One Piece Anarchy
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La grande Ascension {FB-Solo}
Royce Rackham
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Feuille de personnage
Jauge d'intrigue personnelle:
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Royce Rackham
Commandant Khan
posté le Sam 10 Avr - 20:30


La longue traversée, perdu, dans ces terres stériles, l’ascenseur émotionnel est énorme. L’orage, avant la grande tempête, il te fallait braver celle-ci pour ne serait-ce qu’entrevoir l’espoir de survivre. Survie un mot que tu ne cessais sans relâche de rabâcher à tes chers collègues, dans ce moment de rétrospection, les larmes ne fut difficilement tenable. Ce pressentiment, comme tu n’en avais jamais ressenti, la mort était donc proche.

Le visage asséché, ta peau pelant à chaque éclat de rayon de soleil, ce rayon si puissant qu’il soit, revulsait tes yeux, la perte de conscience n’en était pas moins une option. Mais par l’espoir de vivre et accomplir, tu te démenais pour demeurer en vie, sans rien dans ce désert aride.

Le temps comptait, cela faisait trois jours et trois nuits que tu dormais aux portes de la mort. Celle-ci te faisant du pied à chaque fois que tu fermais l'œil. Mais difficile de somnoler après tout ce périple, cette marche et ce manque de ressource notable. Tu allais être la prochaine victime de ce décor désertique, cette conviction annihilée par l’absence de bien , l’immortalité, tu n’en était guère l'un. Malheureusement dans cette tournure, il y a une chance infime que le vieux matelot que tu es déjà puisse survivre.



La vision aussi floue qu’elle soit, te laissait apercevoir un semblant de bâtisse. Par tes derniers efforts, tu essayais tant bien que mal d’être réaliste, ce n'est surement qu'une illusion ou bien as-tu enfin trouvé le gros lot ? Tes pensées s'entremêlant avec ces diverses hypothèses :

Pensée : ~Stop aux Coquecigrues~

Ton corps ne voulant plus suivre ta pensée,s’effondrait sur ce sable pourtant si doux et chaud, une dernière fois que tu ressentiras une quelconque émotion. Dans un dernier souffle tu lâchais les quelques larmes qui restaient incorporées en toi.

Pensée :
~Ce n’est pas possible, pas moi, j’aurais pourtant tout fait, j’ai été abandonné, mais je ne peux pas me faire ôter la vie par la nature, tout mais pas ça.. ~


Dans un dernier cri de rage assourdissant tu fermais profondément les yeux sûrement à tout jamais:

Mais d’abord avant d’intégrer la suite comment en es-tu arrivé là ?



A bord de cette caravelle, tu naviguais, te hissant sur toutes les mers pour confronter n’importe quels pirates abordable à ton niveau, un bon critère en termes de choix, tu t’occupais entre guillemets du menu fretin. Mais vu tes idéologies ce n’était guère dérangeant, toi l’homme qui ne dérogera surement jamais aux normes mises en place par la marine et le gouvernement, restant droit dans tes baskets.

De base appelé en renfort à Alabasta pour une histoire mineur, un vol de trésorerie. Pensais-tu que la situation allait être aussi critique qu’en ce moment même ?

Sur place, tu fis ton rapport habituel, laissant les jeunes matelots prendre leur marques et agir en conséquence, les supervisant d’assez près. Tu prenais les rennes de cette petite unité pour le temps de la missive, cette fois-ci aucune erreur ne sera tolérée. Progressant dans les petits bourgs bordant le désert tout en les passants au peigne fin. Bien sûr, cela devait être une tâche assez facile à effectuer, pour un homme de ton calibre rien ne doit être insurmontable.



Le clocher retentissant dans toute la ville, le changement radical de cette atmosphère paraissant innocente auparavant, dorénavant, celle-ci téméraire changea du tout au tout. Le village, désormais vide, ne laissant plus un chat dans les ruelles. Les hameaux bondés de feux, ne faisait plus un seul bruit, le souffle coupé tu te trouvais au centre de cette place, comme étant la proie ou la menace, sommes-nous au western ? Dégainant ton sabre, tu scrutas tous les replis du centre de la bourgade. L'ouïe attentive à un quelconque son, la vision se faisant donc plus précise tel un aigle survolant les plaines. La peur, ou bien l’angoisse, savoir ce qu’il se passe et d'où la menace peut-elle faire son apparition. Tu avais déjà ordonné à tes compères de faire chemin inverse, car toi seul pouvait largement subvenir aux besoins de ce peuple. Il suffit d’un craquement de branche et distraction fut par un bruit de fond qui camouflait le tire soudain d’un arc, la flèche bien trop rapide t'entailla tout l’avant bras droit. L'impudence de ton adversaire t'offusquais énormément, mais l’heure n’était pas à la colère, t’apportant à toi même les soins nécessaires, tu plaças un garrot à ta plaie encore ouverte. La tâche n’allait donc pas être aussi simple, était-ce un des pirates ayant échappé à votre oppression ? La réponse seule lui l’avait... Tu n’es pas un matamore ? Donc tu découvriras qui se cache derrière cet affront.

