin à ses jours, et ce plusieurs fois, sans succès. Autant vous dire que je ne voulais donc pas être mêlé à ce genre d’histoires qui ne risquaient que de m’apporter des problèmes. Et justement, j’avais pas forcément tort pour le coup. Chomei, qui, lui, restait quelque peu en contact avec elle de temps à autre, a un jour reçu un appel de la Marine, lui faisant comprendre qu’il savait probablement des choses à son sujet. Ses appels ont ainsi été mis sur écoute, notamment, et pourtant il n’en connaissait pas la raison. Même en y réfléchissant des jours et des jours, nous n’avons jamais su ce qu’il s’était passé et pourquoi on lui avait demandé des informations. Mais, dès lors, il n’a plus jamais été recontacté. C’est pourquoi nous avons tous deux décidé de couper entièrement les ponts avec cette fille.

Septembre 1515 à Juillet 1517 - Etudes Supérieures de Chimie

A nos 19 ans, Chomei et moi avons poursuivi nos études, nous spécialisant dans la chimie. C’était une branche qui nous plaisait assez et qui s’avérait être intéressante sur beaucoup de points. Je crois que c’est vraiment pendant ces deux années que nous avons réellement commencé à développer de nombreux délires entre nous, et à se connaître quasiment par cœur. Pourtant, même si tout nous semblait normal, les autres n’avaient pas l’air de voir les choses du même œil. Certains pensaient apparemment que nous étions plus que des amis, mais bien sûr que non. Je n’ai jamais compris comment ils pouvaient penser à une chose pareil. Oui, on traînait toujours ensemble, et alors ? C’est le principe des amis à la base, non ? D’autant qu’eux faisaient pareil de leur côté. Autant dire que ce raisonnement était débile. Nous sommes et avons toujours été Hétéros et ça, il n’y a rien de plus certain !

Enfin, dans tous les cas, on a décidé de les ignorer. Ça ne servait de toute façon à rien de se prendre la tête avec des idiots pareils.

Du coup, pendant ce temps, on commençait déjà à élaborer des solutions chimiques intéressantes, pour s’entraîner et pourquoi pas trouver quelque chose de révolutionnaire nous permettant de mettre la main sur un bon petit paquet de Berrys. Mais en vain. Nous n’étions pas encore assez talentueux ni informés à ce sujet. De toute manière, c’est pour ça que l’on étudiait, non ?

Mai 1518 à Mars 1520 - Histoire à double tranchant

Ah.. Cette fille. Non, je ne parle pas de la même que précédemment. Celle-là, c’était bien pire. Vraiment.

J’ai fait sa rencontre et nous avons commencé à sortir ensemble en Mai 1504. Elle était plus jeune que moi toutefois, puisqu’elle avait environ cinq ans de moi. Du coup, elle n’était déjà, de base, clairement pas aussi mature que je pouvais l’être de mon côté. Et ça se voyait bien dans son comportement, dans sa façon de parler et de considérer les choses. Mais pour autant, elle me plaisait. Il y avait ce petit je-ne-sais-quoi qui me faisait vriller. Par conséquent, j’ai rapidement été amoureux d’elle. Et là a été ma plus grande erreur. Oui, je ne vois vraiment pas d’autre mot à utiliser pour caractériser toute cette histoire.

Bref, notre histoire a plus ou moins duré deux ans environ. Je précise bien « plus ou moins » car dans les faits, c’était clairement loin d’être le cas. Pour tout vous avouer, on s’est séparé maintes et maintes fois. Je ne saurais même pas vous dire combien, mais bien plus d’une dizaine de fois, ça c’est certain. Et encore, « séparé » est un bien grand mot. C’est elle qui décidait de partir tous les quatre matins parce que telle ou telle chose n’allait plus, qu’elle n’était plus amoureuse, ou je ne sais quoi d’autre.

Moi, bête et aveuglé par mes sentiments, j’ai tout de même fait en sorte de m’accrocher chaque jour, de ne jamais abandonner quoi qu’il arrive. Si bien que, de son côté, elle a bien pu fréquenter d’autres garçons sans se poser trop de questions, faisant tout simplement sa vie. Mais bien évidemment, vous vous doutez bien que ça n’était pas aussi facile que ça. Bien sûr que non. A chaque fois que ça n’allait pas avec l’un de ses petits-amis, elle venait se réfugier avec moi pour tout m’expliquer, me dire qu’au final ça ne pouvait être que moi et personne d’autre.

