One Piece Anarchy
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilFAQRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexionPortail



 
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
Waiji
∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée L8tf
∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée 2ffa
Loca. :
XXX
Prime :
350.000.000 B
Berrys :
1.031.600.000

Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée Left_bar_bleue3/100∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée Empty_bar_bleue  (3/100)
Waiji
The Savage
posté le Ven 30 Aoû - 22:48

Nattō
Nattō — 19 ans  — M — Pirate — The Savage
métier : Aucun
groupe : Pirate
rêve : Devenir épéiste #1
rang : Savage Nattō
grade : Second des Creeps
espèce : Humain
lieu de naissance : Shimotsuki, East Blue
première île : n/d
armes : Son meitō et un tantō
fruit du démon : Aucun

DESCRIPTION PHYSIQUE — MENTALE
— Parle comme un sagouin avec un vocabulaire très familier et peu riche.

— Souhaite devenir l'épéiste #1 en parfaite autodidaxie.

— Ne sait pas d'où il vient ni qui sont ses parents.

— Souhaite imposer son flow sur les mers.

— Passe la majeure partie de son temps à se battre ou à picoler, voire les deux.

— Déteste qu'on lui impose quoi que ce soit et aime s'embrouiller par esprit de contradiction.

— Provoque absolument tout le monde en duel à propos de tout et n'importe quoi.
Nattō est cool. Nattō est fort. Mais Nattō... N'est vraiment pas facile à vivre. Tumultueux, désinvolte, il est du genre très pragmatique, peut-être même trop. Impossible pour lui de suivre un quelconque plan : agir avant de réfléchir est son mot d’ordre. Mais la légèreté avec laquelle il appréhende la vie n’est pas à confondre avec une quelconque forme de négligence. Loin d’être stupide, ou d’être lâche intellectuellement, il a juste sa propre façon de réfléchir, et celle-ci passe par l’action. Souvent, il a besoin de se retrouver confronté à un danger mortel de face avant de trouver la solution pour en venir à bout. C’est certainement ce qui fait sa marque de fabrique.
« Watashi wa dansei ni ōkami ga inu ni nandearu kadesu. » — litt. « Je suis aux hommes ce que le loup est aux chiens. »

Selon ses propres dires, il est de ceux qui jouissent de la vie pleinement, ceux qui ont une réelle consistance, et qui en finalité existeront aux yeux du monde : les indomptables. Croire en soi-même avant toute chose, c’est ce qui permettrait, par la force de l’esprit, de se tirer hors de l’inexistence pour enfin prétendre à être, à défaut d’avoir, car l’Homme a troqué son essence même en échange d’une stabilité confortable, de même sorte que certains loups ont perdu leur instinct sauvageon au profit de la caresse et de la pâtée pour chien.  

C’est pourquoi il s’évertue à crier au monde entier qu’il sera l’épéiste #1, non seulement du monde, mais aussi de l’histoire de l’humanité. Il croit fermement en ce rêve qui le meut dans chacune de ses actions au quotidien, et qui l’épanouit un peu plus chaque jour. Déraisonné, très certainement, il court après Luther dans le but de faire tomber sa tête. Depuis lors, il vogue sur les mers, sans aucun sens de l'orientation, à la recherche d'épéistes de renom avec la ferme intention de les défier, et surtout de les vaincre. Quelques célébrités locales en ont déjà fait les frais, tant Marine que membres de l'Underworld, lui causant quelques torts et surtout lui valant d'être primé, ce qui n'a pas fini de l'amuser.

Lui qui ne croit en rien, pas même en l’amour ni aux valeurs telles que la justice, le bien, le mal, ou encore aux institutions telles que le Gouvernement mondial, il n’a plus qu’un vieux rêve s’étant immiscé en son esprit on ne sait comment afin de s’accrocher à la vie aussi fermement que possible. Il brandit son arme face à l'adversité coûte que coûte, son esprit étant aussi rigide et affûté qu'une lame de samouraï.