D'emblée le ton était donné, pas de quartier et encore moins de cadeau ne sera laissé. Tu tentais d’engager une certaine conversation, mais en vain, celui-ci répondant du tac au tac.

Dialogue : - T’as pas bientôt fini ton homélie ?

Rempli d'agacement, il prononçait ses mots. L'individu en fuite a sciemment tiré une flèche sur le marin que tu es. Tu abhorres et de tel, abandonner sa cible ou son ennemi n’est pas recevable, un principe non négligeable que tu ne cesses de prôner, la détermination ! Cependant tu ne supportais plus les propos verbeux que balançait ton vis-à-vis durant cette course effrénée. Ton bras lui est douloureux, le liquide sanguinaire coulant sur le long de ton bras. Mais le hasard ne fut de découvrir à terre un papier bien énigmatique, ta tête mise à pris par des mercenaires ou chasseurs ? En y pensant tu tenais dans ta conscience une conclusion bien avancée : donc le pirate a été stipendié par une personne, tirant les ficelles de toute cette supercherie. Dorénavant tu avais le choix, rejoindre tes compagnons, ou bien avoir réponse en cette avanie, car, oui à travers les carreaux de la fenêtre, nous distinguons bien les petits regards furtifs que la foule tenait sur les deux protagonistes.

Un face à face emblématique aurait dû se tenir.  

Ta grande enjambée ne faisait que débuter, partant de ce village en route vers ces terres non-découvertes. Le sable ralentissait quelque peu tes pas de course, à travers ce vent foudroyant, tu perdais la vue et ainsi l’effronté. A partir de cet avènement, la situation convergea vers cet exil et solitude. Les traces laissaient par les semelles de tes chaussures marquées suR le sable. Tes sentiments indescriptible sur ton visage balafré.


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Gloups gloups… De l’eau enfin ? !


Une lumière

Tu atterrissais au paradis ou bien dans une villégiature.

Ouvrant petit bout par petit bout les pupilles, tes yeux bien amochés par la dureté du sable et la luminosité du soleil. Le soleil brille bel et bien de mille feux… narrer cette histoire aux jeunes reste tout de même absurde, toi le grand homme, ne bronchant devant rien, fut affaibli par la nature ? Mais ne l'avez-vous déjà point ouïe une fois ? Dans la nature, l'homme est l'animal le plus démuni : seule l'organisation sociale lui permet de survivre. Esseulé, sans orientation, il était donc inévitable pour toi de perdre tous tes moyens.

Un instant de doute, les souvenirs refaisant surface mais brusquement tu te levais du lit, serviette sur le front, le bras totalement plâtré avec le biais d’un bâton. Une fixation certes servant à maintenir dans une position confortable ton bras, mais gênant au cours de la suite de tes péripéties.




Confus, l’air inconscient la situation te dépassait fortement, l’homme t’avait donc sauver d’une mort pourtant certaine, devais-tu le remercier ? Ou bien avait-il tout orchestré depuis ton arrivée dans le désert. Tu passas par plusieurs état avant de reprendre ton souffle de sérénité … Il en fut passé un jour avant que tu te rétablisses moralement. Tu n’étais pas souvent confronté à l’extrême, jouant un rôle mineur dans la marine, cependant ses derniers jours rudes qu’aussi soient-ils, t’en faisant mordre la poussière, ainsi qu’apercevoir l’ange de la mort. Il te faudra encore du chemin avant de te hisser tout en haut de l’édifice. Toi qui cherchait la pierre philosophale, exactement comme trouver une aiguille dans une botte de foin. Malgré tes difficultés à t’exprimer, le vieillard réussissait l’exploit de lire sur tes lèvres. Comprenant assez vite le doute qui t'accaparer l’esprit. Il commença alors un discours rationnel, quant à ma trouvaille.