J’ai enduré, j’ai accepté, j’ai pardonné toutes ces choses pendant tout ce temps. Mais un jour, il a fallu que je dise « stop », que je la laisse mariner dans ses problèmes et dans ses idioties. Elle ne savait pas ce qu’elle voulait ? Tant pis pour elle, de mon côté je le savais très bien depuis longtemps. Et forcément, c’est lorsque j’ai décidé de mettre un terme à toute cette histoire qu’elle a commencé à se remettre en question et à tenter de me récupérer coûte que coûte. En tout cas, c’est ce qu’elle montrait.

Malheureusement pour elle, j’avais pu, de mon côté, trouver la bonne personne. Et celle-ci, c’était son ex-meilleure-amie. On l’avait tous les deux lâchée, et nous avions commencé à discuter comme des amis. Et, au fil du temps – bien que tout se soit passé très vite entre nous -, nous avons commencé à nous aimer.

A présent, c’est elle qui partage ma vie et qui fait de moi le plus heureux des hommes. Et pour ça, même si d’un côté je regrette d’avoir passé ces deux années à me prendre la tête et à me convaincre que tout allait s’arranger avec l’autre, je me dis que je lui suis reconnaissant d’avoir créé autant de problèmes, d’une certaine façon. Après tout, sans elle, je n’aurais jamais pu rencontrer Miya.

Alors, bien qu’aujourd’hui je hais cette fille, je lui dis merci. Merci de m’avoir pris pour un idiot et d’avoir joué avec mes sentiments. Car à l'heure actuelle, la porte du Bonheur m’est grande ouverte.

Avril 1520 - Âme Sœur

Cher journal,
Aujourd'hui j'ai envie et besoin d'écrire.
Je veux parler d'une personne en particulier à travers ces mots.

J’aimerais crier au monde entier à quel point je t’aime. A quel point passer tous ces jours loin de toi me fait mal…

Nous le savions hein, tu le savais que ce serait plus que difficile. Pourtant, tu m’as prise avec toi dans cette histoire. Tu sais, j’ai eu peur. Peur d’aller trop vite et de tomber en chemin. Peur que mon cœur soit brisé en morceaux et que ce soit à moi de tout recoller.

Et puis un jour, je me suis lancée. Bien qu’une petite voix me disait « tu l’auras bien cherché à jouer avec le feu », tout au fond de moi, je savais qu’une autre me disait à son tour « fonce, c’est sûr ». Certaines fois, j’étais peu fière de ne pas m’écouter, mais quand je t’ai vu, quand au loin c’est toi que j’ai vu qui m’attendais, j’ai compris. Je venais de comprendre que j’avais eu raison. Que j’avais juste eu peur, mais que je savais que c’était toi.

Bien que dans ma petite veste rouge, je voulais faire croire que j’avais confiance en moi, dans le fond j’étais stressée.

Quand tes mains ont rencontré ma peau, au premier contact, j’ai compris qu’avec toi seraient et étaient différentes. Ce soir-là, mon cœur ne battait pas vite à l’idée de commencer une histoire avec toi. Ce soir-là, j’avais besoin d’être dans tes bras, de me rendre compte que je pouvais te donner un bout de moi. Et tu sais, je n’ai pas fait que te donner un bout de moi, je me suis donnée à toi entièrement. Pas simplement par mon corps, mais par mon esprit, mon mental, mon moi intérieur.

On peut donner beaucoup de choses à quelqu’un, mais si on ne donne que la surface, jamais le fond, la personne peut penser tout ce qu’elle veut mais elle n’a rien de nous. Elle pense juste l’avoir. Bref, là n’est pas le sujet.

Tu as fait tomber les barrières. Mes peurs étaient en sécurité dans tes bras.

Ma vision d’un « moi » d’avant avait enfin changé. Toutes les petites choses auxquelles je n’avais plus osées toucher ont été réparées par tes soins. Un autre moi prenait enfin place en étant à tes côtés, de cette manière.

J’ai appris et compris beaucoup de choses. Le pire peut frapper à notre porte pour laisser le meilleur venir en suivant. « Savoir le pire ne laisse plus rien redouter », « de l’échec ressort une victoire, alors n’abandonnez pas, quoi qu’il arrive, car la réussite ne se trouve plus très loin de votre point de chute ».

Depuis ce jour, je suis enfin plus forte. Même si le bonheur ne dépend de personne, le tien passera avant le mien. Ça me fait du bien de t’avoir avec moi. Je me suis toujours dit que le personne qui serait ta copine aurait énormément de chance car tu avais tout pour être le garçon idéal. Bien que souvent je me demande « pourquoi moi ? », au fond de moi je sais que je ne pourrais plus me passer de toi avec tous ces moments vécus à tes côtés. Toutes ces habitudes.