« Orezu, magarazu, yoku kireru. » — litt. « Ne plie pas, ne rompt pas, tranche bien. »

TEST-RP LIBRE



∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée Mugen.%28Samurai.Champloo%29.full.149641


Aaaaaaaaaaaaaaaah... !

Rien de tel qu'une bonne bière après avoir pris la mer aussi longtemps. Outre le fait que je sache à peine nager, je suis un piètre navigateur, alors autant dire qu'à chaque fois que je prends le large, c'est l'angoisse. Et comme j'ai la fâcheuse manie de tout becter en trois jours, c'est toujours autant la galère : aucune idée de combien de temps je vais devoir tenir avant d'avoir la première terre en vue, combien de temps la faim va m'assaillir, l'ombre de la mort me guettant et planant au-dessus de moi comme une épée de Damocles. Pis j'ai encore moins idée d'où je vais bien pouvoir foutre les pieds. La dernière fois, vous allez pas me croire, j'suis tombé sur une île où y'avait que des travelos ! PWAHAHAHAHA ! J'vous jure ! Le royaume des tapettes ! Et dire que Grand Line est censé être la plus dangereuse des sept mers ! Mon cul ! Heureusement, j'ai pu faire le plein rapidement, et j'suis reparti illico.

Anyway. Là, j'viens d'arriver sur une île Cactus. A mon départ des blues, on m'avait dit que c'était certainement la première île sur laquelle j'allais tomber, pourtant, et bien, c'est la dernière. Est-ce que j'aurais pris Grand Line à l'envers ? Impossible... En tout cas, me voici, affamé, assoiffé surtout, et prêt à rattraper le temps perdu ! Ainsi, à peine avais-je posé pied sur la terre ferme, que je me ruais déjà jusqu'au premier bar en vue. Et coup de bol, sur cette île, c'est pas ce qui manque. Il fallait au moins ça pour étancher ma soif jusqu'au bout !

Avachi dans un fauteuil, les bras croisés derrière la tête, les jambes attablées, je me laissais porter par la sensation d'enivrement. L'appétit faisait gronder mon estomac, que je continuais de noyer sous des flots de céréales liquides. Et à mesure que la mousse houblonneuse emplissait mes vaisseaux sanguins, je m'endormais petit à petit, caressé par les rayons du soleil depuis la terrasse du bar. Y'a pas à dire, c'est bon la vie d'pirate.


∞∞∞


∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée Ifdo


Quelques heures ont passé, des cris festifs viennent m'arracher aux bras de Morphée. Mes yeux tout pâteux se rouvrent et je m'étire afin de me réveiller de cette sieste impromptue. Bâillant aux corneilles, je lâche une haleine de chacal mêlant une faim de plusieurs jours à une hygiène buccale laissant à désirer, le tout exacerbé par le temps que je viens de passer bouche fermée. De quoi tuer sur le coup n'importe qui ayant le malheur de croiser ma route... Et ça tombe bien. La moue boudeuse, je me tourne vers ceux qui m'ont tiré hors de mon sommeil. A deux tables d'ici, un groupe de cas sociaux un peu trop bruyants me cassent les oreilles à hurler. La tête dans le cul, l'estomac dans les talons, je me gratte les couilles en me relevant, avant de sentir mes doigts, tout en me dirigeant en direction de la fameuse table.

— Bwahahaha ! Comment on lui avait mis une belle raclée à l’époque j’me souviens !
— Lui encastrer une boîte aux lettres dans le crâne, faut le faire capitaine ! Shihihihihi !
— Bohohoho ! Arrêtez, vous allez me faire rugir
Oye. Vous allez la fermer ou bien ?

Stoppé dans leur fou rire, les truands se tournent alors vers moi l’air interrogateur. Sabre dégainé, lame posée sur mon épaule, et les sourcils froncés, je les prends de haut avec un regard des plus noirs, montrant mon mécontentement. Mais après m’avoir scruté de haut en bas puis de bas en haut à maintes reprises, les quatre armoires à glace se remettent à rire de plus belle, tapant sur la table et faisant deux fois plus de bruit qu’à mon arrivée. Soudain, les quatre se lèvent en même temps, inversant la tendance puisque cette fois-ci, c’est eux qui me regardent de haut d’un air menaçant.