- Tu as bien cette chance, que parmi ce désert je survis, aménageant ce territoire par les biens que j’octroie durant mes sorties. Heureusement, je t’ai trouvé bien asséché enseveli à moitié par le sable. D’habitude, j’aurai eu tendance à te laisser mourir avec la nature, mais je ne sais par quelle tendresse, mon instinct paternel me disait de te venir en aide. Soulignant le fait que tu pèses sûrement trois fois mon poids ? J’en ai bavé pour te sauver bonhomme, mais je ne te demande pas grâce et encore moins reconnaissance. Si tu veux partir fais-le, mais rien n’est dit que cette-fois un bon samaritain te sauvera. Dans ce désert qui n’est pas ton élément tu manques d’orientation, mais dis-moi aussi, que fais-tu là ? Un membre du gouvernement ?

Les actes de cet homme te chérissait le cœur, les larmes ne pouvant être retenu, une fois de plus, tu tentais de camoufler cette partie de toi. Expliquant alors le pourquoi du comment, tu avais atterri là. Le mercenaire avait pris la fuite et toi tu avais perdu le fil de la missive. T'éloignant de l’objectif pour ne pas heurter ta fierté d’homme, un comportement bien solitaire. Tu remarquais avec le discours du sauver son caractère irascible, frôlant la bipolarité. Imbus de soi-même et de ses capacités.

Critique le mot décrivant au mieux la situation, que faire ? Seul dans ce désert tu ne pourras point survivre surtout dans ton état actuel … Attendons plutôt la fin de ta convalescence, le vioc lui n’était pas contre un séjour prolongé du jeune héros. Lui laissant quartier libre jusqu’à son retour. Mais avait-il un métier défini et officiel ? même pas le temps de lui en faire la demande, celui-ci partit aussi vite qu’une onde de choc. Il ne fallait pas se perdre en conjectures quant à son sujet. Dans la tourmente, il était encore impossible pour toi d’arguer une quelconque information. Le temps de son retour, tu pouvais te familiariser avec ce lieu dit protecteur … Un petit logis au beau milieu de ces vents violents. Une fondation stable qui ne rompt pas malgré les efforts considérables du vent. Dans ce vaste havre de paix, tu parcourais les petits recoins.. Jusqu’à trouver un élément énigmatique, un tapis avec une poignée dissimulée …  Curieux.. Tu te hâtais d’aller découvrir ce que cachait cette sorte de trappe. Un paradis sur terre…




Un espace gargantuesque sous ce petit logis, une bibliothèque géante, à chaque armoire était disposé une centaine de livre. Une expérience qui allait être enrichissante pour toi. Captivé très rapidement, certains livres te portèrent une attention particulière. Te faisant du pied..

Un passage assez bref dans l’immensité de la bâtisse. Avant d’en acquérir les connaissances, démêlons le principe.

La lecture.

Le livre, une signification symbolique et unique, l'utilité principal est bien d’instruire et plaire, utilisé dans toutes sortes de circonstances, devenant un fondamentaux. Lire, omniprésent dans la vie de Royce. En survolant le nous distinguerons les connotations émises par l'auteur, celle-ci toujours implicite donne l’opportunité d’émettre plusieurs hypothèses sur un quelconque sujet. Plusieurs styles de rédaction seront donc écrits mettant en œuvre différents sentiments que le lecteur pourra ressentir à l’avenir. Mais par dessus cela l’émotion n’est que passagère, un second plan qui fait l'unanimité. Comme fonction primaire, le bouquinage met à l’honneur l’enseignement tiré grâce à une lecture plus approfondie du texte, la morale ou bien la leçon de vie. Mais cela dépendra de l’importance qu’apportera le lecteur à l’analyse d’un récit. Tout d’abord c’est un travail personnel qui consistera à lire entre les lignes, lire mais non seulement comprendre, discerner chaque petit détail laissé par l’auteur, des indices qui ne sont pas disposés par pur hasard, mais c’est avec ces éléments que nous formerons la conclusion, le point à l’histoire.  

Si avec ces éléments nous arrivons à forger un semblant de maitrise, alors nous aurons rempli un objectif en plus.

Une première étape venait d’être franchie, le sourire de cet homme t’observant de loin, avait-il tout calculé ? Au final, dans une pleine autonomie, tu cherchais tranquillité et apaisement, ayant une lecture concise, tu avais main mise sur les ouvrages. Comme scrypté, tu tenais dans ta main les différents titres : le style du Renard de Feu et le Ittoryu. Le Haki et sa perception.

Tu en auras des sommets à gravir, et passer par un chemin aussi ardu est obligatoire...




Dernière édition par Royce Rackham le Mar 13 Avr - 20:43, édité 1 fois
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