L’amour est pour moi un sentiment à la fois tellement simple mais si compliqué à expliquer. Toi, la petite personne qui es à mes côtés depuis presque deux mois chamboule tout dans ma vie, à tel point que je veux et suis prête à te livrer tous mes secrets. Peut-être que c’est ainsi que l’on sait lorsqu’on aime véritablement quelqu’un.

Maintenant que tu as tout ça, garde le précieusement. Garde le pour toi, au fond de toi.
Je t’aime. Bien au-delà des mots.

Miya.

Août 1520 - Fiançailles au clair de Lune


C’était un dimanche, le cinq août 1506 précisément. Avec Miya, nous avions décidé d’aller passer la journée au bord de la mer pour prendre du bon temps. Il faisait incroyablement beau et chaud, si bien que le ciel ne semblait afficher aucune distinction avec le bleu de l’océan. C’était un ciel sans nuage, le genre que l’on apprécie tant et qui nous réchauffe le cœur à longueur de temps. Mais au-delà de ça, ce jour représentait bien plus pour nous deux. En effet, il s’agissait avant tout de nos quatre mois ensemble. Certes, cela pouvait être considéré comme très peu pour certains, voire peut-être même insignifiant, mais dans mon cas c’était vraiment quelque chose. Jamais je n’avais eu l’opportunité de passer ce « cap » avec quelqu’un, c’était donc relativement important à mes yeux.

Pour être honnête avec vous, je pense que j’aurais aimé pouvoir repasser cette journée en boucle jusqu’à ne plus pouvoir vivre sans. Tout était si parfait. Nous sommes en effet restés un bon moment en bord de mer, tantôt allongés sur le sable chaud, tantôt le corps quasi immergé dans l’eau, à nous regarder les yeux dans les yeux, plus amoureux que jamais. Puis, lorsque la soirée nous a montré le bout de son nez, je l’ai emmenée boire un cocktail fruité et manger dans un bon petit restaurant. Elle a pris une salade, et je me suis moi-même délecté de canard accompagné de quelques frites. Je pense que nous avons tous les deux apprécié ce dîner, quand bien même il ne relevait pas d’une haute gastronomie.  

Mais.. La chose dont elle était bien loin de se douter, c’était que j’avais absolument tout prévu. J’étais parvenu à la convaincre de venir ici pour ce jour précis sans forcément qu’elle ne se rende compte de quelque chose. Bien évidemment, elle savait pour nos quatre mois puisqu’elle en connaissait précisément la date, mais elle n’avait aucune idée de ce que j’avais en tête.

La nuit tombée, on pouvait entendre des musiciens jouer devant les nombreux touristes, ainsi que des gens rigoler et passer un bon moment ensemble. Nous, de notre côté, nous marchions main dans la main, prêts à repartir pour rentrer. Toutefois, c’est à ce moment-là que j’ai décidé d’accélérer les choses. Alors que nous étions légèrement éclairés par les quelques lampes se trouvant dans la rue, j’ai sorti une petite boite de ma poche et me suis agenouillé devant elle en levant lentement la tête. Rien qu’à ce moment, sans que je ne prononce un seul mot, je pouvais dores et déjà voir la brillance de ses yeux. C’était absolument comme je l’avais imaginé. Et, à peine quelques secondes après, j’ai découvert le contenu de cette boite rouge, libérant l’éclat d’une bague en or blanc serti d’un améthyste en lui déclarant ces quelques mots : « Mon bébé, veux-tu m’épouser ? »

Elle s’est mise à pleurer, le souffle coupé, sans dire quoi que ce soit. Mais je n’étais pas inquiet, bien au contraire. Je savais très bien quelle était sa réponse, et elle me la confirma bien assez tôt en me laissant déposer la bague sur son annulaire gauche. C’est ce jour-là que notre union a véritablement pris un tournant. Mais ce n’était encore qu’une étape. La prochaine restait bien évidemment le mariage. Car oui, à ce moment-là, même après seulement quatre mois, je savais indéniablement que c’était avec cette femme que je voulais passer le restant de mes jours.

Cette femme, je l’aime. Du plus profond de mon cœur et pour l’éternité.