— Bwahahaha ! C’est à nous que tu parles, l’avorton ?, s’entiche le plus proche de moi.
— Shihihihi ! On lui encastre quoi dans le crâne à celui-là ?, rajoute l’homme à sa droite.
— Bohohoho ! J’en connais un qui cherche la bagarre, fit le capitaine.
— LA BAGAAAARRE ?!, fit le dernier.

Le quatrième bonhomme, de l’autre côté de la table par rapport à moi, posa alors le pied sur cette dernière avant de l’encastrer dans le sol sous son propre poids afin de marcher jusqu’à moi sans avoir à la contourner. Au vu de son expression faciale, il ne semblait pas comprendre grand chose, ayant uniquement réagi au mot « bagarre ».
Bien plus grand et costaud que les autres, qui ne font déjà pas rire les mouettes, il avance lentement jusqu’à moi, une veine colérique apparaissant soudainement sur sa tempe, menaçant d’éclater à tout instant. Son capitaine l’attrape par l’épaule pour le retenir quelques instants.

— Tout doux, Kenny. Tu vas encore casser le bar, bohoho.
— Pas bagaaaaaarre ? Sniff…
Ecoutez. Même si vous faites quinze mètres de haut, ça va pas m’empêcher d’vous rétamer la gueule. Vous avec déjà niqué ma sieste, et vous êtes en train de m’couper l’appétit avec vos sales tronches, alors que j’allais justement me commander un casse-dalle. Donc fermez-la, et tout se passera comme prévu.

Inhabitués à tant d’insolence, les guss me lâchent un ∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée 615338037341192206 des familles, avant de se craquer les doigts.

— Kenny, fais-moi plaisir, essaie de ne pas tout ravager, dit le capitaine en lâchant son épaule.
— BAGAAAAAAAAAAAAAAAAAARREEEEEEEEEEUUUUUUUUHHHH !, dit-il en se ruant sur moi.

L’épaule recouverte d’une plaque métallique, il me charge avec la ferme intention de m’aplatir comme une crêpe. Mettant mon sabre en opposition, à l’horizontale devant moi, je plaque ma main gauche contre le plat de la lame de sorte à parer l’épaule à l’aide des deux bras. Il me traîne néanmoins dans le bar tout entier, faisant déraper mes getta contre le parquet jusqu’à me heurter contre le mur quelques mètres derrière. L’impact creuse alors un trou formant ma silhouette dans la paroi murale, tandis qu’un petit nuage de poussière s’élève. Tous les témoins, jusqu’alors occupés à discutailler, se tournent vers nous, intrigués, à la fois surpris et exaltés à la vue d’un combat.

Mais le bourrin ne s’arrête pas là. M’empoignant à deux mains par les épaules, il m’élève dans les airs avant de m’encastrer dans le sol après m’avoir fait voltiger au-dessus de sa tête en arc de cercle. Il enchaîne alors avec plusieurs frappes dignes d’un singe enragé, à base de coups maladroits mais dotés d’une force brute hallucinante, rendant chaque impact d’un fracas sans égal. Gisant au sol, le visage ensanglanté, je serre les dents, la haine commençant à m’envahir petit à petit. Le regard plus noir que jamais, je me relève en essuyant le filet de sang qui s’échappe de ma lèvre inférieure.

∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée S34g

— FILS DE PUTE J’VAIS TE TUER.

Armant les deux poings au-dessus de sa tête avec l’intention de m’asséner un coup marteau, le gigantesque guerrier saute, et retombe en secouant le bâtiment entier. Malheureusement pour lui, c’est d’une roulade improvisée que je m’esquive, me réceptionnant dans son dos au moment où il posait pied à terre. Armant un revers du droit, je viens lui sectionner l’arrière de la jambe droite en profitant qu’il amortisse encore son atterrissage. J’arme ensuite un second coup avec la ferme intention de l’éliminer, quand tout à coup, un coup de feu résonne à travers la pièce. Sur une intuition, je stoppe net mon mouvement avant de décaler ma tête sur le côté, laissant le projectile de plomb passer juste à côté de ma paumette. L’un des compagnons du bourrin semblait avoir compris qu’il allait mourir s’il n’intervenait pas, et son tir lui aurait permis d’avoir une ouverture si je ne l’avais pas justement handicapé au niveau de la jambe.

Ce dernier, se retournant comme il peut, tente à nouveau de me charger, l’épaule en avant. Joignant les deux mains sur le pommeau de mon sabre, je viens amener la lame en arrière au-dessus de mon épaule gauche, avant d’abattre ma lame aussi fort que possible contre la plaque métallique recouvrant son épaule avec laquelle il tente de charger une nouvelle fois. Si la première charge ne m’a à peine laissé le temps de mettre mon sabre en opposition, j’ai cette fois-ci le temps de frapper de toutes mes forces. La différence de résultat se fait sentir, puisque son corps se scinde littéralement en deux, lui ainsi que sa plaque métallique dont il semble être si fier. Une gigantesque gerbe de sang se répand alors sur le parquet déjà bien usé du pauvre bas dans lequel notre joute prend place.

T’as p’têtre les épaules, mais moi j’ai les couilles. Rrrk, peuh.

Un molard quelque peu ensanglanté sur sa dépouille pour bien lui manquer de respect, et je me tourne vers ses petits copains, à la fois ébahis et enragés par la scène dont ils viennent d’être témoins.


— OH PUTAIN ! IL A TUÉ KENNY !
— ESPÈCE D’ENFOIRÉ !!!
J’ai déjà entendu ça quelque part…
— LES GARS ! ON LUI FAIT SA FÊTE !

Désormais pris au sérieux, je me retrouve face à trois adversaires en même temps. De quoi m’émoustiller… Se positionnant avec parcimonie, les trois combattants semblent mettre en place une stratégie. L’on sent immédiatement qu’ils ont l’habitude de combattre ensemble, et que, même s’il manque un gars à leur formation, ils ne semblent pas très désorientés. De quoi rajouter du piment ! Les voilà finalement qui approchent. Le premier se rue sur moi, et enchaîne une série de coups de poings, visant à ne pas me laisser d’ouverture. Je remarque qu’il n’essaie pas vraiment de me toucher, mais plutôt de me forcer à me déplacer tout en oubliant ses deux petits copains. Ne souhaitant pas les laisser installer leur jeu, je décide d’encaisser expressément l’une de ses patates, pour contrer d’un coup de sabre bien plus dévastateur.

C’est alors que l’un de ses camarades apparaît, surgissant de nulle part avec sa jitte afin de stopper mon sabre à mi-chemin. Réagissant au quart de tour, je place ma main gauche au niveau des lombaires afin de choper le pommeau de mon tantô, arme planquée dans l’extrémité du fourreau que je porte sur le dos, afin de donner un coup vicelard à celui qui s’apprête à m’envoyer une nouvelle patate… Mais c’était sans compter sur le capitaine qui, resté à l’écart, avait bondi afin de tirer depuis les airs, guettant la moindre de mes contre-attaques pour l’interrompre d’un coup de feu. M’interrompant à nouveau de justesse, ses deux projectiles me chatouillent la joue, venant ajouter deux nouvelles entailles autour de la première déjà présente. Contraint de reculer, je bondis en arrière afin de prendre mes distances.

∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée Pbxk

— Si c’est comme ça…

Contrarié, je rengaine mon tantô. Mon ventre se met soudainement à gargouiller, suffisamment fort pour résonner au travers du bar malgré les cris enjoués du public. Je chope alors le gâteau d’un mec juste à côté de moi, lequel tente de le retenir, mais finit par lâcher après que je lui ai lancé l’oeil du tigre accompagné d'un « donne-moi ça fdp ».

Nomnomnom… N’avez n’la chance que n’ai faim, sinomnomnom, n’vous aurais déjà niqué vot’mère à tousnomnomnom.

∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée N1q9


J’engloutis le gâteau en deux trois bouchées, avant de reprendre de plus belle.