20 Mars 1522 - Le bouleversement

Cela fait un long moment que je n'ai pas écrit dans ce journal... Un an et demi, déjà ? Le temps passe vite. Pour être honnête, je n'avais rien de plus intéressant à raconter ici. Ma vie demeurait assez banale jusqu'à maintenant, en particulier depuis mon emménagement sur Star-Top Nation, en Août 1520. J'y travaille en tant qu'employer de bureau du service public, dans le domaine financier, directement pour le compte de l'île en elle-même et donc du Président Ohmama. Malheureusement, je dois dire que j'ai déjà vraiment fait le tour. Les journées sont toutes aussi longues que les autres, il m'est réellement difficile d'occuper mes journées tant la charge de travail est faible depuis un moment. Mais bon, en soi, là n'est pas mon plus gros problème. Car oui, aujourd'hui, il s'est passé quelque chose de très important dans ma vie.

Elle est partie. Elle m'a laissé, comme ça, vraisemblablement pour un autre, après deux années passées main dans la main. Je me sens vide, anéanti, brisé en mille morceaux. Cela peut peut-être sembler ridicule, dit comme ça, sachant que j'ai encore toute la vie devant moi pour trouver quelqu'un d'encore mieux, de plus compatible avec moi-même. Mais... J'y ai vraiment cru. En seulement deux ans, je me suis donné plus qu'en 26 ans de vie. Enfin, c'est un moment très délicat à passer afin que je puisse me reconstruire. Cela va prendre du temps, mais j'y arriverai, hein ? On y arrive toujours, je crois.

J'ai besoin de temps.

Août 1522 - Changement de vie

Me voilà arrivé au bout de mon histoire passée. Il s’est passé énormément de choses qui m’ont permis de reprendre ma vie en main et d’en faire réellement ce que je souhaite. J’ai donc décidé d’arrêter toute cette « banalité » et de m’aventurer sur d’autres terrains. Ce monde est empli de mystères encore non élucidés, et je suis bien déterminé à faire quelque chose de grand, qu’importe la façon dont tout se termine, à la fin.

Malheureusement, tout n'est pas encore aussi clair que je le souhaiterais, dans mon esprit. Cela fait maintenant 5 mois que je suis seul et j'ai cette espèce de colère qui pèse sur mon cœur. Quoi que je fasse, et même si elle s'atténue légèrement avec le temps qui passe, elle reste toujours présente et je n'arrive pas à m'en débarrasser. Malheureusement, il arrive qu'elle prenne le dessus. Et... Même si j'aimerais que mes sentiments disparaissent réellement, je ne peux qu'avouer que je l'aime encore.

Septembre 1522 - Attentat

Je n'avais pas prévu d'écrire davantage mais ce qu'il vient de se passer est horrible. Star-Top Nation a subit un attentat de la part des Révolutionnaires, une attaque monstrueuse en plein cœur de CityGroup et de la Place Morgan. J'ai vraiment eu de la chance car je ne me trouvais pas sur mon lieu de travail à ce moment-là. Si ça avait été le cas, j'aurais sans doute péri sous les décombres ou pris dans des explosions gargantuesque. Quand je suis retourné sur les lieux pour voir ce qu'il en était, tout était détruit. Le bâtiment dans lequel se trouvait mon bureau était réduit en cendres et... Il y avait des dizaines de corps étendus sur le sol, certains calcinés, d'autres démembrés. J'ai fait de mon mieux pour venir en aide à ceux qui semblaient encore capables de respirer et conscients, mais je n'ai pas pu faire de miracle. Après tout, je ne suis ni médecin, ni quoi que ce soit d'autre. Simplement un employer de bureau, rien de plus. Mais... Ce n'est pas ce que je veux. Je souhaite être utile dans ce genre de situations, pouvoir aider les personnes en difficulté en cas d'agressions, de vol, ou d'attentats comme aujourd'hui. J'en ai juste marre de n'être qu'un simple habitant, un simple civil sans aucun intérêt, auquel on n'accorde aucune reconnaissance particulière. Alors, pour assister les autorités dans leur combat quotidien, pour faire concurrence à nos héros les Contre-Amiraux Joey Marciano et Sakazuki D. Faust, je veux sauter le pas.

Aujourd'hui, je veux faire ce qu'il me semble juste, je veux pouvoir faire quelque chose qui importe. Et pour y parvenir, je dois devenir quelqu'un d'autre. Je dois devenir... quelque chose d'autre. Je suis Vigilante.