Maintenant ça va déjà un peu mieux. Gare à vos culs putain !!!

Enragé, alcoolisé, et toujours plus ou moins affamé, il n’en faut pas plus pour que je perde les pédales. Bondissant à grandes enjambées jusqu’au porteur de la jitte, je viens donner un puissant revers horizontal du droit à l’aide de mon sabre. Le coup n’avait pas pour vocation de le toucher, mais simplement de le contraindre à parer grâce à son arme. Dès que les deux objets métalliques entrent en collision, j’en profite pour pousser soudainement, balayant sa garde sur le côté, de sorte à lui expédier un coup de pied circulaire du gauche dans la continuité de mon geste, le coup lui faisant claquer la mâchoire en plus de le renverser sur le côté. Sonné, il ne se relèvera sûrement pas tout de suite. Tandis qu’un nouveau coup de feu part depuis ma gauche, je repose le pied au sol et tranche dans sa direction, scindant la balle en deux tout en projetant une lame d’air fusant jusqu’à lui. Les yeux ébahis face à une telle manifestation d’énergie, il tente une évasion sur le côté, se faisant néanmoins entailler à l’épaule.

Je me tourne désormais face au troisième, qui, restant à distance, ne se sent pas en confiance. En effet, il n’est pas armé, et ses deux coéquipiers, blessés, ne sont pas encore en position. Il semblerait que sans leur petite formation, ils ne soient que de petites frappes. Il est temps de leur rappeler à qui ils ont à faire. Levant le sabre au-dessus de ma tête, je viens planter la pointe du sabre violemment dans le sol devant moi. Pourtant, à l’impact, aucun dégât sur le sol ne se manifeste : c’est comme si le parquet était dur comme le diamant. J’avais pourtant bel et bien frappé avec une force énorme… Mais tout à coup, une gigantesque lame d’air surgit du sol depuis le dos de mon opposant, le surprenant totalement, et l’envoyant immédiatement au tapis. Déjà fini… ?

ALOOOORS ! YAKWA MAINTENANT ?! KISSÉ QUI VEUT S'LA DONNER ?! VENEZ PENDANT QUE CHUI CHAUD !

Abasourdis, les quelques loubards encore présents dans le bar, n'ayant pas fui en voyant la dangerosité du combat prenant place pendant leur apéro restent silencieux face à mes provocations. Il semblerait que ma petite démonstration leur ait embouché plus d'un coin. C'est moi l'boss, et ils semblent l'avoir bien compris. Bombant le torse, je me dirige désormais en direction du comptoir afin de réclamer de quoi me sustenter. La bugne, c'est cool, mais ça creuse. C'est alors que la porte d'entrée claque, et qu'une silhouette traverse son encadrure. Une espèce de geek à lunettes s'invite à la fête, cigare en main, laquelle, recouverte d'un gant de cuir de haute facture, semble ne pas être n'importe qui. Un fils à papa peut-être ?



∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée Rab8

— Et bien, il a l'air d'y avoir de l'ambiance par ici.

Debout à l'autre bout du comptoir, il n'a même pas besoin de commander qu'on lui sert un verre de vin. D'un petit geste, il fait signe à ce qu'on lui en serve même un deuxième.

— Ma foi, j'espère ne pas gâcher la fête... Mais j'ai horreur qu'on se batte dans mes établissements. Qui va donc régler la facture pour les réparations ? Mhm ?, dit-il en remettant ses lunettes. Kukuku... Je vous taquine. J'imagine qu'un vulgaire bandit tel que vous n'a pas un sous. Allez, je vais me montrer sous un beau jour. Avant que je ne vous embarque pour vous livrer à la Marine, que diriez-vous d'un verre de vin ? Offert par la maison !
HEEEEEIN ? T'es qui toi ? Tchip. Retourne cirer tes pompes de richou avant que j't'éclate la gueule comme à ces trois bouffons. Ou quatre ? Bref, j'suis pas à un connard près, comme tu peux le constater. Et m'oblige pas à rallonger la liste.
— Kukuku... Les idiots de ton espèce sont sacrément prévisibles...
T'as gagné, Michou le Richou. J'vais t'encastrer la gueule dans ton propre fion.