Sylar/Lucifer
26 ans

Tokimune Susumu - Shirogane no Ishi

DC Faust


Rinaba Zakuro
[Terminée] Présentation Kadan Seitetsu (DC Faust) 7fb73af93e7624cb4314ef979afad6764875c380
[Terminée] Présentation Kadan Seitetsu (DC Faust) T4gg
Loca. :
Balgimoa
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0 B
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200 000 000

Feuille de personnage
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Rinaba Zakuro
Vigilante
posté le Lun 5 Oct - 11:45
Présentation terminée !
PsychAli
[Terminée] Présentation Kadan Seitetsu (DC Faust) 1570646720-hover-psychali
Loca. :
Balgimoa
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230.000.000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
[Terminée] Présentation Kadan Seitetsu (DC Faust) Left_bar_bleue6/100[Terminée] Présentation Kadan Seitetsu (DC Faust) Empty_bar_bleue  (6/100)
PsychAli
The 8-Legged Detective
posté le Mar 6 Oct - 23:06
Bonsoir bonsoir ! Je n'ai pas la chance d'inaugurer le premier Double Compte malheureusement, mais je m'occupe du deuxième c'est pas plus mal. Et quoi de plus mal qu'un justicier masqué pour un DC ! Concept intéressant et original, à n'en pas douter.

Bon, ne perdons pas de temps, passons directement au commentaire, et commençons donc par la forme... Pour laquelle je n'ai pas grand chose à dire, finalement, tu gère très bien la mise en page, c'est très sobre mais agréable à naviguer, et à s'y retrouver. Tu écris bien, de manière efficace, concise, pratique, on sent que tu maîtrises la plume, surtout que pour le coup tu as décidé d'utiliser un procédé narratif particulier que tu sembles réellement maîtriser (malgré quelques coquilles dont je parlerai plus tard).
Pour ce qui est de l'orthographe, il n'y a rien à redire également, deux ou trois fautes inattentions mais vraiment rien de dramatique.

Passons maintenant au vif du sujet, ce qui fait la force de ta fiche et son originalité. J'ai vraiment aimé ta description mentale, le fait de laisser parler des personnages proches de Kadan pour le décrire c'est simple comme solution, ça marche, et ça permet de sortir du piège et la difficulté de la description mentale de son personnage. Franchement, bien trouvé.
Autrement, avoir fait de l'histoire de Kadan un journal écrit, c'est simple, mais efficace, surtout lorsque tu maîtrises autant le registre. Mais c'est aussi là que se trouve la limite de ta fiche, je dirais, je m'explique : on suit ton personnage dans ses pensées de son enfance au présent, et je comprends que l'idée derrière Kadan c'est qu'il soit une personne normale à l'histoire normale et aux relations normales, mais je ne suis pas sûr qu'on y gagne à passer autant de temps sur sa vie au total. Le problème c'est que de toute ta fiche, je n'ai pas l'impression d'avoir à faire à un personnage d'OPA, à part lorsque tu parles de Star-Top Nation et des événements récents... Et ce passage aurait gagné à être bien plus long, bien plus détaillé, c'était ce qui m'intéressait le plus, de savoir comment ce personnage lambda agirait lorsqu'il est transporté dans la folie et l'absurdité de l'univers du forum ! Je m'emballe, mais tu as compris l'idée.

Et d'ailleurs, en restant sur le sujet du contexte du forum, je trouve ça un peu dommage, qu'il n'y ait qu'un seul PNJ du forum dans ta fiche. Même à l'événement de Star-Top, tu ne parles que de PJ (et ça c'est un très bon clin-d'oeil d'ailleurs, j'ai kiffé), mais pas de Fujita par exemple, ou d'Akira.
Autrement, les quelques PNJ que tu as créé, qui servent d'entourage à Kadan sont, pour moi, assez plats malheureusement, à part peut-être ceux qui ont eu le droit de parole dans la description mentale. Il y a un début de caractérisation sympathique lorsque tu parles des entraînements que Kadan faisait avec ses cousines, tout de même, et ça, on apprécie.

Pour conclure, tu as une idée de base vraiment stylée, autant sur la forme que sur le fond, qui n'aime pas un bon justicier masqué. Malheureusement, je ne pense pas que tu pousses le concept assez loin. Il n'empêche que je suis vraiment pressé de voir Kadan à l'action, ainsi que de le voir interagir avec nombres de nos PJ qui rentreraient bien dans ton délire !

C'est par les pouvoirs qui me sont conférés que je te valide donc avec 6100 dorikis en tant que Civil ! Tu n'as aucune prime à ta tête puisque rien ne le justifie dans ta présentation. Amuse-toi bien avec ton Justicier !
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