Y s'prend pour qui l'autre dep' là ? Vas-y que j'vais lui défoncer la gueule. Les autres connards m'ont déjà bien saoulé, et j'ai toujours pas eu le temps de grailler, bordel ! Ça va pas du tout... Direct, je dégaine mon sabre, et me voilà reparti pour une énième rixe. Je traverse le bar d'une course effrénée, le visage déformé par la hargne. Celui-ci, j'vais pas l'louper...

Soudain, lors d'un de mes pas, le sol semble s'effondrer sous mes pieds. Alors que le binoclard venait de taper du pied, l'une des planches du parquet coulissa, de sorte à laisser un trou par terre, juste là où j'allais prendre appui. Déséquilibré, je tombe vers l'avant, me réceptionnant avec grande agilité. Après tout, je suis du genre acrobatique, je me casse la gueule H24. Mais alors que je terminais ma roulade improvisée, c'est une autre planche qui coulisse, cette fois-ci en sortant de ses gonds pour être projetée à grande vitesse sur moi. N'ayant pas le temps d'esquiver pleinement, je me tourne en mettant mon bras gauche en opposition. La planche m'envoie toutefois valdinguer jusqu'au mur opposé, avec plus de fracas que le coup d'épaule de monsieur Bagarre. Nan mais sérieux, qui c'est ce type ?!

Oh mais toi, toi j'vais pas t'louper toi !!!, crie-je, avant de repartir à la charge de plus belle.

∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée O2uo

Dans cette course effrénée, je compte cette fois-ci y aller sérieux. Scrutant le moindre de ses gestes, je ne me ferais plus surprendre par ses petites fourberies. Il a beau connaître le bar par coeur, jusqu'au moindre planche du parquet, il ne peut rien contre le futur épéiste #1 mondial. Je lui envoie une lame d'air pendant mon approche, afin de l'occuper et l'empêcher d'entamer ses petits tours de passe-passe. Buvant tranquillement son verre de vin d'une main, il tend l'autre vers moi avec grâce, son cigare entre les doigts, et stoppe net ma lame d'air comme s'il n'en était rien. Du haki ? Pas la moindre idée. Soudain, il pose son verre et tape du poing sur le comptoir, à en faire vibrer les murs. Une bouteille mal posée tombe alors sur l'étagère d'en dessous, restant couchée. La liqueur qu'elle contient se met à couler, remplissant une petite bassine posée juste en-dessous. Celle-ci est posée derrière le comptoir, sur une serviette suffisamment longue pour que le binoclard puisse s'en saisir. Elle tombe lorsqu’il tire la serviette jusqu’à lui, venant actionner un levier situé juste en-dessous. Et tandis que j’arrive à seulement quelques pas de lui, une trappe s’ouvre juste au-dessus de moi, laissant surgir un gigantesque tonneau m’arrivant par la droite.

Par réflexe, je tente de stopper ma course afin de laisser passer l’énorme masse devant moi. Malheureusement, je me prends l’angle d’un des cercles métalliques situés aux extrémités, me faisant renverser comme un enfant pas sage n’ayant pas regardé avant de traverser. Le tonneau débaroule jusqu’au mur, emportant quelques idiots inattentifs sur sa route, tandis que je me relève, avec la ferme intention de l’atteindre pour de bon cette fois-ci. Emporté par la rage, je ne fais pas attention à l’énorme impact causé par le tonneau lorsqu’il heurte le mur, et encore moins aux petits craquements qui s’en suivent. Enfin arrivé à deux pas de mon ennemi, j’arme mon sabre, prêt à lui décocher la frappe de ma vie, lorsque tout à coup, le lustre se décroche du plafond, tombant pile poil entre lui et moi. L’extrémité du lustre s’encastre dans une petite encoche ornant le parquet, actionnant un mécanisme qui se dévoile littéralement sous mes pieds : le sol cache une gigantesque trappe, qui s’arrête juste là où se tient le Richou. Et moi voilà bêtement emporté avec le lustre dans un étage sous-terrain, une espèce de cave remplie de rats où des chaînes sont accrochées au mur.

Atterrissant lourdement, je me réceptionne tant bien que mal, le contraste de luminosité m’empêchant d’y voir clairement. Je lève alors la tête pour voir ce qui semble n’être que l’unique sortie, tandis que l’autre enfoiré de binoclard se penche au-dessus du trou pour me narguer.

∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée Lsue

— Kukukuku… Le jour où les pirates de ta trempe pourront faire leur loi dans MA ville est bien loin d’être arrivé, fait-il en remettant ses lunettes. Il se redresse alors. Mes chers concitoyens, je vous laisse le loisir de mettre ce malotru derrière les barreaux. Sa prime servira à couvrir mes notes de frais, kukuku…
— Bien reçu, monsieur le Maire !
, disent en choeur les habitués du bar.
— Oulaaaaah, je vois qu’il est déjà quatre heures ! Il est grand temps que je file.

L’homme s’éclipse alors, tandis qu’une ribambelle de bonshommes descendent dans le sous-terrain pour me capturer. Immobile, je regarde dans le vide face à moi, perplexe. Quelque chose cloche. Je viens de me faire soulever par l’autre fils à papa là ? Pas possible. Nan, vraiment, j’peux pas l’croire…


Yazz'
TON ÂGE
Tqt
TON AVATAR ET SON MANGA
Mugen, Samurai Champloo
CONNU LE FORUM ?
Chai plus :hh:

avatar
Invité
Invité
posté le Sam 5 Oct - 20:35
Salut le p'tit nouveau. :harold:

Bon, par où commencer ? Par la fin ? Comme Nattō sur Grand Line ? Ouais non, si je te donne tes dorikis en premier tu liras pas mon commentaire..

Du coup, sacré personnage que tu nous ponds là, son style est clairement affirmé et ta fiche est totalement imprégnée de sa personnalité. C'est vrai qu'on est prévenus dès le début : "Parle comme un sagouin avec un vocabulaire très familier et peu riche.", ça ne loupe pas ! Personnellement j'ai souvent du mal avec ça, mais je dois reconnaître qu'ici c'est bien fait et c'est tout à ton honneur! Et finalement je suis même curieuse de voir la suite.

En tout cas, le caractère du perso et ses actions sont cohérentes tout au long du test rp, tout comme l'est la narration, qui n'est ni plus ni moins que la pensée de Nattō finalement. Comme tu gardes exactement le même vocabulaire/caractère dans la narration, ça s'y prête très bien. C'est décidément loin d'être le personnage le plus réfléchi mais sa spontanéité et sa témérité en font un individu tout aussi dangereux.

Après au niveau du background d'OPA, j'avoue que l'intervention de Simpsons me laisse un peu sur ma faim, même si j'imagine bien que c'est intentionnel. Est-ce qu'il s'immisce seulement à cause de la bagarre déclenchée dans son établissement ou cela va-t-il plus loin que ça ? Il est bien joué en tout cas, totalement dans l'idée du PNJ établi pour Whiskey Peak, c'est bien que tu aies su garder la ligne de conduite que l'on a voulu lui donner !

Un petit mot sur la forme, comme je l'ai dit je suis pas la plus grande fan du vocabulaire super familier utilisé dans les présentations en général mais ça ne reste qu'une préférence personnelle et à côté de ça aucune faute ne m'a sauté aux yeux ! Ca facilite allègrement la lecture, les phrases sont bien construites tout au long de la fiche, excepté une ou deux à tout casser qui peuvent être un peu trop longues pour assurer la bonne compréhension de ces dernières.

Enfin bref, ça relève du très petit détail à ce niveau. Petit + pour les images et la musique qui sont également bien calées et qui participent à la fluidité de la lecture.

Félicitations le newbie, tu es validé à 10k dorikis et avec une prime de 55 millions sur la tête. File faire ta Vivre Card et Nattō viendra la valider... ah, oups.  
∞ Ma vie c'est l'bordel comme ma tignasse - Terminée
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: